De sombres pensées

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Je les entendaient encore, ses hurlements et immondes phrases qui déchiraient la plaine, en se mêlant aux fracas des lames de nos épées lorsqu'elles entraient en contact.

Je les voyaient encore, ses larmes provenant de ses yeux rougit, habituellement si inexpressif, qui roulaient le long de ses joues de porcelaines, elles se fondaient si bien avec la pluie que le ciel déversait en trombe sur nos corps peinés.

Cette nuit là, je m'étais déchiré avec mon frère, les Fatuis avait réussi à prendre possession de moi, et à me contrôler, afin d'assassiner Jean..

J'avais été faible, si faible pour me laisser avoir de la sorte. Il m'avais vu, au près de son corps sans vie, la lame de mon épées imbibée de son sang, goûtant lentement sur le sol, dans un silence sourd.

Diluc s'était mit à hurler et fondre en larmes, j'avais essayé de le consoler et de lui expliquer ce qu'il s'était passé, mais il ne voulait rien entendre.

Il aimait éperdument Jean.

Mon cadet m'avait rejeté violemment, brisant de plus en plus mon cœur déjà meurtrie de la distance qu'il avait prise avec moi.

Tous cela à finit dans un combat, hors de la ville, sous la pluie battante, mouillant nos vêtements et cheveux. Je ne savais plus si l'eau qui coulait sur son visage était des larmes ou non. Je ne sais pas comment je tenais encore face à lui, comment je pouvais encore le regarder, oser poser mon regard sur son être. Je m'eforçais de parer ses attaques, mais je ne répondais jamais, je ne souhaitais pas le blesser, je l'avais déjà assez fait aujourd'hui. Ses coups était déterminés, mon frère souhaitait sincèrement me faire du mal à ce moment là.

Il était finalement tomber au sol, d'épuisement, des gardes de l'ordre arrivaient justement. Je m'étais enfuis, craignant pour ma vie. J'ai été faible, encore, comme toujours.

Quatres jours. C'était il y a quatres jours que tous cela s'est produit. Autant de temps que je n'étais pas sorti de la grotte où j'avais trouvé refuge, le temps n'avait pas changé, le ciel pleurait toujours, en continu, sans une seule petite minute de répit. Est-il triste pour lui ? Pour nous ?

Je soupirais pour énième fois, la faim commençait à me gagner, mais je ne pouvais pas bouger d'ici. J'ai alors plongé ma main dans la poche de mon pantalon, et en sorti une petite fabrication d'enfant. C'était lui, il me l'avait fait lorsqu'il était encore petit et si innocent, un bonhomme en bouchon de champagne et file de fer. Il était si fier de lui lorsqu'il me l'a donné, son sourire illuminait mes journées, et me faisait sentir à ma place.

Diluc, mon frère, l'homme que j'aime, je te le promet..

... Je ne te ferai plus jamais pleurer.

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C'est ma premier fois que je finis un OS que j'ai en tête ! On est à 462 mots, ce n'est pas terrible mais je suis épuisé actuellement.

Tous cet OS provient d'une série d'images trouvé sur pinterest / twitter, ainsi que la fameuse phrase
"I will never make you cry again"

Voici les photos en questions:

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L'écriture est assez maladroite, mais j'espère quand même que cet OS a plus à quelques personnes

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L'écriture est assez maladroite, mais j'espère quand même que cet OS a plus à quelques personnes.

Je ne te ferai plus jamais pleurer [OS] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant