Chapitres 4: Le bêta

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PDV de Julie

Je passais devant le commissariat pour aller chez Lydia

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Je passais devant le commissariat pour aller chez Lydia. J'entendis une alarme provenir de l'intérieur du commissariat. Elle était très bruyante, la moitié de la ville l'a sûrement entendu. À peine avoir poser les pieds un l'intérieur, j'étais tombé sur un cadavre étaler au sol et des cries provenant du long couloir. Je marchais en direction des cries, j'aperçus une silhouette écrasé un policier au sol et à gauche, Stiles caché derrière un bureau qui regardait la scène.

-Moi: Oh mon dieu !

Je criais tellement fort que la silhouette s'était rapprochée de moi. Et je reconnaissais ce visage, c'était Isaac, Stiles se levait subitement et me tirait vers lui pour que je me cache. Isaac n'avait pas eu le temps de se rapprocher de nous, lorsqu'un homme surgit dans la pièce et hurlait de toutes ses forces. Isaac tomba au sol et se recroqueviller en cachant sa tête.

-Stiles: Comment ta fais ça ?
-???: C'est moi l'Alpha.

L'homme prit Isaac pour l'aider à marcher et sorti du commissariat sans prendre une minute pour nous expliquer la situation.
Pour ma part, j'étais toujours assise par terre, je n'avais pas bougé d'un centimètre de Stiles qui était silencieux depuis que ce mec était parti.

-Stiles: Julie, ça va?
-Moi: Quoi tu rigole ! Comment tu veux que j'aille bien. Je viens de voir Isaac avec des dents énormeees, des griffes, des yeux jaunes et tu me demandes si je vais bien !
-Stiles: Je sais, j'en suis sûr que tu as beaucoup de questions à me poser mais il faut que tu sortes de là. Mon père va arriver et j'ai pas envie qu'il te pose des questions.
-Moi: Quoi ? Je ne sortirai pas de là temps que je n'aurais pas mes réponses Stilinski !
-Stiles: Je te promets que je te dirais tout demain mais là s'il te plaît, il faut que tu partes.

Je n'avais pas la tête à le faire dissuader de me laisser rester avec lui, son père était shérif va arriver et je devrais répondre à ses questions au quel je n'avais pas les réponses. Sans discuter, je sortais du commissariat et marchais jusqu'à chez moi.

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