After - Les Hunger Games Des Enfants Du Capitole

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je suis une jeune ecrivaine qui vient de commencer donc s'il vous plait soyez indulgent et je m'excuse d'avance pour toutes les fautes d'orthographes, j'en fait beaucoup. J'éspère que vous apprécierez la fanfiction et j'attend avec impatience vos retour.

  

Le froid glace mes orteils lorsque je m'aventure dans les rues du district 7. Mon district. Enfin pas vraiment.... je ne suis pas originaire d'ici, je viens du Capitole. Le Capitole.... ce mot sonne creux pour moi comme si les souvenirs de la bas me revenaient par bribes. Je hais le Capitole. Cet endroit où les habitants sont privilégiés. Je hais surtout le Capitole parce qu'il me rappelle qui je suis.

Les vielles rues du district défilent devant mes yeux. Les pavés sont décolorés et abimés par les nombreuses personnes passant dessus tous les jours. A cette heure de la matinée personne ne traine dans les rues. Sauf moi. Je reviens de la forêt où je m'entraine depuis 2 mois. Depuis l'annonce des Hunger Games. Mes Hunger Games, ceux des enfants du capitole. Le plus drôle ? Les gens peuvent se porter volontaire, il y aura donc des carrières. Il y a une seule chose à dire de tout ça : je mourrai dans l'arène. Je ne reviendrais pas.

À force de réfléchir je ne remarque pas tout de suite que quelqu'un me regarde. Je me retourne vivement prête à en découdre lorsque j'aperçois mon "agresseur". C'est une petite fille habillée d'une simple robe de chambre avec des oiseaux colorés dessiné dessus et qui tient un doudou dans sa main. Je m'accroupis pour me mettre a sa hauteur et la questionne :

-Où sont tes parents.

-Dans la maison la bas mais ils se disputent. me répond la petite

-Pourquoi n'es tu pas avec eux ?

-Parce que je t'ai vue.

-Qu'est ce que j'ai de spéciale? je la questionne

-Tu es passée à la télé, je crois. Dans une émission sur Snow.

A l'évocation de ce nom je frissonne de la tête au pied et m'enerve mentalement contre la petite. Je m'apprête à répondre quelque chose qui lui clouera le bec lorsque les parents de la petite l'appelent.

-Viens vite ma chérie ne reste pas avec elle ! s'exclame la mère avec colére

La petite me regarde puis, d'un pas léger, cour retrouver ses parents qui de loin s'énervent contre la gamine. Voila le type de réactions que je provoque. Ça et les gens qui veulent à tout pris me tuer. Je paie les frais de ma famille, comme toujours.

Je continue à marcher en réfléchissant à mon ancienne vie. Celle où les banquets et les fêtes étaient tous les soirs et où les vétement croulants sous le luxe étaient de monnaie courante. Je me rappelle des plats, des mets somptueux et lorsqu'on les mangeait des centaines de saveurs exquises chatouillait nos langue. Je me rappelle aussi des robes, celles recouverte de diamants brillants, celles dénudée ... et ainsi de suite. Maintenant je ne porte plus qu'un simple pantalon en cuir, une chemise en lin et une veste surement agée de 200 ans. Mais ça ne me dérange pas car je n'ai jamais été très coquette et en plus cette tenue est plus pratique pour couper des troncs d'arbres, le métier préféré des habitants du district 7.

Je crois que je commence à apprécier cette activité car elle m'empêche que mes pensées se tourne vers ce que je tente de faire sortir de ma tête. La moisson. Cette après midi. Cette après midi les rebelles hurleront de joie lorsque je serai envoyé à la mort. Malgré tout je n'ai pas envie de me plaindre car beaucoup de jeunes ont été envoyés alors que, eux, n'avaient rien fait. Mais moi je paie, moi je le mérite. Je mérite la mort.   

Un craquement me fait me retourner. Je vois alors un jeune homme courir dans ma direction. Il a les cheveux noirs de jais et des yeux dorés comme remplis d'étoiles filantes. Je lui donnerai 17 ans. Il s'arrête à ma hauteur, me regarde puis sourit, me fais un clin d'œil et repart en courant. Je le suis du regard jusqu'a ce qu'il tourne au coin de la rue. Je n'ai à peine le temps de reprendre mes esprits qu'un deuxième homme arrive, lui aussi en courant. Il s'arrête prés de moi et me demande d'une voix rauque et essoufflée: