Chapitre 4 : La douleur du masque

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Je n'ai encore jamais connue plus douce sensation que l'eau chaude sur mon corps, qui penserais que l'on pouvais trouver des douches de luxe dans un train. Je me sens revivre, chaque cellules de mon corps ce détend. Cette fois ci je n'ai pas d'eau tiède à demie froide coulant sur mon corps courbaturé et constament fatiguer. Cette fois ci je n'ai pas a partager le peu d'eau que l'on a pour ce laver, je peux prendre mon temps. Alors je reste sous cette eau brulante qui pourtant me fais tant de bien, je reste immobile sentant chaqu'une des gouttes d'eau chaude s'écraser sur ma peau puis couler le long de mon corps n'oubliant aucune partie de celui ci. Je renssent cette eau qui nettoye ma peau dure comme du cuir, je la laisse éffacer mes peur et mes doutes. Je reste sous le jet jusqu'à ce que je ne me résume à une fille nue sous la douche qui n'a plus rien a perdre. Quand je me décide enfin à arrêter de faire couler l'eau, j'observe l'eau s'échapant par le conduit d'évacuation, immaginant que l'eau est remplacé par tout mes soucis, ma fatigue, ma peur omniprésente depuis la moisson. Cette peur ne réside pas uniquement en la mort mais en ma perte, ce jeux n'est pas que mortelle, c'est un jeux de masques, je vais devoir moi aussi en porter un sans jamais me perdre dans cette course aux mensonges.

En sortant de cette agréable douche je m'entoure d'une serviettes moeleuse et chaude.

Au tour de moi une fine brume danse dans l'air jouant avec les rayons de soleil. Je me met à observer le paysage à travers la fenètre.

En un instant je me retrouve il y a quatre ans dans la forêt de boulot, assise en tailleur un garçon debout me tendais la main. Une promesse ce jour là avait été scéllé, une vielle promesse que j'avais presque oublié. J'ignore pourquoi ce souvenir est revenue, cette promesse oublié me concerne pourtant aujourd'hui plus que jamais, maintenant que je suis une tribut. Ma peau sèche j'enlevais la serviette qui m'entourais pour mettre mes sousvetement.

Alors que je cherche où j'avais pus laisser mes sous vettements, on toqua à la porte. Par réflexe j'annonce haut que l'on peut entrer tout en mettant ma culotte que je viens de trouver. J'entend dans mon dos la porte s'ouvrir et la voix d'Eiden Jones résoner dans le wagon.

- Mason on va avoir ....

Sa voix s'éteind soudainemet pou laisser la place à un cris de jeune fille. Je me retourne sans avoir mis la mains sur mon soutient-gorge

- Qu'y a t'il Eiden ? Demande ais-je le sourire aux lèvre à cause de son cris de fillette apeuré.

- Tu..tu.. tu est nue ! Dit il les yeux exorbité.

Je ne comprend pas tout a fait ça gène, je ne suis pas vraiment pudique, quand on a trois petit frère avec qui l'on doit partager sa chambre et la salle de bain il est impossible de l'être. Mais à ce point, n'a t'il jamais vue de femme nue ? Ma pensée sortie tout droit de mes lèvres et m'entend prononcer "N'a tuj'amais vue de femme nue !". Ma réaction le fais poufer de rire, pourtant il mit ça main devant les yeux signe qu'il est réellemnt géné.

- Au lieu de dire des bétise habille toi s'il te plait!

- A vos ordres chef ! Dis je, alors que je met enfin la main sur mon soutif'.

J'enfile rapidement la robe que je portais la veille pour pouvoir enfin m'adresser à Eiden.

- Alors qu'il à t'il Eiden ?

- Tu est rhabiller ?

- Oui, dis-je exaspéré, tu peux regarder.

Il abaisse lentement la main laissant voir une grimmace hilarante, je me met à rire en regardant ses joues gonflé et rouge et ses yeux louchant. Il à l'air si ridicule qu'il me ferait presque oublier mon tragique destin qui ce profil. Cette idée me renbrunie bien trop rapidement.

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 22, 2015 ⏰

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Les larmes d'une insoumise | Johanna MasonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant