Derek

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PDV Stiles


Courant de toutes mes forces sans m'arrêter.

Essayant de me vider l'esprit.

Pourtant toutes les questions que Théo ma poser il y a de sa quelque seconde tournent en boucle dans ma tête.

Theo : Tu leur fais peur.


La sensation que mes poumons me brûlent, tellement l'effort est ardent.

Le bourdonnement refait surface.


Theo : Tu penses vraiment qu'il vont te garder quand ils seront ce qui est à l'intérieure de toi ?


Et si, il avait raison.

Les larmes que je ne veut pas laisser couler s'échappent quand même de mes yeux.

Theo : où te places-tu toi ?


Je sais pas.

Depuis le nogistune je ne retrouve pas ma place au sein de la meute.

Même si en y réfléchissant bien d'après leur dire, moi petit humain fragile n'est jamais eut vraiment ma place dans leur monde.


Je me retrouve bien vite essoufflé, haletant.

Je gémis de douleur.

Putain.

j'ai mal.

L'impression qu'ont me serre le cœur, les entrailles.

Je ne veut pas les perdre pas après ce qu'on a vécu.

je n'en peut plus.


Et Scott n'acceptera jamais une autre perte, serait-t-il prêt à se débarrasser de moi.

La fatigue toujours pressente tel un poids en plus sur mes épaules.

Un mal de tête vient s'immiscer.

Et le bourdonnement encore plus fort que d'habitude.

M'arrêtant au milieu des bois.

La tête qui tourne.

Me tournant et retournant pour retrouver mon chemin. 

La colère, la peine, le chagrin, la haine et l'amertume.

Le bourdonnement est trop intense.

Me tenant les tempes de mes mains de chaque coter de ma tête, essayant de le faire taire.

Je craque.

Hurlant la douleur contenue depuis des semaines.


Stiles : PUTAINNNNNNNNNNN.


Une force invisible émane de moi à ce moment-là.

Couchant les arbres sur un diamètre de quatre mètres autour de moi.

Confus et surpris de cet exploit, je reste pantelant un moment.


Puis la panique me prend d'un coup.

Ne sachant pas quoi faire, effrayer de l'acte que je viens de commettre. 


Etant en tenue de sport je n'ai pas mon portable sur moi.

Regardant à gauche puis à droite, tel un enfant perdu.

J'appelle durement la seule personne en qui j'ai confiance à cet instant. 

Stiles : DEREK.

La fatigue prend le pas sur la panique.

Dans un gémissement à-peine audible, je réitère.

Stiles : Derek.

J'ai besoin de lui maintenant.

Hurlant cette fois.

Stiles : DEREKKKKKKKK.




Chapitre corrigé.

Changer (terminé) en correction.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant