@maximilian_delcroix Je me souviens encore du moment précis où nos chemins se sont frôlés - non par la volonté du destin, mais par ce hasard têtu qui unit parfois deux plumes esseulées.
Nous ne nous connaissions pas. Et pourtant, quelque chose, dans le fracas feutré de tes silences, a trouvé écho dans mes propres éclats d’ombre. Alors, j’ai tendu la main, non pour éclairer, mais pour accompagner.
Aujourd’hui, la préface est là, publiée, gravée. Elle ne précède pas un récit ; elle l’enlace, elle le devine, elle le respecte. Réflexions Nocturnes n’est pas une œuvre qui s’annonce : c’est une confidence qu’on effleure, une douleur que l’on devine dans le tremblement des mots.
Merci à toi de m’avoir offert cette place fragile, à l’orée de tes nuits. Et merci à celles et ceux qui liront, non pour juger, mais pour ressentir.