Quand cupidon passe...

Texte n°5

Tu dors au creux de mes bras, tu es d'une beauté et d'une douceur paisible. Le temps est en suspend devant un spectacle aussi angélique. On ressemble à une peinture, "Deux amoureux au saut du lit", tu es mon Apollon. Tu a les traits si doux, ton visage exprime une certaine candeur imperceptible, tes yeux clos mettent en valeur tes long cils, tes joue sont légèrement rosée et tes cheveux éparpiller sur l'oreiller sont fin et doux comme de la soie. Tu es digne d'une statut grec, la prestance et la beauté que tu dégages feraient tomber en extase même la plus difficile des nymphes. Tu aurais ta place à l'Olympe à coté d'Aphrodite et de Zeus, les humains te vénéraient pour ta compassion à leur égard. Moi douce fille de l'ombre, aurait été touchée par ton éclats et Cupidon par amour pour l'Amour nous auraient lancé la plus pointu de ses flèches en plein cœur. Une romance digne d'une tragédie grec mais la mort ne nous aurais jamais séparé car l'amour à se lien particulier entre deux âmes, un lien plus solide que le fil d'Ariane lui même. Comme Pygmalion à rendue sa statut vivante tu me permet d'exister dans ce monde avec toi, tu es mon soleil qui guide mes pas et qui me fait me sentir plus vivante que jamais.

Une nuit avec toi et me voilà partie dans l'imagination d'un conte des plus romains. Mais j'aime croire que nous sommes la réincarnation de Roméo et Juliette ou Antigone et Hémon enfin réunis par l'amour et la vie après leur destin et mort tragique. Une vie romanesque nous attend, elle sera pleine de danger, de romantisme et d'aventure. Elle nous ressemblera.

Il m'est impossible de croire que tu n'es pas mon âme sœur, la partie de moi qui me manquait pour vivre épanoui, tu es mon prince charmant que je rêvais enfant et mon homme tout simplement dont je rêve maintenant. Mon amour pour toi devient si grand de jour en jour que j'ai peur que mon cœur ne soit pas assez grand. Mais il tiendra tant que tu resteras près de moi car pour une fois je comprends enfin le vrai sens du mot Amour.

Tu ouvres tes paupières, étonné de me voir t'observer, je souris et vient t'embrasser car seul un baiser peut lier une promesse à jamais, celle de t'aimer pour toujours.