♤Chapitre II

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I saw a face in the sand

I saw a face in the sand

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Comme à son habitude, Firiel se leva tard dans la matinée. Une longue robe de soie rouge l'attendait, accompagnée d'une belle couronne foncée.

Mais n'ayant pas envie de bien s'habiller aujourd'hui, elle opta plus tôt pour une simple chemise blanche entrée dans un petit pantalon brun et sa fidèle cape rouge.

Elle sortit de sa chambre, descendit les nombreux et escaliers et sortit de son château et, en passant, vola une petite pomme sur le plateau de l'une des elfes servantes.

Son fruit vert planté dans la bouche, elle rassembla ses cheveux en une grosse tresse. Elle avança, dégustant son ridicule petit déjeuner, saluant des gardes ou autres habitant d'Imladris, aidant ceux qui avaient besoin d'aide.

Au loin, vers la sortie du royaume, Elrond attendait patiemment aux côtés de Lindir, son bras droit et meilleur ami de sa fille adoptive. Son autre fille, Arwen, était accompagnée de son désormais mari, Aragorn. Son ventre était arrondi.

D'autres personnes attendaient, comment certains hobbits. À la vue de leur amie Firiel, ils se précipitèrent vers elle.

«–Merry, Pippin ! Comment allez-vous ? Elle les avait rencontré lors de leur venue à Fondcombe, à l'époque de la quête de l'anneau.

–Nous sommes heureux d'enfin revoir cet endroit !

–Vous n'avez pas mit votre couronne ?

–Ma couronne ? Pourquoi devrais-je..?»

Elle leva la tête. Elle examina au loin sa familles et amis, habillés comme des Bourges et semblant attendre quelques choses, alors qu'un nain, Gimli, arrivait avec quelques membres de sa famille.

Une lumière apparu alors dans son esprit, lui rappelant quel jour il était. Le seigneur Elrond avait organisé un festin pour célébrer l'arrivée prochaine du bébé d'Arwen et Aragorn. Comment oublier ça ?

Elle couru de toutes ses forces jusqu'à sa chambre, sous les yeux amusés du roi du Gondor.

Les invités étaient désormais tous arrivés. Chacun était debout, devant sa chaise, dans le jardin du royaume. Le dîner ne pouvait démarrer si ils n'étaient pas tous au complet. Une seule personne manquait, depuis maintenant plusieurs minutes.

Un silence de plomb s'était installé, seul une musique légère de violon planait dans l'air. Alors que les nains s'impatientaient, que les elfes se jetaient des regards impatients et que les hobbits n'allaient plus pouvoir résister une seconde de plus devant toute cette nourriture, tous entendirent des pas précipités s'approcher.

EsteliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant