eren x livaï

Chapitre 23

Eren : Et bah voilà en parlant d'eux, ils sont là

Erwin et Livaï s'approchent du groupe, ils font tous les salut en les voyant arriver

Erwin : T'es content Eren tu t'amuse ?

Eren : Oui merci !

Livaï : Tch...

PDV Mikasa : Qu'est ce qu'il veut lui...

PDV Livaï : J'ai bien envie de tester Mikasa aujourd'hui, et aussi peut-être mon petit Eren...
Mon petir Eren, qu'est ce que je raconte ? Je dois être fatiguée, c'est ça de dormir seulement 3h par nuit (trop occupé à lire des yaoi ԅ(≖‿≖ԅ)

Livaï : Eren viens tu vas m'aider à faire quelque chose.

Eren : Oui j'arrive Capo-
Qu'est ce que tu fais Mikasa ?

Mikasa prit Eren par le bras l'empêchant d'avancer

Livaï : Un problème ?

Mikasa : Effectivement

Erwin : Qu'est ce qu'il se passe ?

Mikasa : Eren ne devrait pas être le toutou du caporal. Il en fait déjà assez, alors laissez le tranquille pour son jour de repos.

PDV Jean : Ça c'est ma Mikasa ! Eh.. Mais attends elle est en train de défendre Eren là??.. Qu'est ce qu'elle peut bien lui trouver sérieux...

Eren : Mikasa...

PDV Livaï : Ça marche mieux que je l'espérais.

Erwin : Tu sais Mikasa, Eren & Livaï ont instaurés une amitié forte entre temps, ce n'est pas méchant, c'est juste que Livaï apprécie la compagnie d'Eren et vice-versa, pas de quoi t'énerver

Eren rougit et baissa les yeux

PDV Livaï : Tch... Il me fout la honte...

Livaï : Bon oublie, tu peux rester avec ton amoureuse je vais me débrouiller.

Eren : Non attendez moi !

Eren retira le bras de Mikasa et se précipita vers Livaï limite en courant

Mikasa se retourna et s'écarta du groupe, presque la larme à l'oeil, suivis d'Armin

PDV Jean : Y'a toujours des problèmes quand Eren est là...

Il partit lui aussi rejoindre Mikasa & Armin

Sasha & Connie : (๏_๏)

Livaï emmena Eren dans un endroit plutôt caché ('･ω･')

Eren : Caporal ? Je dois vous aidez pour quoi ?

Livaï : Pour rien en fait...

Eren : Hein?! Alors pourquoi vous m'avez ramené là ?!

Livaï : Jsais pas gamin... Pars si tu veux

Eren : Bah je comptais pas partir mais... Je vous comprends pas vraiment pour le coup

Livaï : Eren tu peux me tutoyer...

Eren : Vraiment ??? Je peux ?? Je voudrais surtout pas manquer de respect !

Livaï : Quand on est tous les deux oui tu peux, mais devant les autres hors de questions.

Eren : Ok j'essayerais de faire gaffe alors !
Mais sinon Capo- euh Livaï... Vraiment pourquoi tu m'a ramené là?...

Livaï : C'était un prétexte.

Eren : Un prétexte pour quoi ?

Livaï : Pour énerver ta petite copine.

Eren : Mais je t'ai déjà dis que c'était pas ma petite copine !

Livaï : Je sais, enfin t'a ouvert les yeux maintenant ?

Eren : Sur quoi ?

Livaï : Ma parole faut tout t'expliquer à toi!... Elle t'aime ! Tu va pas me faire croire que tu l'a pas remarqué ?

Eren : Mais c'est faux Livaï ! Je sais pas pourquoi tu pense ça... Si elle se montre aussi démonstrative c'est parce que je suis la seule famille qu'il lui reste, et elle pareil, alors on a un lien très fort... Alors elle veut me protéger, elle a toujours été comme ça, à toujours vouloir me protéger, pourtant ça m'énerve et elle le sait ! Mais je peux pas lui en vouloir, ça reste comme ma soeur...

Livaï : Ta soeur hein...

Eren : T'a très bien entendu, ma soeur ! Elle doit peut-être être jalouse de toi, ou alors elle a peut-être peur parce qu'elle pense que tu me fais la misère.. Bon elle a pas tord après !

Eren se mit à rigoler

Livaï : Tch... Tu va voir la misère que je vais te faire ce soir

Eren : J'ai hâte de voir ça mon caporal~

Eren fit un petit clin d'oeil coquin à Livaï qui ne manque pas de le faire rougir un peu

Livaï : Alors toi...

Livaï plaqua Eren contre un arbre et lui mit les mains dans le dos. Il se mit à l'embrasser langoureusement.

Eren : Livaï... On est dehors...

Livaï : Et alors ?

Eren : Arrête tu sais qu'on peut pas faire ça !

Livaï : Tu me donne des ordres maintenant ?

Eren : Non c'est pas ça mai-

Eren se fut taire avec un baiser de Livaï.

Après quelques minutes où ils échangèrent de longs baiser, il sentirent la présence de quelqu'un, au moment où ils se sont retournés c'était trop tard, Jean était là debout, les yeux grand ouvert