La nuit

83 10 2
                                    

Je pense que l'histoire des parenthèses dans une conversation restera jusqu'à la fin de cette fanfiction voilà c'est tout bonne lecture.

PDV Maxime :

Valentin et moi nous couchâmes. Il s'endormit assez rapidement étant donné que nous avions discuté jusqu'à tard. Quand j'y pense, Valentin à eu une enfance compliqué. Sa mère est parti avec une femme. Il a dû être choqué. A 5-6 ans tu ne te rends pas compte que ta mère est lesbienne. C'est surement à cause d'elle qu'il est devenu homophobe. Mais il me cache quelque chose. Je ne le connait pas très bien mais j'en suis sûr ça se voyait sur son visage. Valentin dort en caleçon comme moi. Il est plutôt bien construit quand même. Non Maxime ne pense pas à ça tu peux pas c'est le pire ennemi de ton meilleur ami. Je m'endormit à mon tour. Je me réveilla à 3h du matin. Merde ! MERDE MERDE MERDE MERDE MERDE !!! Non non non non je dois être en train de rêver ! Je sursauta. Non je rêve pas. Je vais jamais pouvoir me rendormir et en plus de ça je vais passer pour une tapette aux yeux de Valentin ! Discrètement je pris mon doudou sous mon lit. Je resursauta. Je suais beaucoup et je tremblais. Faite que Valentin ne se réveille pas, faite que Valentin ne se réveille pas ! Je sentis quelque chose bouger derrière mon dos. Fait chier.

PDV Valentin :

Je sentais quelque chose trembler à côté de moi. Je me réveilla donc. Les draps étaient trempés. J'alluma ma petite lampe. Je vis Maxime recroqueviller sur lui même. La sueur venait de lui. Il sursauta à plusieurs reprises. J'entendis des sanglots et des reniflements. Il pleure ?!

- Maxime ça va ??

- Ah V-Valentin  c-c'est t-toi ? 

- Oui bien sur que c'est qui voudrait-tu que ce soit d'autre ? Bref que se passe-t-il ? 

Je me leva et alla m'assoir à côté de lui. Je l'assit à côté de moi et lui mit ses lunettes. Il sécha ses larmes et essaya  tant bien que mal de cacher son doudou. 

- N'essaye pas de cacher ton doudou Maxime je l'ai vu. Bon regarde moi. (il me regarda) Voilà maintenant arête donc de pleurer et explique-moi tout. 

Le tonnerre grondait dehors. Maxime sursauta à nouveau. Il se remit à pleurer. J'ai compris. Il a peur de l'orage. Je n'attendis pas sa réponse et le prit dans mes bras. Il continua de pleurer. Je ne sait pas quoi faire. Il est quand même super beau. Ses petites lunettes accompagnés de ses yeux se marient incroyablement bien... Non Valentin pense pas à ça maintenant le gars chez qui tu dors fait une crise de panique ! J'alla dans la cuisine et ramena un verre d'eau. Il le but d'un traite. Il commença peut-à-peut à se calmer. Il enleva ses lunettes et se frotta les yeux. Il n'osa pas me regarder. Au moins on est "quitte" : lui sait que mon père me frappe et moi je sais qu'il a une peur effroyable de l'orage. 

- Et voila, me dit-il, je passe pour une tapette encore une fois. Si j'avais su qu'il y aurait de l'orage cette nuit, je n'aurais pas accepté que tu viennes.

- Tu dis n'importe quoi Maxime tu passes vraiment pas pour une tapette la preuve moi j'ai peur de mon père ! Dis comme ça, ça parait nul mais quand on sait vraiment comment je suis quand il me frappe, c'est tout-de-suite beaucoup moins drôle. Et c'est pareil pour toi donc n'ai pas honte de ce dont tu as peur ! En plus tu dois pas être le seul à avoir peur de l'orage. Même au lycée je suis sûr qu'il y en a qui on peur de l'orage.

- Merci Valentin. Bizarrement ça me rassure ce que tu me dit. (Je le prit dans mes bras) Oof c'est étrange que tu me prennes dans tes bras comme ça. 

- Ah oui excuse moi, je le lâcha, alors ça va mieux ? 

- Oui merci beaucoup je te revaudrais ça.

- Tu me l'a déjà  redû. Quand tu m'as soigné chez moi, c'était vraiment très propre, très soigné. Et puis maintenant on est "quitte". Tu sais que j'ai peur de mon père et moi je sais que tu as peur de l'orage.

- Oui c'est vrai. 

Je me rendit a sa fenêtre et ouvrit les rideaux. Le ciel s'était calmé.  

- Tu vois Maxime, il n'y a plus d'orage !

- C'est grâce à toi Valentin ! 

- Bon allez recouchons-nous c'est pas qu'on a cours demain mais quand même.

Nous nous recouchâmes et nous endormîmes rapidement. 

________________________________________________________________________________

Clap bonjour ! Je suis vraiment désolé de cette attente mais avec les cours, les devoirs, les vacances, mes problèmes et tout j'ai pas eu le temps de continuer (pour ne pas dire que j'avais la flemme). Bref j'espère que vous avez apprécier ce chapitre, je vous dit à très bientôt.      Double ciao ! 







Ennemi ou (petit) ami ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant