Je me vengerais Kacchan!!!

Deku..?

PDV Kacchan:

Où suis-je ? Pourquoi j'ai aussi mal partout? Pourquoi il fait tout noir? Et puis pourquoi je l'entends...
Je l'entends prononcé mon nom de sa voix enjouée mais à la fois timide.
Kacchan.. c'est le surnom qu'il m'a toujours donné.
D'un coup je vois de la lumière, puis je vois une fenêtre en face de moi. Je baisse ma tête que je ne contrôle pas. Je vois Deku... Il a l'air appeuré et est à terre protégeant son visage avec ses bras et ses mains. Je peux aussi remarqué qu'il a des bleus sur le visage. Mais pourquoi ? Ah oui..c'est vrai...c'est moi qui lui ai fait ça...
D'un coup mon bras se lève tout seul et je sens une chaleur dans ma main. Oh non, je connais cette sensation.. putain Deku bouge !
Je contrôle même plus mes actions, je ne veux pas le blessé.. pas encore. Mais je n'y peux rien..Bordel!
Quelques instants plus tard je vois une lumière étincelante qui se dissipe assez rapidement. Je vois toujours Deku mais cette fois-ci avec des brûlures légère et complètement avachi sur le sol. C'est moi qui est fait ça et je n'ai rien pu y faire... Mais quel con je suis putain ! Je détourne la tête vers la porte et me dirige vers celle ci toujours hors contrôle de mes mouvements. J'entends un rire.. c'est mon rire. Mais j'en entends un autre... Deku..? C'est sa voix mais ce rire.. il me fiche la trouille. ( Oui j'ai peur ET?! ) Ce n'est pas le Deku que je connais, non, impossible.
Soudainement je me ressens libre de mes mouvement et mon "rire" c'est arrêter mais pas le siens, au contraire il s'intensifie. Malgré le faite que j'ai à nouveau le contrôle de mon corps je me sens lourd et je m'écroule sur les genoux. Je ne vois plus rien et je n'entends que son rire inharmonieux résonner encore et encore...
Avec le peu de force que je rapproche mes genoux de mon torse et met mes mains sur les oreilles essayant d'étouffer le son. J'appuie et bouche mes oreilles de toute mes force mais j'entends toujours autant cette voix dissonantes pour moi, elle gâche la voix du Deku que j'ai connu et qui est maintenant... Mort.
Cela doit faire quelques minutes sûrement que cette mascarade dur mais j'ai l'impression que sa fait une éternité putain!
Je commence petit à petit à sentir quelques choses d'humide et chaud remonté dans mes yeux jusqu'à se que une goutte de ce liquide transparent coule sur ma joue. Je le sens. Une puis deux puis trois, quatre, cinq et six.. tellement que je n'arrive plus à les compter. Je commence à pleurer. Oui, moi, grand Katsuki Bakugo je pleure, je pleure parceque j'en peux plus de ce bruit incessant, j'en peux plus de tout garder juste par fierté, j'en peux plus de voir cette putain d'image d'horreur ! J'ai craqué et je n'y peux rien. Encore une fois...

Je commence à pleurer à chaud de larmes. Je reste comme ça pendant un long moment. Jusqu'à se que je sente quelques choses. Une douce odeur, c'est si agréable... Mes pleures sont moins intense à présent même si ils sont toujours Belle et bien présent.

Cette odeur... Je ne peux pas m'empêcher de l'apprécier et cela m'attire. Je me lève doucement et commence à me diriger à mon flaire vers l'endroit d'où provient cette senteur divine. Je m'approche les yeux fermés pour mieux me concentrer. Puis au bout d'un moment j'ouvre les yeux pour savoir où je suis. Autour de moi il y fit tout noir, comme tout à l'heure. Mais devant moi il y a un bol, c'est de la que vient l'odeur ! Je me précipite presque dessus, je regarde la contenance du bol ; c'est un liquide rouge légèrement marbré de noir.

Sa ne ressemble à rien que je n'ai vue mais étrangement ce truc dégage une odeur que j'adore mais.. étrangement j'ai aussi envie de goûter. C'est bizarre..mais je suis comme "enfermé" ici alors je n'ai rien à y perdre.

J'approche doucement ma langue du liquide par précaution. Ma langue effleure le liquide puis je ferme ma bouche pour examiner le goût.
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C'est délicieux.. j'adore cette chose qui met complétement Inconnu. C'est vraiment bizarre, je ne le sens pas ce coups la. Je veux m'éloigner mais quelques chose m'en empêche, j'ai envie d'en avoir plus, j'en veux plus de cette chose rougeâtre. J'en veux encore. Mais il ne faut pas.