Story Two : Harry Watterman
Atlanta, 02 Juillet 2027 08h15
Je sais pas pourquoi ce matin je suis très en colère, mais je ne laisse rien paraitre devant mon fils et sa mère.
Peut-être est-ce à cause de cette même routine bisou,café, boulot, ennui et Cette femme. Les jours se ressemblent comme mon fils et moi. Ce gosse de riche sait qu'il sera comme son père, directeur d'une chaîne TV d'information - de fake plutôt.-Allez mon grand à demain et passe une bonne journée.
Aujourd'hui j'ai décidé de prendre le volant, parce qu'avec cette histoire du jour du milieu de l'année, on a confiance on personne.
Et le mieux c'est qu'il puisse passé la journée chez sa grand mère, une vieille femme qui ne veut rien à personne. Une mamie gâteau quoi.…
Atlanta, 02 Juillet 2027, 10H 42
Quelques heures après je me trouvais dans mon bureau, il y a moins d'une heure j'au reçu la visite du ministre des télécommunications &Co. Le boulot était simple raconté des bobards pour une grosse somme d'argent. Et la mieux placer pour faire cela n'était nulle autre que Cette femme.
-On m'a dit que tu es arrivés il y a environ deux heures avec une de ces humeurs.
Frappez avant d'entrer c'est la moindre des politesses. Mais lorsque l'on est avide de pouvoir et d'argent, pense t-on encore à cela ?
-Que me vaut cette visite ? Dis-je fermement.
Elle avait déjà retiré sa veste et s'apprêtait à descendre les bretelles de son soutien.
-Quel question ! Je dois présenter le journal de quinze heure et ensuite interviewé quelque passant au sujet de cette histoire de purge. J'ai besoin de quoi m'échauffer pour cette longue journée. Elle me faisait presque de la peine à savoir qu'elle ne me faisait même pas bander, même pas un petit peu.
Elle passa de l'autre côté de mon bureau, malgré ses formes généreuses, cette femme ne me faisait aucun effet. Elle avait beau être un passe temps particulier pour moi jamais je ne la trouverai attirante. Cette fille est refaite de la tête au pied.
Elle commença par descendre la braguette de pantalon, tandis que moi restait assit sur cette chaise de bureau à fixé un point invisible. Ma mauvaise humeur du matin était subitement revenu.-C'est ça que tu veux ? Demandai-je.
Elle semblait encore plus excitée et sans même prendre la peine de me répondre elle se retourna. Elle se laissait dompter, gémissant à chaque pénétrer, me suppliant presque de me dépêcher. J'étais tellement en colère que je ne rendait pas compte de la violence avec laquelle j'y allais. Au lieu que cela la déplaise, elle semblait en redemander à chaque coup.
Vite fait , bien fait.
-Guillaume t'attends pour votre interview. Va t'en. Dis-je en bouclant ma ceinture.
-Mais...
-Quoi ? Tu croyais que je me suis amouracher d'une pouviasse comme toi ? Que Dieu m'en garde, allez du balai.
Elle se revêtu le plus rapidement qu'elle le pu. Avant de franchir le seuil de la porte, elle me lança un regard noir des plus perçant.
Même après l'avoir ignoré pendant un mois elle est encore revenu ? Que vais-je faire d'elle ?.....
Atlanta, 02 Juillet 2027 21h13
Je voulais en aucun cas purger. Non mais j'oublie que purger ce n'est pas seulement meutre sans condamnation. Je l'ai compris dès lors où ma voiture a disparu, et aussi en voyant quelques vitrines brisées.
Je savais que je n'étais pas en sécurité en m'aventurant seul dans la nuit, mais après tout qui voudrait s'en prendre à moi ? Je n'ai aucun problème avec qui que ce soit.
Par mesure de précaution j'avais pris un revolver, en aucun cas je voudrais en finir avec quelqu'un. Mais là c'était pour ma sécurité....
Il ne ne me restait qu'environ cinq cent mètres avant que je puisse arrivé à mon domicile.
Un groupe de jeunes armées passait par là, ils avaient différents types d'armes en main. Dans vraiment réfléchir, j'entrai dans la première maison à la droite. Il n'y avait aucune clôture ou un quelconque barrage. La porte était entre-ouverte, la lumière de la pièce principale était allumée, une marre de sang était au bout des escaliers. Je tenais plus fermement mon arme ; sur ces escaliers il y avait une traînée de sang.-Il y a quelqu'un ? Je ne vous veux aucun mal !
Aucune réponse, par contre il semblait avoir de l'agitation à l'étage.
Je montais prudemment les escaliers et tomba nez à nez avec un adolescent il braqua son fusil droit vers moi.-M'obliger pas à le faire !
Il tremblait c'était sa première fois. Quel dommage, si aujourd'hui était un jour ordinaire il aurait pu survivre. Je ne me serais pas abaissé - simulant l'abondon- et ensuite tiré comme un vrai lâche. C'est parti plus vite que je ne le pensais, le plus étonnant fut que la balle c'est placée en plein milieu de son front. Son sang a descendu les escaliers en se mêlant à la première flaque de sang.
...
Chacun ses raisons pour purger...
Après tout, je ne serais pas foutu en taule pour ça.Je me trouvais déjà bien loin de cette maisonnette.
Prêt à franchir le seuil de la porte mais........
J'aurais bien aimé continuer à te raconter ma petite vie.
Si je n'étais pas mort.
Plus de dix de coups de couteau, ce n'est pas par pur envie de purger. Mais plutôt mais par vengeance....
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P*RG*
Horror> > > > > Chacun ces raisons pour purger... Après tout je serais pas foutu en taule pour ça.