Chapitre 11

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- C'est moi que tu vas épouser Boyance, je serai ton époux, ton tout... jamais je ne pourrais laisser à un autre homme ma place.

Elle le regardait complètement perdue , elle ne savait pas où voulait en venir, elle ne realisait ni ne comprennait ses paroles.
- ... Vient.

Il les fit se rassoir et commença son récit. Il lui expliqua tout en commençant par la pression qui pesait sur ses épaules.
- Quand je t'ai vu, j'ai compris pourquoi W'kabi me parlait avec autant d'insistance de toi. Et quand j'ai appris à te connaître... Bébé (elle rougit) tu es une amie pour moi, une soeur et je l'espère, tu voudras bien être ma femme. Je n'ai jamais voulu te blesser. Je n'ai jamais voulu te faire pleurer. J'avais besoin que tu ne sois pas au courant pour que tu ne changes pas ton comportement envers moi, que tu ne soit pas influencée par mon statut de Roi. J'ai rencontré tellement de femmes dans ma vie, et bien souvent, il manquait quelque chose. Et cette chose s'appelle la sincérité, le naturel. Avec toi, c'est différent. Avec toi, je peux être moi.
Sa main caressait doucement son flanc droit et sa main gauche caressait son bras. Elle était en colère mais comprenait la démarche de l'homme. Elle n'aimait pas qu'on lui mente mais elle se mettait un minimum à sa place. C'est avec soulagement qu'elle l'enlaça fortement, sa tête poser sur sa poitrine, elle écoutait son coeur battre. Le coeur de son amour et roi. Elle se sentit bête d'avoir crier comme ça, trop de pression. Elle s'excusa mais il lui dit que ce n'était pas grave, elle soupira les yeux fermés.

- Mon roi... Souffla t-elle d'une voix fluette, Puis je vous embrasser?
L'homme s'abaissa et les connecta, c'était si bon, ça avait un goût différent, tout avait un goût différent avec elle, avec lui.

- Pardonne moi encore.

- Pardonne moi aussi... Et aufait, j'accepte d'être votre épouse Tchalla Udaku.
Il ria en collant son visage dans son cou pour humer son parfum. Elle sentait agréablement bon, la vanille ? Oui c'était ça.

Il restait désormais 3 mois à leurs noces, et Boyance prennait désormais la vie plus simplement, le coeur leger, maintenant qu'elle savait tout. Elle devint régulière au palais. C'était devenu sa seconde maison. Son éternelle timidité ne la lachant pas, Tchalla l'avait installée sur l'aile est du palais, à apeine 200m de ses appartements. Quand elle venait, ils y restaient toute la journée à se bécoter et se prélasser au soleil. C'était devenu leur petit nid d'amour, là elle s'éveilla peu à peu aux jeux de l'amour. Regards langoureux, de chaux baisers, c'était compliqué de ne pas se laisser aller sous les doigts de l'homme expérimentés. Ils n'allaient pas plus loin que des préliminaires mais c'était déjà beaucoup pour elle. L'air dans la pièce devint lourd alors qu'elle attrapait les draps, en se mordant la lèvre pour ne pas être bruyante ; T'challa plus bas, lui faisait découvrir un autre type de plaisir. Elle appréciait énormément au vu des bruits qui sortait du fond de sa gorge délicate. L'homme souria de satisfaction, fière de lui, la barbe trempée. Il suçota le bout de chaire et attrapa les cuisses de la demoiselle tremblante.

Mais il n'alla pas plus loin. Il desirait attendre leur union officielle afin de consommer pleinement leur amour. Même si des fois la jeune femme le suppliait entre deux gémissements, il refusait.

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Les préparatifs pour les festivités allaient bon train, peu à peu les langues se deliaient, les gens parlaient mais personne n'avait de preuves qu'il fréquentait une femme, du moins, personne en dehors de certains membres de la garde

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Les préparatifs pour les festivités allaient bon train, peu à peu les langues se deliaient, les gens parlaient mais personne n'avait de preuves qu'il fréquentait une femme, du moins, personne en dehors de certains membres de la garde. Cependant leur sens de l'honneur ne leur permettait pas de delier les langues.
Ce qui était plus que clair c'est que le train de vie des Peterson-Dlamini avait changé. Un jour, alors que Boyancé sortait de chez elle, son regard tomba sur celui de son ancienne meilleure amie, Banenthle Tango. Elle était en compagnie de Makeda et Lala, deux filles qui de base ne l'aimaient pas beaucoup. Alors c'était maintenant comme ça ? Ce qui l'etonna c'est le regard que lui lança 'Nthle , elle ne saurait décrire ce qu'il reflétait, elle ne fit pas cas. Elle n'avait pas le temps pour ça. "Les gens rentrent et sortent de votre vie c'est leur droit, le plus important c'est la santé" c'était son mantra. Ce jour, elle allait voir son fiancé pour être fixée sur le menu, une voiture l'attendait. C'était une voiture des plus banales, qui n'éveillait aucun soupçon.

Elle monta directement et apperçu l'homme de dos, elle lui sauta au cou, il eu l'air étonné
- Je n'ai pas eu peur !

- Menteur, je deviens aussi agile et silencieuse que toi.

- Tss tu es incorrigible. Comment vas tu mon amour ?

- (toute douce) Super bien et toi?

- Pas que ta présence me gène mais, je ne m'attendais pas à te voir ici aujourd'hui.

- c'est Mère qui m'a demandé de venir pour parler du menu, goutter quelques trucs.

- Oh , ok tant mieux j'y pensais justement hier mais tellement de choses en tête que j'oublia de lui poser la question.

Tchalla était très heureux que sa mère appréci sa fiancée. Au fond qui ne l'appréciait pas ?

Ils se dirigèrent vers la salle de réunion secondaire où avait lieu la seance de choix des menus. Tout un tas de plats de sucreries et d'amuses bouche se draissaient devant eux. Apres cout, la reine insista pour que Boyance regardent certains croquis de robes, dans une autre salle. Tchalla la laissa devant la porte, il savait qu'il ne pouvait pas y entrer. Avant de s'en aller il lui baisa doucement la main.

- Rejoins moi vite.

- Bien iKumkani wam.

I Dont Know Why You Love Me...That's Why I Love You (en Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant