105 ans plus tard (Fanfiction Sokeefe)

Poursuivons avec la continuation

Saaaluuut les sardines. Je sais que ça vous intéresse pas mais je me suis engueulée avec Kat, donc je suis triste, donc peut-être que ça va se voir dans mon texte. 

Pour l'image du haut, je l'avais jamais vue du coup je l'ai mise, surtout que je vais un peu parler de Wylie. Pour info, ce sont Cyrah Prentice et Wylie (la fameuse photo dont on nous parle dans le tome jesaisplustropquoi (4, si je ne m'abuse?), je suppose. 

Pdv Sophie

Quand Callie est arrivée pour me prévenir, il était sans doute déjà trop tard pour tout. La silhouette pâle qui se découpait sur mon perron était trop claire pour avoir le moindre espoir.  Immédiatement, même si je n'avais jamais vu cette femme, je sus qui elle était. 

Un jeune elfe à la peau sombre lui tenait la main, et je n'eus qu'une chose à dire pour qu'il relève la tête.

- Wylie Endal. Dis donc, ça faisait longtemps. Depuis quand sais tu que ta mère n'est pas morte?

(nda: révélatioooon...)

- Je l'ai toujours su. Elle avait des ennemis pour qui il vallait mieux qu'elle soit morte. Personne, à part Elwin Tiergan et Prentice, n'a jamais su qu'elle avait été miraculeusement sauvée par Elwin. Elle est toujours restée un peu pâle, tu sais. Mais hier... Elle a commencé a disparaître.

Pdv Cyrah

Mon fils m'a emmenée chez cette elfe dont tout le monde parle depuis environ un siècle. Il avait apparemment une confiance aveugle en elle, et c'est le premier nom qu'il a prononcé lorsque une douce chaleur a enveloppé ma main et que quelques secondes plus tard, elle avait disparu. 

Sophie Sencen.

Je dois avouer que je ne m'attendais pas à cette image. Mais à quoi m'attendais-je exactement? 

Peut-être à une haute femme au yeux profonds et aux cheveux noirs comme l'encre, glissée dans une robe fluide? Peut-être à une ancienne aux oreilles pointues? Peut-être à une déesse de conte de fées? 

Mais certainement pas à la blondinette aux yeux pailletés d'or et au regard joyeux avant qu'une ride d'inquiétude apparaisse entre ses sourcils que je vis. De toute évidence, elle avait toujours eu quantité de soucis, même si quelque chose dans son visage me disait que ses derniers sujets d'inquiétude étaient des choses on ne pouvait plus courantes et qu'elle se plaisait dans cette sorte de vacances.

Je m'en voulais de lui faire reprendre le travail.  

Quand elle a pris la parole, cependant, ce fut de la voix de celle pour qui les ennuis ont longtemps été la routine et qui reprend ses vieilles habitudes. Calme et posée, sans se stresser, et je voyais bien là la femme qui, à peine adolescente, avait soigné mon mari. Voilà à quoi je m'attendais, à cette aura de force et de pouvoir que je n'avais pas remarquée mais qui me frappait maintenant. 

Cette femme me sauverait.

Bien les sardines, je vous abondonne sauvagement maintenant parce que si je reste deux minutes de plus ma mère me confisque l'ordi.

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