Un autre monde

Fuite ?

Pdv : Amicia

Je suis actuellement avec Onir, un centaure qui m'apprend l'art du combat.
Enfin c'est vite dit, il m'apprend surtout à rester debout plus de 5 secondes.

Chacun a une épée mais recouvert de sont fourreau.
J'essaie désespérément de donner des coups mais je fini toujours le nez dans la poussière.

Onir : campes sur tes jambes et fléchis les, sinon tu continueras de tomber.

Amicia : Raaa mais j'en ai marre. Ça fait des heures qu'on s'entraîne.

Onir : normal, je dois t'apprendre en une journée ce que les rois et reines ont appris en une vie.

Amicia : d'ailleurs comment ça ce fait qu'ils soient encore des gosses ?

Onir : le temps ne s'écoule pas de la même manière à Narnia.

Amicia : ça veut dire qu'ils ont déjà vécu une vie ?! Wow

Onir : et oui, ils ont gardés leurs souvenirs mais leurs caractères d'enfant sont revenus quand ils sont redevenus enfants.

Amicia : ça dois faire bizarre.

Onir : bon viens on va faire une pause.

Amicia : ouiiii !!!

Onir : mais une pause constructive

Amicia : hein ???

Je le suivi jusqu'à dehors où plusieurs narniens étaient déjà regroupés devant une petite ruine.

On entendait les claquements d'épées et de boucliers.

Je jouais des coudes pour me frayer un passage.
Le centre de tout cet engouement venait des deux rois qui se battaient sûrement pour s'amuser.
Alala les hommes...

Il n'y avait pas de doute, sur le plan physique Peter était dominant.
Mais Edmund avait beaucoup plus d'agilité.
Le combat était passionnant.

Ça m'a finalement donné envie de poursuivre mon entraînement pour me mesurer à l'un d'eux.

Amicia : c'est bon je suis plus fatiguée on peut aller s'entraîner !

Onir : tu ne veux pas savoir qui gagnera le combat ?

Amicia : nan je veux m'entraîner, je te signale que dans quelques heures je vais me battre contre des soldats expérimentés. Donc vue que je n'ai pas prévu de mourir tout de suite j'aimerais qu'on continue l'entraînement.

Onir (rigole): si tu insistes

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Onir : bon si on fait le point tu es plutôt douée pour l'arc et l'arbalète, des armes de distance.
Et le reste c'est la galère.

Amicia : je me débrouille pas si mal ?

Onir : nan mais sur le champ de bataille tu ne tiendrais pas 10 minutes.
Ça va être compliqué pour ce soir...

La panique m'envahis, je commençais à comprendre la gravité de la situation.

Onir : je vais aller négocier pour que tu ne vienne pas.

Je ne répondit rien, mon avis était partagé.

Amicia : je veux qu'on reconnaisse ma loyauté mais... j'ai peur de mourir

Des larmes dévalèrent mes joues.

La peur me prenait au coeur.

Onir : calme toi. Je vais aller voir ce que je peux faire.