-Tu as tendance à m'énerver pourquoi es tu si molle, je déteste ce caractère chez une femme.
Je tâtonne ses cuisses, de mon fouet avant de lui dire :
-Fait du sport feignasse, combien pèses-tu ?
- quatre vingt quinze kilos. Me répond t'elle fébrile.
Je ricane.
-Je parlais de ton poids pas de ton tour de poitrine.
Elle soupire. Je lui dis :
-Tend la main, côté paume.
Elle s'exécute, je lui donne un coup sec, puis la reprend durement.
-Tout d'abord tu dois m'appeler Madame. Madame Robinson quand tu as réellement fauté, ensuite tu n'as pas le droit de montrer ton agacement. Comment oses tu soupirer devant moi ? Ce n'est pas de ma faute si tu n'as pas une taille de guêpe et des formes harmonieuses comme les miennes.
Je claque dans mes mains avant de crier :
-Bien ! Je t'ai trouvé un surnom, on va t'appeler Boudha.
Elle ne fait plus l'erreur de montrer son agacement, je ris de plus belle, lui ordonne souriante :
-Doigte toi Boudha.
Elle regarde à droite puis à gauche, hésite à exécuter mon ordre. Agacée, je lui balance durement :
-Ah mince ! tu ne sais pas où se il se cache ton vagin ?
je continue sous le ton de l'ironie.
-Il est surement cacher sous toute cette graisse.
Elle se lève furieuse, nous n'avons aucun lien elle et moi, elle peut dégager si elle le souhaite, ça me fera de l'air.
Seulement quand elle est devant ma porte, elle ose se tourner vers moi, elle regarde à gauche puis à droite, elle revient vers moi, commence à chercher ses mots.
Articule un ensemble de phrase, elle blablate, son blabla commence à m'énerver quand elle me dit :
-Vous n'êtes qu'une femme seule et aigrie, qui se défoule sur les autres, pour oublier le fait que malgré sa beauté, et sa sensualité aucun homme et même aucune femme n'aient été assez fous pour être avec vous.
J'étais assise sur mon fauteuil préféré, celui en cuir noir.
J'adore ce fauteuil quand il est entre les mains d'une femme qui n'a pas confiance en elle, il passera son temps à grimacer et à gémir car cette idiote passera son temps à chercher la position dans laquelle elle est confortable.
Des idiotes comme cette fille, elles sont indésirées, remplis de complexes, de remords de regrets ou encore les deux.
Elles n'ont aucune confiance en elle ou en leur corps, le moindre mot blessant peut les faire partir au quart de tour.
Juste à droite de mon cher fauteuil, se trouvait une table, une table sur laquelle se trouvait une bouteille de vin débouché.
Je lui fais signe de me prendre un verre, ce qu'il fît malgré le fait qu'elle soit désorientée.
Elle me tend le verre à vin, que je prends avec délicatesse.
Elle est confuse comme c'est drôle elle s'attendait à une réaction. Mais quelle idiote !
Le silence se fait entendre quand je verse le liquide rouge dans mon verre en cristal, aucun bruit que ce soit le fauteuil la fille ou bien la bouteille, pas un bruit.
Voilà ce que j'appelle de la prestance.
je prends le verre de ma main droite, fait bien attention au fait que le pied du verre soit bien calé entre mon index et mon majeur, fait tournoyer le liquide rouge au sein du verre.
J'en prends une gorgée, je laisse me lèvres se déformer lentement pour esquisser un semblant de sourire.
Je suis satisfaite, elle a du caractère à présent cependant c'est un problème car personne ne me tient tête.
Par un geste lent et précis. Je lui balance mon vin au visage, le vin est aussi aller sur sa robe. Je lui dis sur le ton de l'ironie :
-Les tâches de vins sont durs à enlever, vous pouvez vous en allez.
Elle pousse un cri, un cri strident, qui me contrarie.
Je me sers un autre verre, je viens de gâcher un verre de château bordeaux, quel dommage.
Après avoir jurer par tous les noms, elle s'en va furieuse.
-Bon Dieu, Comme c'est fatiguant de prendre des soumis en période d'essaie !
Note : C'est avant tout une fiction. Une femme ne doit pas être juger sur son apparence s'il vous plaît faites attention.
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Madame Robinson
ChickLitBienvenue dans le monde délirant de madame Robinson. Entre soumission et domination, on ne sait plus en donner de la tête. Une femme froide ? Ou une femme faite de compassion ? Une chose qui est sur dans les bras de madame Robinson, on ne s'ennuie j...