IMAGINE Felix : affaire classée 4/4.

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L'organisation est un beau ramassis de connards.

Minho te disait cela lorsqu'il abordait son quotidien avec toi.

Et pourtant elle avait été votre unique porte de sortie.

La seule solution à votre vieille misère.

Un grand frère et sa petite sœur ayant dû pactiser afin d'expier les péchés de leurs parents.

L'organisation vous avait recueilli lors d'une quête des rescapés de pêcheurs.

Elle ne comporte que des humains en son sein mais ils sont commandés par des forces transcendantes supérieures  telles que les anges et les démons. Eux collaborent, déterminent les cibles dont les factions doivent s'occuper.

Faction Initiale puis Terminale dont le simple but est de cerner puis conduire les âmes pécheresses à la mort pour le jugement.

En leurs seins, plusieurs escouades de quatre membres chacune.

En réalité, votre rôle n'était pas de les tuer de vos propres mains mais juste faire passer les âmes de l'autre côté :

"Nous sommes des messagers et nous devons leur obéir même si cela ne te convient pas... mais ne t'en fais pas je suis avec toi."

Ces mots raisonnaient encore dans ta tête comme si ils étaient tout frais. En réalité, Minho te le répétait sans cesse pour que tu ne fasses aucun faux pas.

Et tu n'en avais jamais fait.

Jusqu'à jour où il mourut...

"Réveille toi... nous sommes arrivés."

Felix était à tes côtés sur la banquette arrière en attendant que tu emerges

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Felix était à tes côtés sur la banquette arrière en attendant que tu emerges.

Le grand jour était enfin arrivé. Celui de la vérité.

Tu avais patienté un gros mois avant qu'il ne revienne vers toi concernant l'affaire Minho. D'ici là, vous aviez plutôt bien sympathisé pendant cette attente de résultats. Plutôt bien... oui.

Tu sentais ses bras te porter aux siens et tu te ouvrais les yeux.

La tenue qu'il portait ne faisait plus aucun doute.

Tu emergeais dans les bras d'un ange gardien.

Et pour cause il en était bel et bien un.

"Tu portes la veste et les ailes des bras droits du bien... tu es un ange."

Il caressait ton visage encore endormi.

"Comment ai-je pu ne pas m'en rendre compte... je suis si bête."

Il fronça les sourcils.

"Ne dis pas ça. Tu es celle qui a réussi à comprendre le plus de choses dans cette affaire.

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