Mur de Glace (livai x Eren)

Chapitre 7

~point de vue de Livai~

Je reste scotché net, je voulais hurler mais les sons ne voulaient pas sortir de ma bouche.
Le bruit sourd qu'à produit le corps de Eren contre la surface métallique du camion m'avait fait tressaillir.

Le poids lourd s'arrête net, une grosse trace de sang à marqué le capot.
Je m'approche rapidement et m'arrête d'un coup sec.

Le bras d'Eren dépasse de sous le camion, je m'accroupis et regarde sous le camion. Un haut le coeur me prit, il y avait beaucoup de sang et ses membres avaient l'aire complètement désarticulé.

Je pris mon portable et appela les urgences.

Urgence - 112 qu'elle est votre urgence?

Moi - Un. ... un ami s'est fait percuter violemment par un camion. Le camion est à l'arrêt mais il est en dessous.

Urgence - est il conscient ?

Moi - non il ne l'est pas, il perds beaucoup de sang!

Urgence - les secours arrivent ne vous en faite pas.

Je pose le portable au sol et prend doucement la main d'eren.

Moi - sert si tu m'entend ... je t'en pris ... sert ...

Aucune réaction.

Au bout de cinq interminable et longue minute, j'entends enfin la sirène des secours. Je me lève et secoue les bras dans tout les sens.

Il s'arrête et un homme accompagné de deux femmes descendent du véhicule.

Homme - où est le blessé ?

Moi - sous ... sous le camion...

Le pompier se penche et regarde Eren.

Homme - il va falloir prendre un criquet pour lever le camion et l'attraper.

Une des femmes s'exécute et prend un criquet dans le camion. L'homme installe l'outil et commence la procédure.

Je reste à côté impuissant.

Le pompier le sorti de sous le camion, mit Jeager sur un brancard et l'emmena dans l'ambulance.

Moi - je ... je peux venir ?!

Homme - oui bien sûr, grimpe.

Je monte dans l'ambulance et regarde le visage scalpé du jeune bigleu.
J'avais envie de fondre en larme mais je restais impassible.

Arrivée à l'hôpital, ils descendirent Eren de la voiture et l'emmenèrent en soin d'urgence.

Moi, je m'assois juste dans la salle d'attente avec comme juste compagnie mes remords d'avoir été si froid avec ce crétin.

Des heures, des heures presque infini se sont écoulé, pendant que moi je restais le cul vissé sur ma chaise.

Un médecin s'approcha de moi. Je lève doucement les yeux, me relève brusquement et le saisi par les épaules.

Moi - comment il va ?! Dite moi qu'il va bien !!

Médecin - il est en vie je vous rassure

Un long soupire de soulagement sorti de moi.

Medecin - par contre ...

Mon coeur rata un battement à l'ouïe de ces simples mots.

Moi - ou...oui?

Médecin - il.... il est dans un coma profond ... on ne sait pas si il se réveillera un jour. Je suis désolé.