T'Challa est le roi du Wakanda,puissant royaume d'Afrique. Cependant,il n'a pas de compagne. Meurtri par sa précédente rupture avec Nakia,il ne sait si il est prêt à se relancer. Une belle rencontre va tout changer.
Elle avait cogiter sur le sort de son ami et ex amant. Elle ne voulait pas le voir malheureux, et pour avoir aperçu sa nouvelle compagne, elle concluait qu'elle l'aimait aussi. Comment les aider alors ? Elle fît part de ses questions à son amie.
- tu es vraiment étonnante Nakia. Tu veux me dire que tu veux aider cette fille alors que c'est la nouvelle copine de ton ex ?!
- Ex n'est pas synonyme d'ennemi Shuri, et je suis certaine qu'elle aime ton frère. Et il l'aime aussi.
- Pourtant ce serait une occasion pour toi de reprendre le dessus et reconquérir Tchalla . Ne me dis pas que je ne te manque pas en tant que belle soeur !!
- Tchip, arrête tes bêtises, Bien-sûr que tu me manques. Mais premièrement je n'ai pas besoin d'être avec ton frère pour te considérer comme ma soeur, tu l'es déjà.
- et deuxièmement?
- Deuxièmement, eh bien... il faut que tu saches que ... j'ai quelqu'un dans ma vie .
- Ohw wahou, je vois. Ça change tout alors
- Hmmm. Alors tu comprends mon désir d'aider ? Je veux que tout le monde soitheureux.
- c'est louable. T'es un ange.
- merci chérie. Pourquoi j'ai la Sensation que tu ne l'aimes pas ?
- Bof ce n'est pas vraiment que je ne l'aime pas. C'est juste que je n'aime pas son genre de personne. Trop parfaitetrop propre sur elle. Je m'en méfie...
- Je vois. Même la plus belle femme du monde ne peut pas faire l'unanimité. Mais essaie d'ouvrir ton esprit, sûrement c'est quelqu'un de bien. Je n'ai pas vu de méchanceté en elle en tout cas.
- Ok
- Alors tu m'aides...
- Ai je le choix ?
- Pas vraiment. Mais allez , va falloir qu'on fasse vite .
- Je vois. Je te suis alors.
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Sueur, frissons et sursaut, la jeune femme avança tremblante vers la table de chevet où reposait de l'eau et des cachets. C'était ses calmants, à l'effet assez puissants. C'était les seuls qui réussissaient à la calmer. Les mêmes que ceux de sa mère. Elle entendait encore la voix de son amie lui supplier de lui expliquer pourquoi elle faisait tout ceci.
Elle jura en faisant descendre les petits ronds amères dans sa gorge. Deux semaines qu'elle faisait ces cauchemars, mais celui de ce soir était plus violent.
- Mbanenthle !
Aussitôt sa jambe cessa de trembler. C'était la voix de sa mère, avec son même ton à la fois monotone et condescendant.
- Mère
- Tu ne dors pas. J'ai vu la lumière dépassée de ta chambre.
- Non... J'ai fait un cauchemar
La femme prit place à côté d'elle, alluma sa cigarette dans le plus grand des calmes puis tira une taff. L'adolescente avait changé de comportement mais sa génitrice ne le remarqua même pas. Cette femme avait le don de la mettre dans un tel état, et son cauchemar sur Boyance la traumatisait encore
- Ma fille je suis ... Tellement fière de toi!
Elle la regarda étonnée, aussi loin qu'elle ne se souvienne, sa mère ne l'avait jamais féliciter pour quoi que ce soit.
- ... Enfin ton père sera vengé et aura la paix depuis le monde de ancêtres (tire sur sa cigarette)
- Et si... Tout se passait mal ?
La femme lui souffla la fumée au visage. Banentle détestait cette odeur.
- Impossible. Pas avec les révélations que nous avons faites. Et puis, nous n'avons pas menti ! C'est exactement ce qui s'est passé.
La brune se tendit
- N-o Non non non .... Marmona-t-elle. Etsi jamais je...
La femme âgée remarqua alors son acontroument et son allure débraillé. On aurait dit ... Elle. Banentle était en sueur, tremblante et les cheveux emmêlés, pupilles dilatées.
- Hey, ne me dit pas que tu as des remords quand même ? Elle la saisit fortement par les bras, ses ongles entrant dans sa peau douce.
- Banentle , ne me dis pas que tu as des remords !🤬 Répéta-t-elle plus fermement.
- Non juste que... Je l'ai vu elle était là... Elle... Elle ne savait rien de tout ça et moi je détruis sa vie... Elle a toujours été si bonne avec moi... Je ... Sa voix était faible et son regard vide. Elle semblait ailleurs la maintenant, mais surtout elle avait froid. Très froid. Sindile, insensible :
- Tu parles de qui ?
- Hm ?
- Tu parles de cette p*te de Boyance c'est ça ?
- O-oui mam..man. bien-sûr que je parle d'elle.
Paf ! Paf ! Paf ! Trois gifles furent données sur ses joues rondes, la faisant redescendre sur terre.
- Tu ne vas pas gâcher ma vengeance aussi près du but. Ton père ne fut pas un lâche, ni aucune femme dans ma famille. Tu me range tout ça, et si tu es perdue tu as intérêt à retrouver tes esprits sinon tu auras à faire à moi . Idiote ! Puis s'en suivie d'une série de reproches. Tu ne sais pas réfléchir, aucune ambition, sombre mouton ça tu dois le tenir de tes tantes paternelles, ces imbéciles là. Tchip hey, Mbanenthle Tango tu n'as même pas idée de pourquoi je me bat pour toi, pour nous et notre bonheur. Allez ! Va me nettoyer tout cas, tu empeste les antidépresseurs, tu vas faire foirer tous mes plans à force. Idiote, fille sans but !
Elle cracha au sol et s'en alla. Faisant claquer ses sandales sur le sol dur. Tout ce temps, Tango était restée à l'écouter religieusement. Quand la porte claqua , une larme de fatigue coula sur son visage. Fatigue physique, mentale ? Elle n'aurait su le dire là maintenant.
Elle abandonna se qui se trouvait sur la table et alla se coucher.
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