La raison du plus fort est toujours la meilleur...
[...]
---------16-18 AM-------
-Alors ça été ?
Moi : plus ou moins, mais ils ont gobé l'histoire de nous deux et e plus ils ne peuvent pas dire le contraire. Je les connait et ces réciproque , tout le monde tient à son petit métier ... Mdr.
- T'insinue que t'aurais pu les soudoyer
et ça aurait marché ?Moi : oui exactement.
- Wahou... Apres c'est commune
habitude Pour ces gens là[LES JOURS PASSÈRENT, ON ÉTAIT À LA TROISIÈME SEMAINE APRÈS LA DISPARITION DE MADAME NEUMANN, ET PETER VIVAIT TOUJOURS AVEC ÉVA, LES POLICIERS MENAIENT L'ENQUÊTE MAIS JUSQUE LÀ AUCUN APPEL, AUCUNE RANÇON...L'AFFAIRE S'ENVENIMAIT SANS PREUVE ...]
UN SOIR...
Moi: Dit Éva, ça te dirais de m'accompagner en magasin ? J'ai pu me faire livrer un téléphone, et le payer via PayPal et tout , maintenant j'ai mes cartes banquaires , et j'ai pas vraiment de nouveaux vêtements .
-schopping !?
Moi : ah les femmes, j'ai autant parlé et tout simplement , elle le résume en son mot préféré .
- Exactement mon coco...
C'est d'accord, je suis partante.
Disons demain, quand je descend ?Moi : ça marche .
On etait le jeudi 21 novembre... Deux jours avant l'anniversaire de mariage des Neumann...
Les filles appelaient souvent mais il dû leur dire que leur maman etait en voyage dans un pays reculé en afrique pour des affaires et que cetait pas evident le reseau.- je pars, à tout taleur peter !!!
Moi : okay bonne journée princesse.
Elle etait dune beauté epoustouflante cette Eva, mais marié, cela compliquait les choses, déja quel ne me montre aucunement un certain interet pour ma personne en terme d'amour... Moi, je tombe amoureux... De ses cheveux, de ses yeux bleues, de son sourire , de ses rondeurs et de sa belle voies...
Enfin, je suis encore et jusquà preuve du contraire marié...
est ce que c'est ça qui m'arrête ? MDR. J'ai juste peur de me prendre une baffe et de tout foutre en l'air... Deja le 15... Elle était sous la douche, je ne savais pas et moi j'allais me brosser les dents, j'ai ouvert la porte et wahou... Son corps de déesse se dessinait derrière le rideau , et me donnait une envie énorme... Mais fallait pas jouer le violeur en même temps mdr... Je pris mon temps, tout comme elle, à l'admirer et à me brosser en même temps.J'appelle pas ça être voyeur, mdr.
mais je tente un truc néanmoins, il me fallait faire la lumière sur tout ça... Elle peut bien aussi contenir son amour parce qu'elle est marié et parce que je fais pareil avec elle, je me cache pour l'admirer, et joue les mari et père exemplaire .
il était 17h...
je dressa la table...
Je m'étais faire livrer des fleurs...ses préférées
J'avais des bougies parfumées,
et des pétales de rose...
J'avais ce soir, des désirs d'ados ...Ces derniers furent spéciale si bien que j'espère ne pas me faire des illusions... Juste, je l'aime cet Éva, mariée, médecin et sans enfant, cette dame au grand coeur, si douce et calme... Cette humoriste ou ma première fan à rire à toute mes blagues
disons juste le contraire de ce que n'a jamais été ma femme ...il était 18 h
toujours pas d'elle...
Je désesperais, je pouvais l'appeler
mais je flippais ... Cela ne m'était jamais arrivé ....il était 19 h
je tourne, vais et reviens... Pendant des minutes
je devais appeler , mais je n'avais pas les couilles pour entendre un "non, désolé je ne pourrai pas"
je voulais juste me rendre à la réalité sans qu'on me la précise ou indexe .Il était 20 h
et je n'y croyais plus vraiment, j'ota ma chemise
et m'ouvrir la ceinture, je m'installa sur le canapé et essaya de m'endormir ...
Je ne rangeai rien si ce n'est que les pétales qui salissaient et les bougies qui pouvait mettre le feu....des minutes plus tard...
Je m'endormis ...
---------------11h PM-------------------
EVA -
je rentrai du boulot, un peu sonné, j'avais même oublié mon rendez vous avec peter... Il n'y à que la sur le balcon que je m'étais rappeler ...
Et j'eus mal tout d'un coup d'avoir faussé compagnie à Peter , il avait sûrement du m'attendre....
Mais en même temps, pouvait il m'appeler...
Il ne l'a non plus pas fait ...J'ouvris la porte...
Et la lumière de la lune, m'eclaira sur un corps affaisser dans le canapé, celui de Peter... Il dormait à pointe fermé...Il y avait du parfum dans toute la pièce
qu'allons nous fêter ? Si j'avais été
là un peu plus tôt...Je montai sans faire du bruit , m'habilla pour l'occasion , d'une robe rouge vélouté ...
Tout y étais pour un dîner romantique ...
Mais pourquoi ?Quand je descendis... Encore à pas feutré
j'entendis venant de la cuisine du bruit...
Et plus personne sur le canapé...-Bonsoir princesse... Tu en as mit du temps ...
Il c'etait reveillé !? Et pourtant j'avais pris soin de pas faire un seul bruit...
Moi : j'avais oublié que j'avais des obligations envers toi, désolé, tu me pardonnera j'espère...- Oui, pourquoi t'en vouloir... Mais à une seule condition ...
Moi : laquelle ?
- Danse avec moi...
Et soudain les lumières deviennent tamisé, sur commande de la musique d'un poste étrange à la décoration de ma maison, se mit à chanter...
De la rumba, j'adorais... Comment savait il ?Je fus entrainer par des mains passe partout...
Dans le creux du salon, entre les fauteuils
nous nous créons une piste de danse...il me souriait et j'adorais son élégance...mais pourquoi tant d'effort ? La réponse je la savais ...bien évidemment... Je ne savais à mon tour pas quoi dire ni comment en juger...
J'aurai dit non si c'était non...
Ahmadou Kourouma le dit ...
QUAND ON NE VEUT PAS, ON DIT NON-------------------- ---------------- --------------- --------------
ahmadou kourouma : est un auteur africain
"QUAND ON NE VEUT..." est l'une de ses oeuvres.Je vous invite à lire, le SOLEIL DES INDÉPENDANCES. c'est fascinant
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APHRODITE (Pas Terminé)
General FictionAmour impossible... dans la force de le rendre possible équivaut désormais à de l'amour Diabolique ...