𝔾𝕖𝕠𝕣𝕘𝕖 𝕎𝕖𝕒𝕤𝕝𝕖𝕪 𝕏 𝕋𝕚𝕝𝕝𝕪 𝔹𝕝𝕒𝕔𝕜

VI

Tilly retourna dans son dortoir le cœur lourd, elle ne pouvait pas s'arrêter de penser au regard de George.
- Tu te fous de moi pas vrai ?! lui cria Molly les bras croisés la regardant droit dans les yeux.
- Molly j-
- Mais Tilly tu viens me voir en pleurant un jour parce que ton précieux rouquin se tape une autre fille et lendemain tu vas voir McLaggen pendant que moi, j'essaie de faire en sorte qu'il te parle ?!
- Je sais pas ce qu'il ma pris j'aime pas Mclaggen !
- Moi je sais ce qu'il s'est passé, fit une petite voix depuis le fond de la salle commune.
- Luna ?! firent les jumelles, plus que surprises
- Je sais ce qu'il s'est passé car j'ai tout vu et tout entendu pendant que je cherchais Ginny. J'ai vu Emma parler a une de ses amies en lui disant qu'elle était jalouse de la relation que George entretenait avec toi, Tilly, elle lui a dit qu'elle allait mettre un philtre d'amour dans ta boisson et faire en sorte que la première personne que tu vois soit Cormac McLaggen.
- Alors pourquoi je suis pas amoureuse de lui ?
- Parce qu'elle a utilisé un philtre d'amour à très courte durée, de façon à ce que George ai juste le temps de vous voir tout les deux.
- Mais pourquoi elle n'a pas utilisé un philtre d'amour normal ? Je lui aurait foutue la paix à cette...
Elle n'alla pas au bout de sa pensée
- Parce qu'elle voulait te voir souffrir, elle ne voulait pas que tu sois heureuse trop longtemps pour pouvoir la voir réconcilier George dans sa tristesse...
- Mais elle a fait souffrir George ! Qu'elle veuille me faire souffrir moi, je comprends mais je croyais qu'elle avait un minimum de sentiments pour lui, ce que lui n'a pas d'ailleurs...
- Elle l'a fait souffrir pour pouvoir attirer toute son attention sur elle je suppose. Fit Molly, toujours dans le fond de la salle commune, regardant sa sœur avec de la culpabilité.

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" George, je t'aime tellement, tu ne peux même pas savoir à quel point mon amour..." chuchota Tilly d'une voix douce dans l'oreille de George
"George... George"
- George ! George !
George se réveilla avec la tête d'harry à quelques centimètres de son visage, il soupira en se rendant compte que Tilly ne lui avait pas chuchoté de mots doux.
- Qu'est-ce que tu veux Harry ?
- J'ai besoin de toi pour créer une équipe pour se défendre contre les forces du mal secrètement.
- Pourquoi tu demandes pas à Fred ?
- Parce qu'il s'occupe déjà de rassembler des élèves.
- Et qu'est-ce que je suis sensé faire moi ? dit George d'une voix agacée en se relevant, toujours énervé par le fait que le déclaration de la jolie brune aux yeux verts ne soit qu'un rêve.
- Toi tu dois essayer de trouver un lieu qu'Ombrage ne surveille pas.
- Trouve la salle sur commande bonjour au revoir ! dit George en remettant sa tête dans son oreiller.
- Waouw ! George c'est la première fois que je te vois comme ça !  S'exclama Harry
- Oui bon c'est bon je vais descendre laisse moi juste le temps de me réveiller et de mettre mon uniforme.
- Ok, je compte sur toi.

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Ça y est, l'équipe de Dumbledore était faite, on y comptait de nombreux élèves, dont les jumelles Black, les jumeaux Weasley, Ron, Hermione, Cho, Luna, Ginny, Seamus, Dean, Neville et Harry bien sur.
Ils apprenaient à créer leur Patronus, à désarmer un sorcier...
Vient le moment des duels avec le sort Stupéfix, c'est au tour de Ron et Hermione.
- 5 gallions, dit George à vois basse.
- Ça marche, lui répondit Fred
- Je suis de l'avis de Fred les garçons, c'est d'Hermione dont on parle, et même si jadore votre frère, il n'a aucune chance, leur confia Molly.
- Je suis d'accord avec Molly, renchérit Tilly.
Le moment arrive, Hermione crie Stupefix en tendant sa baguette vers Ron qui s'envole dans les airs et ratterit violement au sol.
George tend 5 gallions à Fred
- Merci. dit Fred en se moquant de son frère.
- Ta gueule ! réponds George, agacé.
- Je vous l'avez dit ! chuchote Molly en faisant un clin d'oeil à Fred qui rougit légèrement.
- Je l'ai laissé gagner. fit Ron pour essayer d'avoir un minimum de fierté.
- Oui bien sûr... acquiesce les quatre adolescents d'un ton ironique.