PDV Craig
Je suis content que Clint ai pu prendre deux semaines de congés, l'état florissant de sa société le lui autorisant. Ça fait déjà trois fois que je l'ai mis en alerte à cause de fortes contractions qui nous ont conduit au service maternité pour rien ... Mais ce soir je sens venir les choses. Il a bien vu que je souffrais quand nous suivions un programme de divertissement à la télé en soirée. Du coup je suis monté me coucher plus tôt que lui et suis tombé immédiatement dans les bras de Morphée. Je viens tout juste de me réveiller en sursaut, Clint est couché à mes côtés et dort du sommeil du juste. Nous avons encore fait l'amour deux fois aujourd'hui, pour mon plus grand bonheur ! Il ne trouve plus d'excuse pour refuser de me baiser vu qu'il est en vacances, ce qui n'est pas pour me déplaire. Soudain une énorme contraction me tord le bas-ventre et me fait m'asseoir au bord du lit. Il est 2h du matin au réveil posé sur ma table de nuit. A mes pieds une petite flaque d'eau, de cette eau qui coule de mon intimité.
Craig : Clint ? Cliiiiiiiiint !!! Réveilles-toi ! Je viens de perdre les eaux ! Marge arrive ! Viiiiiite !!!
Je le vois s'éveiller en sursaut, l'air affolé. Il se lève enfin et me rejoint de l'autre côté du lit, regardant d'un air air éberlué la flaque humide sur le parquet.
Clint : Je t'emmène de suite à la maternité mon amour !
Craig : Je crois qu'il est trop tard pour ça chéri ! Aiiiiiiieuuuuuu Putain que ça fait mal ! Je sens qu'elle vient Clint ! Fais quelque chose ! Appelle les secours bon Dieu ! Je ne veux pas la perdre !
PDV Clint
Reprenant rapidement mes esprits je compose le numéro des services d'urgence et leur explique la situation en leur donnant notre adresse.
Clint : Ils seront là dans dix minutes chaton ! Tiens le coup ! Respires à fond !
J'enfilais vite mon pantalon et un tee-shirt avant d'aider Craig à se rallonger dans notre lit, la tête confortablement installée sur mon oreiller. J'allais allumer la chaîne hifi au pied du lit, laissant une douce musique classique installer une ambiance zen dans la chambre.
Chaton , lui, était toujours plié sous le drap, subissant les douleurs de ses contractions de plus en plus rapprochées.
Craig : Bordel que ça me fait mal ! Vivement qu'elle sorte ! Elle va me détruire les intestins cette petite monstresse et c'est TA faute Clint ! Espèce de bâtard !!!
Je souriais en entendant ses insultes ... certain qu'il allait s'excuser mille fois après coup de me les avoir dites ! Ah Ah Ah J'entendis les secours tambouriner à notre porte et allais leur ouvrir, les conduisant jusqu'à mon homme. Ensuite ce ne fut plus que gestes techniques de professionnels.
Secouriste : Poussez monsieur Barder ! Poussez ! Voilà, comme ça ! Continuez !
J'entendais les cris de mon chaton qui peinait à mettre au monde cet enfant qui avait grandi dans ses entrailles. Je maudissais alors mon imprudence à ne pas avoir su le protéger.
Secouriste : Stop ne poussez plus ! Sa tête est sortie et il faut que je dégage ses épaules.
Au bout d'une minute ou deux je ne sais plus, il engagea chaton à pousser une dernière fois pour expulser Notre petite fille. Des cris de bébé envahir soudain la pièce et les larmes me montèrent aux yeux ! Marge était née et reposait à présent sur le torse de Craig ou elle prenait son premier repas liquide, au sein de son père. Je m'approchais d'eux, infiniment ému par cette naissance, admirant cette image qui allait me rester à vie en mémoire, mon chaton tenant notre enfant, le fruit de notre amour, dans ses bras. Je lui baisais longuement les lèvres lui témoignant ma passion du moment en lui glissant un << Merci >> au creux de l'oreille.
Craig : Merci à toi mon tendre amour ! Merci à toi pour ce cadeau que tu m'as fait là ! me dit-il en baissant son regard sur la petite Marge qui dormait, agréablement installée dans la chaleur du corps de mon chaton.
Les secouristes étaient aussi émus que nous en nous adressant leurs chaudes félicitations. Ils assistèrent Craig encore un moment, le temps qu'il expulse le placenta du bébé puis nous quittèrent enfin. Remettant un peu d'ordre dans la pièce, je pris le carnet de grossesse que j'avais assidûment rempli jusqu'alors et y ajoutais l'heureuse conclusion, en quelques mots simples, pour laisser une trace du bonheur que nous venions de vivre.
Clint : Ça va chaton ? Tu es heureux ? Elle est enfin là notre princesse et elle est magnifique comme son père ! Regarde ses petites oreilles comme elles tressautent quand je parle ! C'est incroyable ce que nous venons juste de vivre Craig ! Je suis l'homme le plus heureux de cette terre !!!
Craig : Apporte moi sa layette ainsi qu'une couche, qu'elle n'attrape pas froid, me fit-il en souriant.
Clint : De suite mon amour ! Alors un body ! une couche bien sur ! un petit bonnet pour sa tête ! Et une bonne paire de chaussettes ! Sans oublier sa sucette ! Et pour finir ce minuscule pyjama rose attendrissant ! Tiens, voilà chef !
Chaton entreprit d'habiller notre bébé avant de me la déposer dans les bras. J'étais tellement fier de tenir cette petite merveille ! Je lui déposais un baiser sur le front avant de la coucher dans son berceau ; lui plaçant la sucette en bouche elle s'arrêta de geindre. Je fit rouler le berceau à côté de Craig afin qu'il puisse garder un oeil sur elle, avant de me recoucher contre lui.
Craig : On peut vraiment dire qu'on forme une famille à présent Clint ! J'en avais déjà eu un avant goût avec ta marque !!!
Clint : Quoi ? Tu savais mon amour ? J'ai certainement du te marquer le soir ou nous avons conçu notre puce ... J'ai aperçu ma marque à ton cou le jour ou nous nous sommes mariés, dans la voiture, quand je t'ai demandé de couvrir tes suçons d'un foulard. Je te demande pardon chaton ! Je sais que tu ne voulais pas m'appartenir de cette façon ...
Craig : Je suis heureux que tu m'aies forcé la main ainsi ! Ta marque je la porte avec fierté Clint !
Je sentis les doigts de Craig se poser sur mon menton tandis qu'il approchait ses lèvres de moi. Elles se posèrent sur les miennes avec une infinie douceur. La pointe de sa langue me caressa la lèvre inferieure avec lenteur avant de s'immiscer entre elles, butter sur mes dents avant que je ne m'ouvre complètement à son baiser langoureux ! Sa langue caressa la mienne avant de s'y enrouler me laissant sans souffle. Comment pouvais-je avoir cette énorme envie de faire l'amour à un homme qui venait tout juste d'accoucher ? Ma langue se perdit sur son torse jusqu'à prendre en bouche un de ses seins. Sans me rendre compte je me mis à le téter goulûment, avalant avec délice ce lait qui s'en échappait.
Craig : Laisses-en à ta fille mon amour ! me dit-il en riant doucement. Je me demande quel goût ça a !
Clint : Alors goûte le BB ! me fit-il en m'embrassant voluptueusement.
Craig : Mon conduit n'est pas apte à te recevoir pour l'instant mais ma bouche l'est, sans conteste ! me dit-il en abaissant mon boxer.
C'est avec un plaisir certain et avec soulagement que j'accueillis sa divine bouche sur mon membre dressé. Je me laissais alors aller à cette douce folie jusqu'à exulter entre ses lèvres dans un cri qui éveilla l'enfant endormie. Sautant du lit à toute vitesse, rajustant mon boxer à la volée, je me penchais sur le berceau pour remettre la sucette entre les lèvres de ma petite beauté.
Clint : Rendors-toi ma puce ! Tes papas ne vont plus faire de bruit, je te le promets !
Je me recouchais auprès de mon petit chat en le serrant dans mes bras. Remarquant une trace de mon sperme sur son menton je l'essuyais de mon pouce en riant sous cape.
Clint : Sale gosse vas ! Il est temps de dormir !
Nous nous souhaitâmes bonne nuit en nous hâtant de nous ré-endormir. Putain quelle émotion ...
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Amour ... Toujours ! ( BL ) (Terminé )
FanfictionOh Clint, PDG de sa société d'architecture à 30 ans, Alpha de son état, embauche Barder Craig un jeune Oméga de 22 ans, architecte, dans son entreprise. Leur amour naissant sera-t-il entravé ou leur permettra-t-il de construire leur avenir sereineme...