> aussi bien du soft que du +18
> des réactions et des imagines
> des réactions spéciales, des pause games et des bonus à l'occasion des avancées du recueil
> les commandes sont fermées 🤡
Sentez vous libres de commenter et bonne lecture !
Tu te réveillais, difficilement, dans des draps dont l'odeur citronnée ne t'était pas inconnue.
Il t'était d'ailleurs plutôt agréable de traîner un peu, frottant et entremêlant tes pieds aux plis de la couette, encore chaude.
Tu n'avais pas le moindre souvenir des derniers instants... avant quoi ? Tu ne savais même plus. Tu profitais simplement et naïvement de cette douceur. Elle t'avait manqué cette ambiance paisible dans cet environnement sécure dans lequel tu étais entourée de personnes aimantes et protectrices.
Mais, encore une fois, cette nostalgie te prenait la tête. Tu avais beau avoir envie de profiter, tu n'étais pas naïve et encore moins simple. Tu réfléchissais beaucoup trop. Pourquoi étais-tu nostalgique ? Que s'était-il passé avant ?
Ton esprit sembla saisi par de nouvelles images.
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"À notre santé les frères ! Depuis 100 ans que nous attendons l'avènement de la Psyche."
"Goûtons enfin ce sang aussi exquis que rare..."
Le Centre. Comment avais-tu pu oublier ce détail et ces types, prêts à te sacrifier.
Un reflux te parvint à la gorge au moment où ce flash te traversa violement l'esprit, balayant sur son passage la sérénité dans laquelle tu étais.
Un jeune homme prêt à voir si tout se passait bien dans sa chambre, entra et se précipita vers toi dès qu'il aperçu ton visage perturbé.
"Tout va bien ?! Répond moi !"
Ton regard embué croisa difficilement celui de Hyunjin qui tentait pourtant désespérément de te ramener auprès de lui, dans la réalité.
"CHRIS VIENT VITE !!!"
Des pas hâtifs se rapprochèrent expressément de la chambre dans laquelle tu avais dormi avant que l'interpellé ne prenne la place de ton ami à ton chevet.
Il aggripait doucement ta main mais sa poigne était suffisamment ferme pour que tu reprennes tes esprits.
"Tout va bien... bébé... c'est moi."
Le son de sa voix fût presque magique tant ton pouls s'apaisait et, ton rythme cardiaque se calant sur le sien, la main contre sa poitrine.
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