[ Vestiaires, 19 p.m, Miami ]
Liam baissait la tête, non pas pour se soumettre. Mais juste pour suivre le regard du métis. Et il releva la tête en ne comprenant visiblement pas l'immobilité du métis. Il jonglait avec son regard, entre son propre nombril et le regard incendié de Zayn. Il lui brûlait la peau à le mater comme ça. Qu'est ce qui pouvait être mystérieux ce gars. Même si, Liam connaissait par cœur tout son parcours ayant lu tout les articles et les interviews du grand Zayn dans " Times ". Mais, il ne savait rien de plus que toute sa ribambelle de fan. Qui s'estompait au fur et à mesure des matchs jouées. Liam tenait sa serviette qui commençait à glisser sous la température et l'humidité de sa peau hâlé. Et attendait que Zayn décroche de sa rêverie. Le bruit de froissement de serviette y parvint. Il avait remarqué les absences du métis ces derniers temps, et même si il l'aurait voulu : ce n'était pas de sa faute.
- Écoute moi bien Peigne
- PAYNE c'est Payne.
- Me coupe pas la parole, gronda t'il
Zayn franchissait un premier stade de rage.
- Ton petit numéro de ce matin j'ai pas apprécier. C'est pas un minable comme toi, sorti de sa cambrousse anglaise qui va venir me voler ma place. Il y en a eu des comme toi, et je les ai tous renvoyer d'où ils venaient, crachait t'il en s'approchant encore. Ta cohésion du groupe tu peux aller te la foutre ou je pense. Ici c'est chacun pour soi, ca a toujours été comme ça et c'est pas en te la jouant Mère Therése que sa va changer quoi que ce soit. Maintenant je te préviens, tu vois je suis un mec sympa.. Si je te reprends à me parler comme tout à l'heure, je te fais virer d'ici. Et je te ruine ta pseudo carrière dans le monde entier; en faisant attention à ce que tu finisses sur un trottoir.
Le dernier mètre fut franchit par le métis, qui commençait à entendre sa mauvaise conscience, lui ordonner le mal. Mais, Zayn ne put frapper le premier. Tout court en faite. Le visage satisfait de Liam le bloquait. Ce con ne sourcillait même pas.
- J'avais jamais remarqué, mais t'es petit quand même.
Liam penchait sur l'épaule dénudé du métis, qui écarquillait les yeux. Son discours venait de s'ébranler avec une seule petite remarque sur sa taille peu conséquente. Les gouttes tombaient des mèches du mécheux qui continuait de sourire amusé de la différence de taille. Mais pas le temps de sortir quelque chose d'autre, sa tête heurta la porte de derrière dans un brusque fracas. Et Liam lançait un juron en se tenant la mâchoire carrée. Zayn avait frappé, sèchement brusquement. Et le poing en lévitation, il hurlait de rage. Il devenait dingue.
- T'es une salle petite pute Payne, une petite salope bonne qu'à lécher le coach pour des faveurs.
Liam se tenait toujours la mâchoire en fermant les yeux, ses tympans explosé à cause de la voix criarde du métis.
- Je te félicite t'as prononcé correctement mon nom de..
Pas le temps de finir, que déjà un autre coup, et un Liam qui commençait à gémir de douleur. Les picotements remontaient dans sa bouche, comme le goût de sang dans sa gorge. Il se sentait déjà partir..
- Je t'ai dit de fermer ta gueule, tu le comprends ça ? Ou il faut te..
Pas le temps de finir encore une fois une phrase , Zayn baissait son poing et aveugler par la rage, essaya de taper dans les reins de l'anglais. Mais c'était sans compté une main qui l'arrêta. Zayn suivit l'avant bras bronzé et crut mourir juste de frustration. Il l'avait arrêter.
- Je t'interdis de me toucher les reins, sinon je te pète ta gueule de petit bourge de merde.
Zayn déchantait et grimaçait, sentant son poignet se réduire en miette à cause de l'étaux de Liam. Qui le lâcha subitement en le repoussant , attrapant son sac pour sortir avec hâte des vestiaires. Le bas de la mâchoire, qui laissait un filet de sang s'échapper, et la serviette qu'il tenait fermement. Et le capitaine, le suivait du regard, haineux. Mais plus choqué qu'en colère. Il l'avait laissé lui détruire la mâchoire mais rien que de frapper au niveau des côtes et il s'était rebeller. Étrange. Une fois le vestiaires vide, Zayn restait comme un con, debout. Avec le poignet cerclé de rouge et l'air ailleurs. Encore une absence. Qui durait plus de quinze minutes, il finit par s'écrouler sur un banc, encore une fois. Avec les picotements sur le poignet portant tâché d'encre qui ne disparaissaient pas. Et l'impression que tout lui filait entre les doigts, encore.
- Zayn, je vais fermer là.. Mais t'es même pas habillé. Et..
Le coach poussait la porte des douches et découvrait encore les savons par terre, la mousse proéminente et l'odeur de transpiration.
- Tu te paye ma tête Malik ? Lève toi et habille toi. Tu me nettoiera ca, demain et après demain pour la peine. Et ce soir t'as intérêt d'être là, ce gala est important. Me fait pas le coup de la grippe du soir, ou du mal de ventre. Je dirais à Styles de te traîner jusque là bas.
Zayn fonctionnait au ralentit. Remettait son jean et son éternelle manteau beige long sur le dos, pour ensuite regarder le coach s'en aller.
Les informations ils les avaient trié et en avait retenu que Styles et nettoiera ca demain. Zayn sortait, en faisant gaffe de vérifier si ses affaires étaient tous dans son sac. Avec Lachowski comme cleptomane, tu m'étonnes qu'il vérifiait. Tout y était. Zayn soufflait et s'engouffrait dans la fraîcheur de Miami. L'air bougons, les pensées toutes tournées vers la nouvelle recru. Qu'est ce qui tournait pas rond chez lui ? C'est après avoir renifler et tousser vulgairement en filant dans les rues de Floride, le téléphone à la main.QUESTIONS :
Zayn et Liam ne sont pas des aimants. Au contraire. Et si vous penser que c'est Zayn qui patauge vous avez tout faux. A ce stade que pensez vous du coach et d'Harry ? Ils ont un rôle prépondérant.
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Ziam Baskets ( TERMINÉE )
Fanfiction" Il est arrivé, il m'a tout volé. " Zayn " Je suis pas le fils d'une star du ballon rond. Si je suis ici c'est par mes propres moyens et c'est pas un petit bourge qui va m'empêcher de monter les échelons " Liam C'est de la graine de champion, mai...