{33} : Hayes Grier (Commande de TwerkingAri)

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📛🚨Contenu à caractère sexuel🚨📛

Imagine : Tu es en couple depuis plusieurs mois avec Hayes Grier et vous passez la plus part de votre temps ensemble, tant vous êtes bien l’un avec l’autre.
Aujourd’hui, vous aviez prévu de passer la journée dans sa piscine, mais malheureusement, il s’est mis à pleuvoir et un orage menace au loin. Vous vous êtes donc rapatrier dans sa chambre pour regarder un film  sur sa télévision.
Hayes est adossé au mur, alors que tu es allongée sur ses jambes. Vous êtes presque au trois quart du film quand un éclair apparait, suivit par un énorme grondement. Tu sursautes sur le coup, mais reste concentrer sur le film.

-Je pense que l’on devrait éteindre.
-Ce n’était qu’un éclair et le film est bientôt fini.

Hayes souffle.

-Mais ce n’est pas toi qui va payer les dégâts si la télé grille.
-Je te jure qu’il ne va rien arriver.
-Et comment tu sais, tu es voyante peut-être ?
-Oui, tu ne savais pas ?

Tu te tournes vers lui en souriant. Il secoue la tête, bien qu’il finisse par baisser la tête pour que vos lèvres se rencontrent. Vous n’êtes qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, quand le tonnerre se fait de nouveau entendre. Hayes relève la tête, alors que tu souffles, déçue qu’il ne t’ait pas embrassé.

-Cette fois, je vais débrancher !

Il ne te laisse pas le temps de dire quoi que ce soit et se lève pour aller éteindre et débrancher la télé. Mécontente, tu te redresses et t’assois sur son lit, les bras croisés sur la poitrine. Quand les yeux de Hayes se posent enfin surtout, il se met à sourire.

-Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi tu boudes ?

Tu fais la moue, alors qu’il s’approche de toi, le regard malicieux.

-Il n’y a plus rien à faire maintenant que tu as éteint la télé.
-Ah oui ? On peut faire un jeu de société si tu veux.

Tu secoues négativement la tête, comme une enfant qui boude, tandis que Hayes s’approche lentement de toi.

-On peut lire.

Tu secoues encore la tête. Il est maintenant en face de toi et te regarde droit dans les yeux. Tu essayes de garder ton sérieux.

-En réalité, tu as une idée en tête.

Tu te retiens de sourire en disant « non » de la tête alors que Hayes te fait décroiser les bras.

-Vraiment ?

Tu continues ton petit manège alors que ses mains glissent le long de ta taille et viennent se poser sur l’ourlet de ton débardeur.

-Moi j’ai une idée qui me plait bien.

Son sourire s’élargit alors qu’il commence à t’enlever ton haut. En voyant que tu ne fais aucune résistance, il te l’ôte complétement, avant de le jeter un peu plus loin.

-J’ai l’impression que cette idée te plait aussi.

Cette fois, tu acquiesces en souriant, alors qu’il te pousse légèrement sur le lit en rapprochant ses lèvres des tiennes. Tu te mords la lèvre inférieure en reculant, pour être complétement allongé sur le lit. Vous ne vous quittez pas des yeux, sauf lorsque Hayes enlève son t-shirt. Machinalement, tes mains viennent se poser sur ses abdominaux naissant, avant qu’il ne t’embrasse. Prise par la fougue, tu descends tes mains jusqu’à sa braguette pour lui ôter son pantalon. Il t’aide en se redressant et son vêtement va rapidement rejoindre ton débardeur. Ensuite, c’est à ton tour de voir ton short se retrouver enlever.
Hayes te dévore du regard, avant de revenir se mettre au-dessus de toi. Vous vous embrassez langoureusement et il profite de ce moment pour dégrafer ton soutien-gorge, puis pour t’enlever l’intégralité de tes sous-vêtements. Tes mains caressent son corps et tu finis toi aussi par le débarrasser de son caleçon.
Vous jouez avec le corps l’un de l’autre, puis, délicatement, Hayes et toi ne faites ne plus qu’un. Vos souffles se mêlent alors qu’il enchaine les coups de reins. Tes doigts passent dans ses cheveux et lui t’embrasse dans le cou. Dehors, l’orage gronde encore et l’atmosphère électrique rend le moment parfait.
Les mouvements de Hayes finissent par faiblir, tandis que tu gémis de plaisir en le serrant contre toi. Vos lèvres se trouvent une dernière fois, avant qu’il ne roule sur le côté, à bout de souffle. Encore groggy par le moment, tu viens caler ta tête sur son torse, puis tu t’endors, bercée par sa respiration.

Imagine... {FERMÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant