Virginity Games (pas de suite)

Chapitre 20

~mercredi 10 septembre~
*Quand vous avez fini vous rentrez à l'internat, tu vas dans la chambre à Payton pour te reposer un peu et comme tu n'as pas le droit d'aller dans ta chambre, t'espères que Payton ne sera pas là, mais bien sûr en ouvrant la porte, il est là et il te regarde avec un sourire en coin, tu l'ignores, mais il commence à te parler en s'avançant lentement vers toi toujours avec son sourire aux lèvres*
Toi : Arrête de me regarder comme ça Payton, on dirait un malade mental.

*Il s'approche de toi toujours avec son regard en coin*

Toi : Payton arrête ! Je suis toujours en colère contre toi et je pensais que tu ne serais pas là sinon je ne serais pas venue.

Payton : Arrête de parler pour une fois et profite du moment.

*Sans que tu t'en rendes compte tu as reculer pour que Payton ne soit pas trop proche de toi mais maintenant tu es collée dos au mur avec Payton très proche de toi*

Toi : Pro-profitez de-de quoi ?

*Tu as du mal à parler vue la proximité que tu as avec Payton, il place ses deux mains sur le mur, de chaque côté de ton visage. Ta respiration s'accélère petit à petit et visiblement Payton le voit vu son sourire en coin qui s'agrandit plus qui ne l'était déjà*

Payton : Profite juste du moment, de l'effet que je te fais.

Toi : Pardon ? De l'effet que tu me fais ? Elles vont bien t'es chevilles ? Je les trouve un peu gonflées personnellement.

*Payton rigole de ta réflexion*

Toi : Je rigole pas là Payton, pousse toi *tu pousses sur ses bras pour te libérer de son emprise*

Payton : Pourquoi tu te vexes ? C'est vrai ce que je te dis nan ? T'avais rien de méchant dans ce que j'ai dit.

Toi : Nan mais tu t'entends parler Payton ?

Payton : Oui je m'entends parler et je vois pas ce qu'il y a de mal !

Toi : Nan mais c'est pas possible ! Tu ne peux pas dire à quelqu'un de profiter de ce que tu lui fais ressentir, quand ce n'est pas vrai.

Payton : Je t'ai vexé, je suis désolé mais tu ne peux pas dire que ce que j'ai dit est faux quand toi-même tu sais que mes paroles sont vraies.

Toi : Je savais que tu avais un minimum de confiance en toi mais je pensais pas à ce point, tu es clairement narcissique !

Payton : Je comprends vraiment pas, c'est quoi ton problème cette fois-ci, d'habitude quand tu me prends la tête je comprends un minimum ton point vue, mais là, vraiment, j'ai rien fais de mal. Je crois juste que tu ne veux pas assumer le fait que je te fasse de l'effet.

Toi : T'es vraiment qu'un con !

*Tu sors de la chambre à Payton énervé, puis tu marches dans l'université sans vraiment savoir ou aller et tu décides d'aller dans ta chambre, après tout, pour qui Payton prend-il à t'interdir d'aller dans ta chambre et surtout pourquoi tu as accepté ? Le chemin jusqu'à ta chambre a été court vu le taux de colère que tu as envers Payton. Devant la porte, tu hésites, ta main est sur la poignée. Ouvrir cette porte signifie qu'un nouvelle dispute éclatera avec Payton, et tu ne sais pas si tu auras la force d'encore te prendre la tête avec lui. Mais d'un autre côté, le fait que Payton t'interdise de pouvoir aller dans ta chambre t'énerves aussi, et rentrer dedans lui montrera que tu ne lui appartiens pas et qu'il ne peut pas se permettre de contrôler tout t'es faits et gestes*

*Tu restes là pendant cinq bonnes minutes, à réfléchir à ce que tu vas faire et si tu seras apte à assumer les conséquences. Tu finis par lâcher la poignée et fais demi-tour. Confronter Payton et ajouter une nouvelle dispute entre vous ne t'intéresse pas, en tout cas pas aujourd'hui. Seulement, en faisant ça, tu ne sais toujours pas ou aller. Tu n'es pas assez redescendu de ton état de colère pour retourner dans la chambre à Payton, et potentiellement le voir et vous disputer une nouvelle fois. Tu fouilles dans tes poches et à ton plus grand plaisir tu trouves tes AirPods, tu les mets à tes oreilles et là tu te rappelles que tu n'as plus ton téléphone, et celui que Jaden t'as donné est caché dans tes valises qui sont dans la chambre à Payton, ça t'énerves encore plus mais tu essaies de passer au-dessus étant donné que s'énerver une fois de plus ne résoudras rien. Tu te promènes dans l'université pour faire passer le temps, tu espères croiser une personne que tu connais, car le temps se fait de plus en plus long.*