Depuis le début

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PDV Derek


Derek : Asseyez-vous tous que je vous explique tout depuis le début .

Gardant toujours Stiles dans mes bras, la meute quand à elle se dirige d'un pas hésitant vers les canapés.

C'est dernier temps la meute et moi avons partagé beaucoup de choses émotionnellement, après la mort d'Allison et tout ce qui s'en est suivi,  on sait tous rapprocher naturellement c'est donc sans contrainte qu'il me laisse agir de la sorte avec leur ami.

Ayant aujourd'hui une confiance aveugle en moi.


Derek : Deaton ne devrait pas tarder, il a aussi découvert des choses à son sujet.

Montrant du menton le sujet en question.

Stiles : Ah parce que lui aussi tu la appelais super merci beaucoup sourwolf, je prends note qu'on peut toujours compter sur toi. 

Derek : On dirait que ta retrouver la parole.

Scott : Je peux savoir enfin ce qui se passe et pourquoi tu lâches pas Stiles ?

Stiles : Très bonne question pourquoi tu lâches pas Stiles ?

A la fois amuser de retrouver l'hyperactif de la bande mais désoler de la tournure que prendra cette fin de soirée.

Derek : Tu veut vraiment que je leur explique moi-même Stiles pourquoi je ne te lâche pas ou tu préférais attendre Deaton ou le dire de toi-même?

Et ces a ce moment précis que je sens dans mes bras Stiles se tendre et surtout que l'odeur de la colère et de l'agacement se fait sentir autour de lui. 

Stiles : Va te faire foutre putain.


La meute reste choquer par ce changement de comportement.

Lydia : Stiles qu'est-ce qui se passe c'est dernier temps tu n'es plus toi-même ?

Un silence se fait dans le loft.

Ne lui prêtant même pas attention Stiles détourne la tète de l'autre côté.

Peiné que son ami ne lui réponde pas et surtout l'ignore sans aucun problème, la banshee réitère.   

Lydia : Stiles dit nous ce qu'il t'arrive ?

Derek : Il ne vous répondra plus.

Celle-ci me regarde fronçant les sourcils.

Scott : Comment sais-tu qu'il ne va plus lui répondre, je comprends pas.

Derek : Je ne sais pas, je comprends pas moi-même certaines parties de l'histoire mais je peux t 'assurer qu'il va soit être agressif avec nous soit muet comme une tombe. Et je parie pour la deuxième option. 

Stiles toujours dans mes bras se dandine pour échapper discrètement de ma poigne.

Rien ni fait je ne le laisserai pas sortir de cette étreinte, dans mes bras je le sais un minimum en sécurité.


Puis Deaton fait son apparition, entrant dans le loft sans frapper.

Deaton : Désoler d'avoir été aussi long, j'ai dû vérifier deux, trois petites choses avant de venir.

Saluant de la main la meute, celui-ci s'avance vers Stiles.

Deaton : Stiles je pense avoir trouvé quelque chose concernant ton cas.

Un petit rire se fait entendre de la part de l'hyperactif.

Stiles : Ah parce que maintenant on me croit, c'est plus dans mes rêves seulement.

Penchant sa tête de mon côté, ancrant ses yeux au mien.

Stiles: C'est quoi qui lui a fait changer d'avis l'agressivité, les yeux noirs ou bien les arbres couchés ?

Relevant les yeux vers la meute, tous on les yeux grands ouverts me fixant avec un air incompréhensible sur le visage. Rebaissant mon regard je déclare à l'humain du groupe. 

Derek : Il n'est pas au courant pour les arbres, personne d'ailleurs.


Scott se relevant d'un coup.

Scott : comment çà les arbres, les yeux noirs, pourquoi je ne suis pas au courant ?

Stiles se pressant le plus possible contre mon torse comme si la réaction de son frère de cœur le faisait paniquer.

Répondant plus sèchement que je ne le voulais.

Derek : Rassit toi Scott, je ne te le dirai pas deux fois.

Deaton quand à lui, les yeux river sur nous, décortiquant chaque acte de notre duo de choc.

Deaton : Assit toi Scott, on va reprendre tout depuis le début.

Et ces a cette demande que Deaton commença son récit des dernières semaines de Stiles après le nogistune et que je finis l'histoire avec ce que j'ai vus dans les bois. 

Les cauchemars répétés.

Les nuits blanches.

L'agressivité.

 L'irritation.

 Le changement de comportement.

Les yeux noirs apparaissant et disparaissant aussitôt.

 Le miroir brisait et surtout le bourdonnement.






J'espère que l'histoire vous plaît toujours, pour ma part c'est un réel plaisir de l'écrire. 

Merci pour vos nombreux votes.

Prochain chapitre mercredi prochain. 

Chapitre corrigé.

Changer (terminé) en correction.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant