Cela faisait déjà deux mois jour pour jour qu'elle avait atterri dans ce monde, ne pouvant croire qu'elle avait remonté le temps. Après avoir recouvrée complètement les souvenirs de l'ancienne sakuraï et gardant les siennes elle était prête à aller plonger la cour dans le cahot.
Mais sa détermination fut arrêté quand elle se rendit compte qu'elle n'avait aucune preuve pour se confronter à qui que se soit. Et qu'elle ne serai qu'une proie facile pour ses ennemis. Elle retourna dans sa hutte la tête basse et le dos courbé. Ne pouvant plus supporter la faim, elle se mis à trouver un moyen de sortir du palais discretement en vendant des herbes et revenir le soir.
Le deuxième mois elle avait mis son plan en exécution, elle avait reconnu les servantes d'une des concubines du palais faire des courses une à deux fois par semaines. Ne se préoccupant que de son amour envers l'empereur, elle ne sais jamais sentit attirer par les autres concubines sauf celles qui lui faisait de l'ombre. Elle soupira ne sachant à qui elle allait s'en prendre.
- herbe medicale, de la bonne herbe medicale. Elle se plaça juste à côté dans son stands on hurlant à tue tête. Elle attendit que les deux servantes passèrent devant elle avant, puis simula un accident et mis des feuilles dans leurs paniers.
- eh ! L'herbiste je voudrais des feuilles pour l'estomac.
Elle feint un sourire, puis s'esclaffa aussi bruyamment qu'elle le pue
- M. le bouchier a besoin des mes herbes, n'êtes vous pas l'homme de ce marché avec vos gros bras et votre couteau, n'êtes vous pas le plus fort ? Celà me surprend que vous aviez besoin des herbes alors que vous étiez le premier à me négliger. Est parce que mon commerce marche bien.
- non c'est parce que j'ai vue ce que vous avez fait.
La concernée hocha les épaules et retourna à son stand, son lacher des yeux son voisin d'en face. Le boucher est un homme connu du marché avec sa haute silhouette, ces muscles et son gabarit imposant son sourire démoniaque personnes ne s'aventurer à lui provoquer. Il est plus facile pour lui d'intimider que de se faire intimider. Et c'était sans compter sur sakuraï qui l'avait fermé son clapet et depuis il laissait ses yeux rivés constamment sur elle guettant ses moindre faits et gestes. Et aujourd'hui il avait vu quelque chose d'intéressant.
- se ne sont pas tes affaires le coupeur de porc. Dit elle avec une pointe d'agacement avant de se concentrer sur son stands.
Elle resta avec un sourire toute la matinée s'appliquant à mettre le deuxième plan en route puis elle fronca les sourcils ne comprenant pas la raison pour laquelle ces deux servantes ne la reconnaissait pas, pourtant sakuraï était une figure emblématique du palais avec toutes les misères qu'elle faisait subir aux autres concubines à chaque fois que l'empereur était avec l'une d'elle.
- ah pauvre sakuraï ton amour virait à l'obsession pour avoir eu une fin aussi misérable, même quand tu avais des fortes chances de survivre, il n'est pas venu et celà après deux mois de disparition il ne te cherche toujours pas. Ah notre réputation dans le harem est bien basse.
Elle mit un temps d'arrêt et réfléchis.
- je me demande pourquoi les servantes n'ont rien dit à leur maîtresse et cela m'étonne ou bien elle ne me connaissent pas du tout, mais j'en doute sakuraï est assez connue dans la cours. Ah de toute façon je m'en fiche, je vais retourner dans cette cours, il est bien beau d'être libre mais comme les moyens sont limités. Je dois me faire entretenir par un homme riche et le plus riche est l'empereur. Dit elle en haussant les épaules et grand sourire regardant le boucher puis lui fit un clin d'oeil.
Ainsi continua sa vie, monotone perturbée de temps en temps par ces disputes avec le boucher. S'adaptant de jour en jour à cette vie et ne regrettant que quelque fois son téléphone, se réveillant de fois dans la nuit pour se poser des questions sur la vie de son ex. Le matin elle part à la recherche des plans, qu'elle nettoie avec un air detacher de fois ou avec nostalgie, tirant les pieds en empruntant la route du grand marché tout en lançant de fois des remarques sarcastiques au boucher qui venaient toujours avant elle. Après un mois de plus sans nouvelles des servantes et de son plan qu'elle s'appliquait à faire chaque matin, le point positif était sa réputation dans le marché beaucoup de gens venaient s'enquérir des ses plantes et augmentant sa bourse. Elle fut heureuse de ne pas avoir payée des taxes ou impôts auprès de l'empereur pour ces plantes.
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Pas Forcément Toi !!
FanfictionAprès un accident, elle se réveille dans une époque inconnue, une hute en guise de maison et porte des haillons, trouvant cette situation désespérée, c'est alors que les souvenirs de l'ancienne propriétaire du corps apparaissent. Elle est devenue S...