je veux
crier
saigner
danser
pleurer
hurler
et
baiser
les
corps
qui
s'entrechoquent
sous les
pleurs.le
goût
des
larmes
n'est
plus
rien
face à
l'existence
du ciel,
immergé
dans
l'innocence
à vif
des
stroboscopes
bousculésje veux
des corps
qui
vivent
les
lumières
ébranlées
par la
tempête.noir sur blanc délavé