Madame Robinson

Bon chien !

-Honnêtement je ne comprends même pas pourquoi tu es revenu ici.

Il est à mes pieds, se blottit contre la seule partie de mon corps qu'il soit autorisé à toucher.

Je soupire.

Il est bien dressé, trop bien dressé d'ailleurs.
il n'y aucun challenge, il a une âme de bon chien.

Je vais l'appeler :

- Toutou. Je vais t'appeler toutou.

Il acquiesce.

Je me renfrogne, lèves les yeux aux ciels. Trouvons nous une occupation avec lui, Comme il est un bon chien il va donc :

-Me lécher. Suce moi Toutou.

J'écarte les jambes, chacune de mes jambes est écartée par l'accoudoir du côté solicité.

Je passe ma main dans ses cheveux bruns, rapproche son visage de mon intimité. Il en hume l'odeur, sourit. Étrangement je souris ici. Il est adorable un si bon chien.

Je soupire, lui demande :

-Qu'Est ce que tu attends ? Enfonce ta stupide langue en moi.

Il est perdu, se demande si je suis sérieuse ou bien si je suis en train de le tester. Il se racle la gorge parle à voix basse, dit cette phrase avec retenue :

-Madame Robinson, ai je réellement le droit de vous toucher ?

Je tire violemment sur ses cheveux, et place sa bouche entre mes jambes. À cet instant il agrippe mes cuisses.

J'enfonce encore plus mes ongles dans sa chevelure, quand il enfonce sa langue humide entourée de salive chaude, liquide.

il met entièrement sa langue dans l'orbite de mon intimité. Je ferme les yeux un instant, je dois me concentrer.

Je ne vais pas gémir comme une vulgaire femme.

Je suis une dame, une madame je sais me contrôler. Je prends sur moi, contrôle ma respiration.

Elle n'est ni saccadée, ni essoufflée.

Elle est normale. Naturelle et contrôlée.

J'inspire lentement quand il bouge sa langue en moi, expire bruyamment quand il améliore son emprise entre mes cuisses.

J'inspire plus profondément, pose ma main sa tête, la tapote et lui dit :

-Plus fort, encore et toujours plus fort.

Il grogne, mais où est mon fouet ? Oh non je l'ai laissé dans ma commode, je le punirais après.

Il se retrouve à enfoncer sa langue encore plus profondément. Le bout de son nez se retrouve sur mon clitoris et je sens sa forte respiration me chatouiller cette partie qu'il dise sensible chez la femme.

Je soupire, me concentre sur les mouvements de sa langue, haut en bas, elle tourne sur elle même.

Je me surprends à arrêter ses cheveux avec forces à l'encourager avec un :

-Oui bon Toutou, vas y tu peux mieux faire .

Il prend mes pieds qu'il rapproche, mes jambes sont à présent autour de sa tête. Sa respiration nasale se fait encore un peu sentir.

J'expire, resserre ma poigne sur ses cheveux.

Il enfonce encore plus sa langue, la tourne en un nombre incalculable de fois jusqu'à ce que je la sentes cette satisfaction qui monte en moi.

Jusqu'à ce que je la dompte, je ne cris pas je ne gémis pas, j'expire de l'air chaud de manière convenable.

Il retire se langue de moi.

Enlève ce qu'il avait sur la langue.

Ce liquide blanc et gluant, qu'il appelle la semence ou un nom du style.

Il a la bonne idée de passer sa langue sur cette partie encore sensible.

Je ne peux le contrôler et je jouïs de plus belle.

Quel fidèle chien, il lèche aussi tôt ce qui s'échappe de moi.

Quelle adorable créature.

Je lui souris, caresse le haut de sa tête avant de lui dire :

-Tu mérites une belle récompense.