La femme de ma vie {BakuDeku Yaoi}

La femme de ma vie

Aujourd'hui encore, le jeune Izuku se rendît dans son exécutoire routinier.

Mais aujourd'hui, il stressait encore plus. Il savait qu'il allait souffrir deux fois plus aujourd'hui. Car ce matin, sur le chemin il reçu un message de sa mère qui disait texto:

"Recoucou mon chéri !

Désolé c'est un peu tard pour le dire mais ce soir les Bakugo viennent diner à la maison. Donc si tu as des choses prévus ce soir, désolée mais il faudrait que tu les annules.

Bonne journée mon chéri ! Et écoute bien en cours !"

Il savait parfaitement que le blond était aux courant. Et il se doutait que celui ci se vengerait de devoir subir ce diner entre voisins sur lui.

Sa peur se révéla finalement vraie car à peine il pu mettre ses chaussons scolaires que le blond l'attrapa et l'emmena dans un coin de l'école désert et à l'abri des regards accompagné de sa clique.

-Hey, connard de Deku, à cause de toi j'vais devoir v'nir chez toi et encore devoir te supporter ! Tu vas prendre cher...

Le blond lui assena deux violents coups aux cuisses, le vert en tomba comme par réflexe.

Il lui dit d'une voix fébrile et tremblante:

-Ka-Kacchan... Ce n'est pas moi qui ai de-demandé à t'invit-

Avant de pouvoir finir sa phrase, le vert se prit un coup de point très violent au ventre, il se recroquevilla pour apaiser le mieux la douleur.

-ET TU OSES ME RÉPONDRE ?!

Il lui assena un autre coup tout aussi violent sur son avant-bras gauche, durant cet "échange", la clique de Katsuki riait aux éclats en accompagnant leur leadeur sur l'humiliation en lançant des mots de style "PD !", "Victime", "branleur", au encore le qualifiant de "gamins sans couilles".

Tous les garçons entendirent la cloche sonner, le groupe des harceleurs alla en classe, laissant derrière eux le pauvre petit vert qui eu du mal à se relever. Il arriva avec cinq bonnes minutes de retard en cours.

La fin de la journée arriva, le corps du petit vert était deux fois plus meurtri par des coups et blessures orchestrés par la même personne.

Étant dans la même classe, les deux voisins sortirent en même temps. Le blond poussa violemment son interlocuteur par la tête en lui disant sèchement "Casse-toi !". Le vert attendit que le blond ai une distance d'environ cents mètres pour revenir chez lui.

Arrivés chez les Midoriya, ils saluèrent les parents de l'autre qu'ils connaissaient assez bien pour pouvoir les appeler par leur prénoms.

-Bonjour Mitsuki.

-Salut Izuku ! Tu as bien grandi depuis la dernière fois !

-Heum... Merci ? Bonjour Masaru.

-Bonjour Izuku. Tu vas bien ?

-Oui et vous ?

-Je vais très bien, merci.

-... 'lut Inko...

-Bonjour Katsuki ! Comment ça va ?

-... Ouais bien.

Après ces quelques mots échangés, les voisins, amis, harceleur-victime se mirent à table. On entendait plus les adultes. Après le repas, les parents dirent aux deux garçons d'aller jouer dans la chambre d'Izuku ou quoi que ce soit, ils devaient parler entre adultes.

Katsuki y alla râlant et Izuku souriait, dés qu'ils ne le virent plus il se mît à trembler en suivant son ami d'enfance.

Qu'allait-il lui faire ? Le taper, l'insulter, le mettre dans un position gênante et l'envoyer à tout le monde ? Il trembla encore plus suite à cette idée. Arrivés dans la chambre, Katsuki commença à frapper Deku, puis lui demanda:

"-Oi Deku, tu vas souffrir c'est à cause de toi que je me retrouve dans cette baraque de merde. Une dernière volonté~ ?

-... Je ne sais toujours pas pourquoi tu as radicalement changé, tu étais mon meilleur ami ! Je ne sais pas ce qui à déraper, si c'est de ma faute ou non mais... Frappe moi autant que tu veux, je te dirais merci...

-... Deku ? Merci ?

-Oui, merci Kacchan ! Grace à toi j'ai trouvé celle qui me réconforte dans n'importe quelle situaton, elle m'apaise et je la trouve géniale. J'ai trouvé la femme de ma vie Kacchan !

-...

Le blond assimila juste les mots sans réfléchir au sens des phrases, trop impatients de pouvoir se jeter sur son défouloir. Les adultes n'entendaient rien, trop occupés à parler et rire.

Une bonne demi-heure plus tard, les Bakugo rentrèrent chez eux.

Chapitre suivant: Questionnement