Comme les vagues, les mots ne meurent jamais,
Et laissent entrevoir au ciel leurs mouvements feutrés,
Rendant fébriles les étoiles filantes qui s'échappent sans réfléchir,
Vers les lettres nacrées que les jeunes poètes n'ont pas su retenir.Les joues rougies par la fièvre amoureuse, incapable d'écrire quoi que ce soit,
Mes mots s'égosillent jusqu'à en perdre la voix,
Et l'encre de mon cœur est bien trop épaisse,
Pour former des vers sans la moindre maladresse.Tu sais, j'aimerais écrire nos feux et nos insomnies,
Qui feraient éclore notre amour d'une vie,
Mais une tristesse retrouvée pourrait bien mieux m'inspirer ;
Mes poèmes seraient tellement beaux, si tu me quittais.
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Poetry❝ J'ai beau chercher ton regard à chaque coin de rue, je ne le trouve pas, Pourquoi tu ne me regardes pas ? ❞ Bribes poétiques de trois années ☆ → janvier 2019 / avril 2022