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Depuis un moment Livaï n'est plus pareil avec T/p, il est plus sec et agressif quand il lui parle. Il lui a pourtant déjà dit qu'il n'aimait pas ça et qu'il lui manquait vraiment de respect mais il n'en a que faire.
Et encore aujourd'hui les autres colocataires sont partis en ville ensemble, mais Livaï et T/p avaient décidé de rester à la maison.
— « Bon ça suffit maintenant, il faut que tu changes ton attitude avec moi, ça va pas du tout. »
— « Je crois que tu n'as pas à me dicter ce que je dois faire T/p. »
— « Mais bordel t'es devenu débile ou quoi ?! »
— « J'aimerais que tu fasses un effort quand tu me parles. »
Il restait affreusement calme face à T/p, lui qui s'était déjà levé et qui faisait de grand geste avec ses bras. Livaï était resté assis et lisait tranquillement.
— « Ok là tu te fous de ma gueule petit enculé ? »
Il se stoppa dans sa lecture et regarda attentivement le c/c.
— « Répète un peu ce que tu viens de dire. »
— « J'ai dit que t'étais un petit enculé. »
Il posa son livre sur le canapé et se leva pour se placer devant T/p. Il était beaucoup plus petit que lui et il ne lui faisait sûrement pas peur. Le c/c ne faisait pas parti de ceux qui ne craignait pas le noiraud.
Le petit attrapa les cheveux de T/p, lui faisant baisser la tête, il plongea son regard dans le sien et il avait vraiment l'air menacent comme ça.
— « Ne me dis pas que j'ai tort Livaï, je sais que tu te fais enculer. »
— « Redescends sale con, personne t'as autorisé à me parler comme ça. »
— « Je me l'autorise tout seul Livaï. »
Le c/c colla ses lèvres à celles de son ami et introduisit sa langue dans sa bouche, il vint taquiner le muscle de Livaï qui avait fermé les yeux, tenant toujours aussi fermement la crinière de T/p.
Ils se séparèrent et le plus grand porta le noiraud en plaçant ses avant bras sous ses cuisses. Ils se rendirent dans la chambre qu'ils partageaient. Et le grand murmura à l'oreille de Livaï,
