~Chapitre 8~

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Oui, je suis une bête du sexe. Seulement personne ne le sait. Il faut dire que je métrise à la perfection, le sortilège Oubliette, grâce à mon père. La plupart des élèves, de 6 et 5ème années, ont perdus leur virginité avec moi. Mais ils ne s'en souviennent pas. Croyez-moi, c'est extrêmement excitant. 

Je pense que ce Serdaigle était puceau. Il a jouit si fort, que j'ai du oublietter tout les garçons du dortoir.

Il était 6 heure du matin, et je me déplaçais à pas de loup pour rentrer à mon dortoir.

-Nuit difficile?

Qu'est-ce que Draco fait là? Il devrait être couché.

-Salut! Oui on peut dire ça et toi tu ne dors pas?
-Excellence et discipline.

La porte de la salle commune s'ouvrît.

-Non, disons qu'il y avait quelque chose de plus intéressant à faire dans les dortoirs de Serpentard.

Il avait dit cela avec un ton plein de sous-entendu, et je compris alors qu'il avait passé la nuit avec Pansy.

-Ok, bonne journée.
-Attend!

Il m'attrapa le poignet. 

-Je suis désolé pour hier soir. C'était une dur journée, je n'aurais pas du te parler de cette façon.
-Super!
-Tu était où toi?
-Ça te regarde?
-Non, enfin si, je suis curieux, c'est tout.
-Disons qu'il y avait quelque chose de plus intéressant à faire dans les dortoirs de Serdaigle.

Il lâcha mon poignet. Touché.

-Mais tu sors avec un gars?
-Je ne suis pas sur qu'il faille, obligatoirement, sortir avec quelqu'un pour coucher avec. Et puis, qui te dit qu'une seule personne était avec moi. Les dortoirs des Serdaigle aussi sont pour 5.

J'avais susurrer ces mots à son oreille et son regard s'affaissât. Coulé.

-Maintenant, je te souhaite une bonne journée, je vais aller me laver les dents.

Je lui fît un clin d'œil, et il resta au milieu de la salle commune, bouché bée. Je pense qu'il était jaloux. Enfin, j'espérais qu'il soit jaloux.

***

Il était midi et le professeur Dumbledore m'attendait dans son bureau.

-Violette, comment vas-tu?
-C'est une réelle questions, professeur? Vous m'obligez à mentir à mes meilleurs amis, à mon frère, mais par dessus tout, au plus grand mage noir de tout les temps, et vous me demandez comment je vais? De plus, vous me demandez de vous tuez. Moi. La fille du professeur Rogue. La demi-sœur de l'élu.

Je faisais les 100 pas à travers le bureau, nerveusement.

-Je veux que tu saches, Violette, que je suis malade et que je vais mourir dans quelques mois. Alors il est nécessaire que tu me tus pour gagner la confiance de Lord Voldemort. Mon heure est venue et je ne veux pas que tu t'en veuilles. Je suis heureux de mourir. Je sais, je t'en demande beaucoup, peut-être trop, mais Lord Voldemort est redoutable. Tu es courageuse, Violette, je crois en toi. La porte de mon bureau reste ouverte si tu ressens le besoin de discuter. Maintenant je te laisse aller en cours sauf si tu as des questions.
-Serai-je, moi aussi, heureuse de mourir, un jour?

Il n'avait pas répondu.

***

Six semaine s'étaient écoulées depuis la rentrée. Et pendant ces six semaines, je n'avais fait qu'étudier dans ma chambre. Harry et Ron étaient toujours en colère contre moi. Hermione passer son temps à la bibliothèque. Et même si Draco me fixait de jour en jour un peu plus, il paraissait de plus en plus amoureux de Pansy Parkinson.
Je me nourrissais plus que de pommes vertes. Une pour le petit-déjeuner et une pour le repas. Ça me suffisait, même il m'arrivait parfois que la pomme du soir ne soit trop lourde et que je finisse par la vomir.
J'étudiais jusqu'à tard le soir et me levé très tôt le matin pour pouvoir profiter du levé de soleil. Je serré mon poing quand l'envie de pleurer me venait, soit environ 1 fois par jour.
La saison de Quidditch avait commencé. Serpentard ont été gagnant face à Serdaigle et Gryffondor face à Poufsouffle. Le prochain match oppose donc Draco et Harry. Harry donné donc un intérêt personnel à ce match. Ron lui volait sur un petit nuage avec Lavande, sa nouvelle petite amie.

Blaise, avait insisté pour que j'assiste au match. Il est mon binôme en botanique et je pense qu'il craque pour moi. Au début je ne voulais pas y aller mais lorsque Ginny m'a supplié je n'ai pas pu refuser.
Et voilà que je suis entrain de me préparer pour me rendre au terrain. Un coup de correcteur sur mes cernes et le tour est joué.

-Hermione tu es sur que tu ne veux pas m'accompagner? Fais le pour Ginny.
-Je ne veux pas entendre Lavande hurlait: « Ronron , je t'aime! », ça m'écœure.
-Parce que tu crois qu'entendre Panzani parlait de son Draguichou est plaisant pour moi. S'il te plaît Hermione.

Elle prit quelques secondes pour réfléchir et pris sa veste. Sur le chemin je me rendis compte que le temps d'octobre était plus frais que je ne le pensais. Nous sommes montées dans les gradins et nous avons cherché des places. Il y avait beaucoup de monde, car un match Serpentard-Gryffondor était en général l'un des plus intéressant.

-Mais regardez qui est là, notre petite menteuse nationale. Tu es venue soutenir ton frère? Oh mais laisse moi réfléchir, il ne te parle plus.
-Dis-moi Panzani, ma vie doit-être très intéressante pour qu'elle te passionne autant, j'ai raison?
-Je t'es déjà dis de ne pas m'appeler comme ça.
-Et moi, de ne pas te mêler de mes affaires.

Hermione me tira légèrement le bras. J'étais entrain de partir pour rejoindre Neville et les autres.

-De toute façon, elle terminera seule, comme son père.

M'insulter moi était une chose mais insulter mes amis ou ma famille était l'erreur à ne pas commettre.
En moins d'une demi-seconde je me trouvais en face de Parkinson et lui collais mon poing sur son nez retroussé. Une bagarre acharnée explosa entre elle et moi. Elle me tirait les cheveux, je lui mordais le bras. On essayait d'attraper nos baguettes mais elles étaient coincées dans nos robes. Soudain elle me poussa violemment sur le sol et je pris le coin banc sur le sommet de la tête. Je fus assommé quelques millisecondes, jusqu'à ce qu'elle me relève par le col. Le récit paraît long mais la bagarre a duré très peu de temps. Elle prit fin, lorsque la rambarde, sur la quelle Pansy m'avait plaqué, céda et me laissa tomber. La chute fut longue. Je ne voyais que des millards d'étoiles à travers une lumière blanche.

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Un de mes chapitres préférés, dites moi ce que vous en pensez!
Je suis terriblement désolée de ne pas l'avoir posté hier, j'ai 0 excuse!!!
Je vous aime fort ♥️

Le courage d'une SerpentardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant