chapitre 3: perdu

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Je suis en pleine chasse au trésor.
J'essaye de trouver tout les objets marquer sur ma carte mais l'île est immense.
Je divague entre les arbres et ses pirates tout aussi féroce que moi de trouver leurs bulletins.
Quand je tombe enfin sur l'ingrédient marqué sur ma carte.
« haricots verts ».
Je le dérobe, puis je part à la recherche des autre comme les bananes, les yaourt, les steaks.
Ainsi que le plus important,
qui n'est autre que ma raison de vivre,
Je vous demande un tonnerre d'applaudissements
pour les cookies.
J'exagère peut-être en faisant tant d'éloge à quelque chose de si gras.
Mais ce goût si sucré, ses pépites si fondantes, se croustillant, se délice extraordinaire qui comblera amplement vos appétit.
Vous ne le trouverais nul part ailleurs que dans un cookie.
Alors succombé à charme irrésistible du cookie.
Je pense que je vais me penchait sur les métiers de publicité.
Où alors, allez consulter un médecin, car on dirait légèrement une droguer.
Avant ça il faut d'abord que je finisse d'accomplir ma mission qui est de retrouver mon capitaine,
qui n'est autre que ma mère pour l'achat des courses.
Maintenant direction notre bateau pour rentrer chez nous.
Mais lorsque je me dirige vers
celui-ci,
je vois un moussaillon perdu face à la mer
avec seul objet conquis une pancarte où est écrit :
« un sourire coûte moins cher que
l' électricité, mais donne autan de lumière » Abbé Pierre .
À cette pancarte je n'ai su répondre qu'un sourire.

Suite à cela j'entend ma mère me demander de décharger le chariot. J'exécute donc la tâche puis attache ma ceinture de sécurité pour le trajet.
Durant le trajet je repense à cet homme perdu et seul,

À quelle moment c'est devenu normal de voir des gens croupir sur les trottoirs ?
Et de presser le pas pour faire semblant de ne pas les voirs.
De se dire qu'ils vont finir par s'en sortir.
À quelle moment on s'est habiter à se mentir pour avoir bonne conscience ?
À vivre dans l'ignorance.
Cet homme et aussi humain que moi la différence, c'est que j'ai un toit.
Qu'on ne m'évite pas pour mon statu social.
Quand est-ce que ce monde devenu banal ?

La voiture s'arrête m'indiquant que Je suis arriver à destination.
Alors, je décharge le coffre et range son contenu dans les placards.
Ensuite je vais dans ma chambre à fin d'étudier et me divertir un minimum pour ce mercredi.
Après quelques heures je décide de descend pour trouver autre occupation, mais on en a trouvé une à ma place.
Mettre la table pour dîner.

Qu'on aime les tâches ménagères !
Quand la table fut mise par mes soins,
Je m'assised sur l'une des chaises qui l'entoure et attend que le que le repas soit prêt.
Puis, le soir tomba rapidement, l'heure devenant tardif, je monta les escaliers, ouvrit la porte et m'allongea sur mon lit.

Le jour suivant, commença par une matinée de mathématiques.
Donc je fit la même routine que tout les jeudis matins, qui consiste à aller à mon bureau, à sortir mon matériel et écouter l'importance du théorème de Thalès.
Mais la voie de mon enseignant devint lointaine.
Et mon stylo se rapprocha de ma main,
À

son contacte froid dans le creux de ma paume,
il devint ma plume et moi son poète.
C'est n'était plus des formule que j'écrivait sur mon cahier mais des textes.

Le monde est souffrance
Depuis trop longtemps.
La terre transpire depuis le réchauffement climatique.
Les plastiques sont nos nouveaux continents,
Les ordures sont nos nouveaux bâtiments.
On s'oxygène par le gasoil,
Pour se nourrir on gave les oies.
La voiture égale pollution,
Les usines égales production.
Les îles sont artificielles,
Les déchets sont plus dans les poubelle.
Nos voisins vivent dans des bidonvilles
Le monde est bien hostile

Les ressources sont saturés,
Les ouvriers sont fatigués.
Les animaux sont en voie de disparition,
Le monde est en voie d'extinction.

Quand soudainement,
Mon prénom se fit entendre,
je posa mon stylo,
puis je lèva la tête vers mon interlocuteur.

- Julianne, je vous dérange peut-être ?
Le ton sarcastique de mon professeur montre son mécontentement et l'attente d'une réponse correct.

Sa question rhétorique.
m'offre tout de même deux possibilités.
Lui répondre que oui, son cour m'apporte peu mais cela aura des répercussions.
Pour ma défense se n'est pas bien de mentir.
Où la deuxième solution, qu'il espère sûrement, celle de lui présenté mes excuses pour mon manque de concentration.
Je choisit une option stratégique pour ma tranquillité.

- Non.
Rétorquai-je d'un ton sec.

- Bien, alors faite moi le plaisir de vous mettre au travaille et non de ne faire je ne sais quoi dans votre cahier quand j'explique mon cours !
Dit-il en terminant le dialogue.

Tout d'abord, monsieur permettait moi de vous informer que je n'accorde point d'importance à votre cour car d'une part il ne contribue en rien à ma vie future et d'autre par si je suis ici c'est dans l'obligation.
Par contre si il serait plus utile et que vous y mettrez plus de conviction, je m'y intéresserait sûrement. Après tout je ne vais pas vous dire comment faire votre métier.
De plus comparer à vous qui n'êtes là que pour votre salaire ou par votre choix d'être enseignant, moi je n'en ai pas eu le privilège, de choisir.
Donc suite à ses raisons voulez vous bien m'excuser de mon manque de sérieux.
Je mourrais d'envie de lui répondre se discours pleine d'arrogance.
Mais je retient mon insolence,
pour éviter tout ennuis futiles que pourrais m'apporter mon inconvenance. 


Quand subitement pour la deuxième fois de la matinée,
mon prénom se fut reprononcer mais cette fois-ci par une voix différente et familière.
C'est que je suis célébre aujourd'hui.

- Julianne ? Dit Noam peu confiant.

Noam, pourquoi m'appelle-t-il ?
On a du se parler 5 fois en trois mois, d'année scolaire.

- oui ? Dis-je du même ton.

C'est vraiment bizarre, je ne l'ai jamais vu aussi peu confient. Il a généralement une bonne assurance en lui. Un mec plutôt bavard et extraverti. Que me veut-il ?

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 26, 2020 ⏰

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