왜... 𝕎𝕒𝕖... 𝕎𝕙𝕪... ℙ𝕠𝕦𝕣𝕢𝕦𝕠𝕚? { BTS}

Annyeong...

Hey, salut.

Moi, c'est Eun-Hwang. J'ai tout juste 19 ans et je suis une Army, le tee-shirt que je porte actuellement confirme.

Je vis seule dans un petit appartement, dans les rues de Séoul.

Il fait déjà sombre et nos ruelles sont vraiment très sombres et mal fréquentés.

Je sors actuellement de l'épicerie de mon quartier, et je descends alors la petite pente.

La ruelle est humide et étroite, l'eau ruisselle au sol, vu qu'il a plut il n'y a pas plus de 20 minutes..

La lune se reflète sur les flaques d'eau au sol.

La ville, à cette heure-ci, est silencieuse.

J'approchais quelques peu de mon appartement, lorsqu'un cri étouffé attira mon attention.

J'entendais des voix, des mecs parlaient.. Je m'approcha de la ruelle et y vit 4 mecs autour d'un jeune homme au sol.

...: Tu ne vaut pas ta place!!!

...: Casse toi, tu fais tâche!

J'entre dans la ruelle.

E: Yaa! Bandes de Pabo! Vous avez pas honte, à 4 sur un!! Dégagez et laissez le tranquille.

Ils se retournent et me fixent.

J'avance en soupirant.

E: Aish..

Je pose mon sac sur une poubelle dans la ruelle, remonte mes manches et traverse au milieu du troupeau afin d'aider le jeune homme au sol à se relever.

Il porte un masque mais je peux voir du sang en sortir.

Il me regarde..

Et je lui murmure: " Je sais qui tu es.."

Je l'aide à se relever.

E: Sérieusement, vous vous en prenez au gens comme ça, gratuitement?

...: Hey Minette, casse toi!

...: Je ne veux pas abimer ton jolie minois!

Je continue de les ignorait et m'adresse a la personne qui a été agressé.

E: Peux tu demander qu'on te récupère en bas de la ruelle Hui-Mang? Je t'y accompagnerai.

Il hoche la tête.

Je fini par me retourner.

...: On ne te laissera pas passer.

Je pousse légèrement l'agressé, qui se colle au mur instinctivement.

Je donne un coup dans le genou de l'un d'eux, le faisant craquer, saisit le bras de l'autre qui ne me laisser pas passer et le brise sur mon épaule.

Je pivote en 360° et envoi le 3éme au bout de la ruelle, avec un coup de pied dans le ventre.

Les 4 imbéciles s'enfuyaient tandis que l'agressé me regardait, les yeux grands ouvert.

E: Je t'accompagne!

Je réajusta mes manches, pris mon sac de provision et sorti de la ruelle en lui faisant un signe de tête.

Nous descendions en bas de la grande pente de ma ruelle.

Une voiture noire était garée au milieu.

Je vérifie qu'il y monte, m'incline et repart pour chez moi.

Aish, de nos jours les gens n'ont plus de respect.

J'ouvre mon appartement, entre et referme en m'assurant l'avoir verrouiller.