The Mikaelson Twins [REECRITURE ET CORRECTION]

Chapitre 3

-Quoi !?!hurla soudainement Klaus.

-Bah alors ? On dirait que ta petite princesse ne se plaisait plus ici ? dit sarcastiquement Khyara.

-Khyara. Intervint doucement son oncle Kol, Essaye un sort plus puissant, celui en créole peut-être.

-J'me souviens du rituel mais pas de ce qui faut dire. Répliqua Khyara

-Heureusement que je suis là. Jwenn sa ki pèdi,pote sa ki pèdi.Dit Kol.

Khyara se plaça au-dessus de la carte s'ouvrit la paume de la main et fit couler son sang sur les bougies "Jwenn sa ki pèdi,pote sa ki pèdi.Jwenn sa ki pèdi,pote sa ki pèdi."Psalmodia-t -elle

Après de longues minutes les bougies commencèrent à fondre et leur cire coula vers un lieu précis de la carte, mais plus la cire coulais plus la voix de Khyara devenait grave et ses yeux de plus en plus bleus.

-Le Néant est en train de prendre le dessus il faut l'arrêter ! dit Le plus jeune des vampires originels en s'approchant de sa nièce.

Klaus le retint par le bras :

-Son sort n'est pas fini !

-Si tu veux avoir une entité maléfique à la place de ta fille c'est ton choix mais moi je ne veux pas que ça lui arrive ! S'écria Kol en se dégageant de la poigne de son frère.

Khyara arrêta alors de psalmodier et respira bruyamment. Kol courra vers elle alors que le reste de la famille s'approcha de la carte.

-Y'a pas de quoi ! dit Khyara en se relevant.

En regardant la carte la famille put se rendre compte que la cire pointait un point en dehors de la carte.
'
-Il semble que ton sort n'a pas fonctionné. Remarqua Elijah.

-C'est impo....

-Hope ?!s'écria une nouvelle voix coupante ainsi Khyara

Pdv Khyara :

Je me retournai lentement vers cette voix familière redoutant de voir la personne à qui elle appartenait. En me retournant je pus voir le visage plein d'espoir de ma mère, je me giflai mentalement pour avoir pensé à un jeu de mot avec le nom de ma sœur. Elle n'avait pas changé d'un poil de loup sûrement à cause de sa condition inhumaine. La voir me fit un bien fou mais fit aussi remonter une ancienne colère dut à l'abandon quelle m'avais fait subir. C'est sur cette émotion que ma phrase prit appuie :

-Non c'est ton autre fille, tu sais celle que ta oublié.

-Khyara ? tu ... t'es revenu. dit ma mère en s'approchant de moi.

-Non on ma obliger à venir pour sauver l'autre.

-Mais tu es apparemment aussi inutile que les autres. Répliqua mon père.

Je me retournai vers lui bien décider à lui fermer sa petite bouche d'idiot, en un claquement de doigt je lui brisai la cheville lui faisant lâcher un cri de douleur.

-Ils ont fait ça les autres ?

-Espèce de peti....

-Tacet, le coupais-je, l'empêchant de parler.

-Bref mon sortilège n'a pas fonctionné. Salut ! Tu viens oncle Kol ? dis-je en me dirigeant vers la porte, contournant ma mère.

Mais mon chemin fit rapidement couper par ma tante Rébekah qui me propulsa sur le canapé. Je me relevai avec difficulté prête à me venger. En un mouvement de poignée les nuques de ma tante, de ma mère et de mon oncle le plus vieux se brisèrent dans un bruit dérangeant, « c'est comme ça qu'on se débarrasse de la vermine » pensais-je. Je repris alors mon chemin vers la porte.

-Khyara !

-Yep ? répondais-je interloquée.

-On doit les aider ! On ne peut pas les abandonner.

-Ils l'ont très bien fait eux. Pourquoi pas moi ? répliquais-je rancunière.

-Parce que tu n'es pas comme eux, tu n'es pas une paranoïaque ou une hystérique, tu n'es pas une meurtrière. Dit-il en prenant mon visage entre ses mains. Tu es l'être le plus innocent des Mikaelson Khyara...C'est toi notre véritable espoir. Celle qui déroge à la règle des problème mentaux de cette famille celle qui...

-Tu m'as convaincue quand t'a dit que j'étais innocente. Dis-je les larmes aux yeux .

Il est plutôt doué pour me faire changer d'avis cette enfoiré.

-Très bien allons enquêtés du côté de son école de bourgeois, en avant toute capitaine Colle. Dis-je en séchant mes larmes et écorchant son prénom.

-Commence pas à jouer à ce jeu-là moussaillon Yara.

-Tu sais très bien que je déteste ce surnom, j'me sens persécuté. Dis-je en partant

-Excuse-moi Saint Pierre. Dit-il en me suivant dans la rue.

-Tu l'as déjà rencontré ?

-Comment ose-tu me croire si vieux jeune fille ? dit-il en me poursuivant dans la rue.