The Hunger Games of the Maze [en pause]

chapitre 4: À la découverte de l'île

PDV externe

Le lendemain le campement se réveilla aux aurores, sauf bien évidemment deux petits flemmards qui étaient bien décidés à faire la grasse matinée. Mais c'était sans compter sur Gale et Thomas qui s'approchèrent sans faire de bruit des deux garçons PROFONDÉMENT endormis ( ils auraient puent arriver accompagnés d'une fanfare que ça ne les auraient pas fait remuer d'un cheveu!) Thomas se pencha au dessus de Chuck et Gale au dessus de Rory, les deux jeunes hommes se regardèrent à moitié mort de rire et commencèrent à chuchoter à l'oreille des deux dormeurs:

Gale: cookiiiiies, gateaaaau, chocolaaaaaaaaat

(oui nous avons un professionnel de l'imitation de l'écho!)

Thomas: glace à la vaniiiiiille, browniiiiiiies, carameeeeeeeeel

(hum rectification nous en avons deux!)

A ces mots les deux garçons se réveillèrent brusquement en criant "MANGER!!!!" et en cherchant désespéremment de la nourriture autour deux. Mais tous ce qu'ils virent ce fut deux silhouettes qu'ils ne reconnurent que trop bien, étalées sur le sol en proie à un fou rire tout aussi incontrôlable que le leur la veille. Le temps que Rory et Chuck ai compris ce qu'ils leur arrivaient, Thomas et Gale avaient déjà disparus en leur criant tant bien que mal entre deux crise de rire qu'ils avaient plutôt intérêt à se dépêcher s'ils ne voulaient pas qu'une Katniss folle de rage ne leur tombe dessus en train de roupiller. Les deux benjamins se regardèrent:

Chuck: Je crois qu'on aura pas de glace à la vanille aujourd'hui...

Rory: Ni de chocolat... se lamenta le garçon en levant les yeux au ciel.

Chuck: Hum, je crois aussi qu'on devrait vraiment bouger nos fesses et faire comme si on étaient debout depuis 6 heures du mat', tu sais imiter quelqu'un de fatigué toi?

Rory: Euh.. comme ça? dit-il en prenant une tête de mort vivant.

Chuck: Ah ouais excellent!! bon on y va avant que d'autres personnes mal intentionnées ne viennent nous agiter du chocolat imaginaire sous le nez!

Ils partirent prendre leur petit déjeuner avec les autres en évitant soigneusement Thomas et Gale qui pouffaient à chaque fois que leurs regards se croisaient, on peut dire que ces quatre là c'étaient bien trouvés l'un l'autre. Lorsque tous les blocards eurent finis de manger, Katniss annonça le programme de la journée et forma deux groupes se partageant l'île en deux parties. Le groupe de la partie Sud était composé de Thomas, Kantiss, Teresa, Gale et Alby. Le groupe de la partie Nord était quand à lui composé de Newt, Finnick, Annie, Johanna et Peeta. La pauvre Rue qui voulait absolument explorer l'île elle aussi fut contrainte de rester au camps pour surveiller deux trouble fête qui firent profil bas devant le regard meurtrier de la jeune fille.
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Rue commençais sérieusement à s'ennuyer, les deux imbéciles qu'elle "gardais" n'avaient rien trouvé de mieux à faire que de ne rien faire... elle décida de prendre les choses en main:

Rue: Maintenant ça suffit! dit-elle en désignant les deux garçons en train de prendre le soleil. Autant vous rendre utile puisqu'on est coincés ici, on va faire un peu de rangement et allez chercher du bois pour le feu de ce soir.

Après s'être concerté du regard, Rory et Chuck se levèrent et les trois benjamins s'enfoncèrent dans la forêt.

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PDV interne

Je courais. Je ne savais plus depuis combien de temps, mais je courais, je regardais sur ma droite, le garçon que j'avais percuté dans ma course me suivait , tout aussi paniqué. Soudain j'entendis le cri de notre poursuivant, un frisson de terreur me parcourus, ce cri n'avait rien d'humain et je sentais que je n'avais pas intérêt à m'arrêter. Néanmoins, je me stoppais net dans mon élan à un tournant. Le garçon qui me suivait me rentra dedans mais je m'en fichais, mes yeux étaient fixés sur ce panneau accroché au mur et sur lequel était écrit un seul mot: SORTIE. Je me tournais vers le garçon et prononçais d'une voix essoufflée, en y mettant toute l'ironie du monde: "Je crois que la sortie c'est par là!" Il me regarda, puis tourna la tête vers la pancarte. Son regard s'assombrit comme s'il avait compris lui aussi qu'on se foutait clairement de nous. Un deuxième hurlement retentit , plus près cette fois. Je repris mes esprits; cette "chose" n'était pas loin et, pancarte ou non il fallait s'échapper au plus vite.