Chapitre 2 : L'attente de l'espoire

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Je me retrouve dans une salle seule quelque part dans l'hotel de ville.

Seul, j'ai toujours aimer la solitude mais a cet instant je donnerais tous l'or du monde pour voir ma famille, tous ceux que je connais, avec moi dans cette pièce. Mais non, je suis seul.

Il eu des buits derrière la porte, des murmures, je me demande qui ça peut être et me rend compte que ça n'a pas d'importance. Que ça ne changera pas ma situation.

La porte souvris dans un bruits sourd, deux pacificateur encadrais ma mère et Senus.

L'un des pacificateur annonça que nous avions 10 minutes puis ils refermèrent la porte.

Senus vint ce blotir au creux de mes bras en larmes mais ce fus ma mère commmence la première.

- Tu va t'en sortir.

- Non, je lui répond, je vais passer pour une faible, aucun sponsor ne voudras de moi, je n'ai aucune chances.

- M-mais .. t-tu tu est forte Johana ! Balbutia Senus entre deux hocquet de larmes.

- Ton frère a raison tu peux encore gagner, les jeux ne sont pas encore commencé.

- Maman les jeux en commencé au momment où l'on a tiré mon nom!

J'ai tout foutus en l'air et je vais mourir sans pouvoir vous aider.

Ma mère me gifla plus fort que jamais, les larmes de Senus redoublèrent d'intensité.

- Alors bats toi, si tu veux nous aider ton père et moi, tue autant de personne qu'il faut, tu en est capable. Tu sait magner une hache, tu est intélligente et rusé, tu peux t'en sortir. Mais pour ça il faudra te battre, tu a fais une erreure, la belle affaire, on fait tous des erreures !

Reprend toi Johana, si tu baisse les bras maintenant alors oui tu va mourir.

Elle m'enlaca vigoureusement puis pris Senus dans ces bras et ce diriga vers la porte,

- Tu peux gagner, tu est plus forte que tu ne le pense. Elle fis une pose, Que le sort te sois favorable ma chérie. Elle partis sans un mots de plus.

Même après leur départ j'entend Senus m'apeller, pleurer, et crier mon nom sans cesse.

Les larmes une nouvelle fois me trahisse, elles glissent le long de mes joues sans que je ne le veuille. Le temps recommença a défiler, je ne saurais dire si celà fais quelques minutes ou des heures que ma mère est partie. Le temps ce déforme, comme la pièce où je me trouve, la solitude et les larmes déforme touts.

On entre encore, mais je n'ai pas la force de regarder la personne. J'entend des mots sans les comprendre. Il eu une étreinte, je sentis un ventre rond et quelque coup, et enfin me voici de retours dans la réalité. Sélène me tien dans ces bras en me répétant d'être forte. Nous restons ainsi quelques minutes, sans bouger d'un pouce, puis elle releva la tête et souris.

- Tu est forte Johana.

- J'ai gachés mes chances, répondis je.

- Je connais Eiden, il connais la réputation de la famille, il va t'aider.

- Il est arrogan, plutôt oui !

Sélène ce mit a rire, le son ce propage tout autour de nous, un élat cristalin et sincère.

- Oui tu a raison, dis t'elle, alors je vais te donner une autre raison de rentrée, si tu gagne, le petit ange qui est dans mon ventre portera ton nom.

- Si je ne reviens pas ?

Le regard de Sélène devint froid comme de la glace, cruel et s'évère, comme les traits de ma mère.

Les larmes d'une insoumise | Johanna MasonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant