1er trait

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POV KATSUKI BAKUGOU
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Deku : Kacchan.

Je cracha du sang pendant que ce sale nerd me regardais avec supériorité.

-Tu veux quoi encore le sale nerd ?

Deku : Tu vois ce que ça fais maintenant ?

Des pas se rapprochèrent rapidemment. L'expression du brocoli changea rapidemment.

Deku : Oh mon dieu ! Kacchan tu va bien ?! Qui t'a fais ça ?

-Tch.

Double face arriva derrière Deku, l'air choqué. Putain. Il manquait plus que ça... Fait pas genre t'est pas au courant que tout le monde me frappent.

Shoto : Tout va bien Bakugou ?

-Evidemment connard.

Deku : Je vais chercher des bandages à l'infirmerie !

Shoto : D'accord

Deku se leva puis couru dans les couloirs en direction de l'infirmerie.

-Il reviendra pas.

Shoto : Huh ?

-Il reviendra pas pour me donner les bandages.

Shoto : Pourquoi ?

-Pourquoi il me soignerais alors que c'est lui qui m'a blesser ?

Shoto : Midoriya ne ferait jamais ça.

-Ah oui ?  Très bien.

Putain. Double face de merde.  J'me casse.

Je me lever et parti dans le couloir.

Shoto : Bakugou ! ATTEND !

Je me mis à marcher plus vite vers les dortoirs.
Putain de merde !
Je me mis alors à courir me rappelant que je devais faire quelque chose.

-PUTAAAAIN !

Je monté les escaliers en vitesse et ouvri la porte du dortoir.
Je vérouillé ma porte et déverrouilla mon téléphone pour ensuite appelé ma génitrice.

Mitsuki : T'ES EN RETARD LE MORVEUX !

-Pardon la vieille.

Mitsuki : Mouais. Bref, J'ai vu tes notes en sport.

-Et alors ?

Mitsuki : Tu te fout de moi ? Tu veux me faire encore plus honte ou quoi ?!
Je pari que tu n'as manger que des conneries !

-Non ! J'ai fais attention j'te jure !

Mitsuki : Eh bien si même faire attention ne suffit pas, alors ne mange plus. Bonne nuit.

-Quoi ?! MAIS-

*Biiiiip*

-PUTAIN !

Ne plus manger ?
...
Si ça peut la rendre heureuse...

__Elipse jusqu'au lendemain matin___

-Mh...

Eijiro : Bakubro ! T'es en retard !

-Mmh !

J'ouvris les yeux lentement, personne.
Évidemment...
Il ne me parle plus depuis des semaines ! Ou des mois, j'ai arrêté de compter.
La porte de mon dortoir s'ouvrit d'un seul coup.

"Chaque traits tracés" TODOBAKUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant