{41} : Newt (Commande de Gwenaellepeyrebrune)

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📛🚨Contenu à caractère sexuel🚨📛

Imagine : Le Labyrinthe est ton quotidien depuis maintenant deux ans et pourtant, tu n’arrives toujours pas à te faire à cette vie. Pour toi, c’est un enfer chaque jour. Te réveiller tous les matins entre ses quatre murs est un vrai calvaire et heureusement que ton petit ami Newt te soutient et t’aide, sinon cela ferait bien longtemps que tu aurais mis fin à tes jours. Il arrive à rendre les choses un peu plus faciles.
Ce soir, tu n’arrives pas à dormir, alors tu fixes le ciel noir qui surplombe le Bloc. Alors que de l’autre côté des murs, à quelques mètres de toi, tu sais qu’il y a les griffeurs, tu entends leurs plaintes qui te glacent le sang. Tremblante, tu te retournes pour te coucher sur le flanc et ton regard se pose sur le groupe de garçon qui dort plus loin. Tu te demandes comment ils font pour paraitre aussi paisible, alors que vous risquez votre vie à chaque instant, sans savoir où tout ce que vous faites ici va vous menez. Sans t’en rendre compte, tu t’es mise à pleurer et tu renifles en essuyant ta joue tu revers de la main. Tu te sens tellement faible. Tu voudrais que tout cela cesse.

-Eh !

Une main se pose sur ton épaule et te fait basculer sur le dos. Tu sais immédiatement que c’est ton petit ami qui vient de se réveiller et qui t’a entendu pleurer. Il te couve du regard, l’air inquiet.

-Tu déprimes encore ?

Les yeux encore pleins de larmes, tu acquiesces. Sans hésiter, Newt te sert dans ses bras et tu enfouies ta tête dans le creux de son cou. Comme d’habitude, son contact te rassure, mais ce n’est pas pour autant que tu te sens mieux, rien ne peut te faire oublier que tu es enfermée ici, pas même l’amour que tu lui portes.

-Ça fait combien de temps que tu es réveillée et que tu rumines ?
-Je n’ai pas dormi…

Tu sens qu’il secoue la tête en soufflant, mais il ne dit rien et ressert son étreinte, lui donnant tout le réconfort possible. Comme pour le remercier, tu déposes un petit baiser dans son cou. Cela déclencher quelque chose chez lui, il s’écarte de toi et plonge son regard dans le tien avant de t’embrasser doucement. Tu le laisses faire en te laissant aller à ce délicat moment. Peu à peu, le baiser devient plus fougueux et il pose fermement ses mains sur tes joues alors que les tiennes viennent naturellement sur ses hanches. Les yeux clos, tu apprécies le moment et ton angoisse se dissipe légèrement.
Délicatement, Newt finit par te faire basculer vers l’arrière et il se retrouve penché au-dessus de toi. Vos lèvres se quittent et ton petit ami, le souffle court, te fixe d’un air indescriptible, ce qui déclenche une sensation étrange dans ton ventre. Il finit par déglutir difficilement, puis il te dit :
-J’aimerai pouvoir t’aider et te faire oublier tout ça.

Machinalement, un léger sourire relève le coin de tes lèvres alors que tu lui caresses la joue avant de passer la main dans ses cheveux.

-Tu ne peux pas, mais ta présence m’aide déjà beaucoup et tu le sais.

Sur ces mots, tu l’attires de nouveau à toi et vous vous embrassez. Cette fois, le baiser est intense et vos mains se font plus baladeuses. De ce fait, Newt se retrouve rapidement torse nu et tu caresses la moindre parcelle de son corps.

-Tu es sûre de vouloir faire ça ? Les autres ne sont pas loin.

Tu te contorsionnes pour arriver à voir où se trouvent les autres Blocards et remarquent que si l’un d’eux se réveillaient, vous pourriez facilement être pris sur le fait. Tu décides donc de te lever, avant de prendre Newt par la main et de l’emmener un peu plus loin. Il ne bronche pas et vous vous retrouvez donc à l’abri des regards,  derrière la salle des cartes. Sans plus attendre, tu te retournes vers lui et plaques avidement tes lèvres contre les siennes. Il ne se fait pas prier et te répond en posant ses mains sur tes reins et en t’attirant à lui, avant de te faire reculer jusqu’à ce que ton dos entre en contact avec le mur du bâtiment.
Plus votre désir monte, plus vous vous dénudez. Le simple baiser devient rapidement bien plus et vos corps ardant finissent par s’unir. Tout en bougeant en toi, Newt caresse ta jambe qu’il a callée contre sa hanche. Tu sens le plaisir grandir dans ton bas ventre alors que le souffle de ton petit ami caresse ton épaule. Sans t’en rendre compte, tu enfonces tes ongles dans son dos, tandis qu’il accélère les coups de reins. Un gémissement menace de s’échapper de tes lèvres mais Newt l’en empêche en t’embrassant à nouveau. Tes mains glissent jusqu’à sa nuque, puis à ses cheveux avec lesquels tu joues. Pendant que celle de Newt caresse toujours ta jambe et ta hanche, accentuant ton plaisir.
Finalement, tu te laisses aller contre le mur quand tu atteins l’orgasme, épuisée. Newt te soutient en souriant, avant de déposer un tendre baiser sur le haut de ton crâne.

Imagine... {FERMÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant