Plus elle développait et plus il se détachait de la réalité et replongeait dans ses rêveries... il pensait encore à sa femme... puis revint à lui, a la fin de ses propos... n'ayant rien n'écoutez, il lança un <vous m'en faite un beau bouquet s'il vous plaît ?>
Maintenant fait... il se dirigea à l'école récupérer ses filles... puis leur expliqua en sous entendu ce qu'elles devaient savoir ... et se dirigea chez lui... confiant et espérant que cela l'attendrissent...Collins avait de son mieux aidé son pote, il raccrocha et allait désormais s'affairer au tâches ménagères...il se retourna chercher ses ustensiles...
mais devant la porte était un corp frêle, affaiblit, pale mais élégant... c'était bel et bien, madame Otman ... elle avait donc tout entendu ? Ou était elle là il y'a seulement 2 minutes...Mme Otman : Tu le savais Collins ?depuis le début, tu le savais ? Et t'as jamais rien dit... tu m'as trahis !
Collins avait de son mieux aidé son pote, il raccrocha et allait désormais s'affairer au tâches ménagères...il se retourna chercher ses ustensiles...
mais devant la porte était un corp frêle, affaiblit, pale mais élégant... c'était bel et bien, madame Otman ... elle avait donc tout entendu ? Ou était elle là il y'a seulement 2 minutes...Mme Otman : Tu le savais Collins ?depuis le début, tu le savais ? Et t'as jamais rien dit... tu m'as trahis !
[...]
Oh zut ! Putain !
Collins : ma... ma...
madame ce n'est pas ...Mme Otman : Orr ne me l'a fait pas à moi, comment t'as pu ? Collins ! Et comment connais tu mon mari ?
Collins : madame... monsieur Collins et moi avons fait les bancs, nous etions des amis proches... il a eu la chance d'être ce qu'il est grâce à vous ... moi non.
Mme Otman : tu connaissais tout ce temps mon époux ? Tu savais qu'il me trompait et ne me l'a jamais dit Collins ? Collins, Peter m'a fait du mal, j'ai cru en lui ! Merde, je lui ai tout donné, qu'est ce qui lui manquait à mon mari, Collins ? Qu'ai je fais ? Qu'ait je dis de mal, je l'ai aimé plus que tout ! Collins dit moi? Est ce ma faute ?
Collins : madame ? Que faites vous avec ça ? S'il vous plaît, pour l'amour de vos jumelles, ne le faite pas.
Collins parlait du couteau qu'avait madame Otman d'entre ses paumes tremblantes... elle le dirigeait vers elle... le pointait sur son ventre...
Collins : arrêtes ça ! Sandra !
Mme Otman : Ne m'appelle pas comme ça . Et vas t'en ... traître !Collins se rapprocha lentement jusqu'à la saisir par derrière,par la taille, il lui arracha son arme et en même temps ses désirs de suicides... la prit dans ses bras...
plus un réflexe, qu'une envie...
Ils étaient tout les deux à terreCollins tenait madame Otman,
très fort...Avant majordome, il était le meilleur ami de monsieur Otman et l'était toujours...
il avait aussi mal pour Sandra Otman... et s'en voulait tout autant...
Collins : ne faites pas ça madame, vos enfants sont encore très jeune, et on besoin de votre présence , de celle de leur père aussi.
Mme Otman : de quel père ? Celui qu'elles adorent comme un Dieu ? Quelles appellent homme parfait ?
Collins : ... ce n'est pas une raison pour mourir Sandra , ça ne l'est pas.
Elle se retourna et le prit encore dans ses bras... et l'embrassa..cherchait elle sur quoi pleurer ? Était il là meilleur personne pour ? ...
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APHRODITE (Pas Terminé)
Ficțiune generalăAmour impossible... dans la force de le rendre possible équivaut désormais à de l'amour Diabolique ...