[ Table du salon, Miami East, 23 p.m 36 ]
Le métis ondulait dangereusement contre un anglais totalement à sa merci. Qui tentait tout de même de le raisonner.
- Arrête ça, tu sais pas ce que tu fais Malik, tentait de se faire sévère Liam
Mais Zayn n'en démordait pas, il plongeait aveuglement son nez dans le cou de Liam.
- J'ai pas besoins de savoir ce que je fais pour me faire sauter. Tu sens tellement bon.. Le shampoing pour gamin..
Liam commençait à défaillir, il ne tenait plus, et ses mains allèrent se presser contre des hanches fines.
Il essayait encore de le repousser, mais ses souffles le trahissaient.- Tu vas le regretter, gémit Liam
Zayn appuyait enfin ses lèvres charnu contre un cou en proie au frisson et au plaisir. L'anglais penchait la tête pour s'offrir complètement, en fermant les yeux forts.
Juste pour ne pas avoir à réalisé sa position de soumis. La chaleur se diffusait, et le capitaine entraînait le novice à l'intérieur. Continuant de lui dévorer le cou, a coup de morsure et de suçon.
Liam frappait le mur du salon pendant que Zayn se débarrassait de la tenu de Liam. Â terre, le manteau noir, et la dignité de Liam. Zayn contrôlait tout, frottait ses mains et griffait rageusement le dos de sa proie. Il touchait encore, découvrait, et s'acharnait sur sa peau pâle, y allant pour de petites remarques.
- T'es tatoué en plus, le petit fils à son papa et en faite un vilain petit garçon.
- Ta gueule Zayn, se défendait Liam
Grisé par le plaisir, Liam ne se laissait plus faire et raffermissait son étau autour de Zayn pas content du tout.
- Tire pas cette tronche, tu sais très bien que je suis mieux monté qu- Liam reniflait et grimaçait, c'est quoi cet odeur ?
Zayn ne répondait qu'avec ses gémissements qui se faisaient impatient. Il quémandait de l'attention, en aspirant une peau laiteuse. Et Liam n'arrivait plus à penser, ni à renifler quoi que ce soit d'autre que l'odeur du métis.
Trempé d'alcool et d'une pointe de parfum fort. Liam grognait de frustration, parce que le métis n'allait pas assez vite. Tout etait mou, trop sentimentale et l'anglais s'y perdait.
Alors il se décida à réagir une main sur la bouche du métis qu'il attirait jusque la table basse. Il le faisait basculer et l'incita à ne plus bouger, lui liant les bras avec sa dextre. Et c'est enfin que les vrai choses commençaient. L'anglais se penchait sur un métis qui couinait.
- Ridicule, t'es ridicule, répétait Liam, tellement ridicule, tellement baisable, tellement soumis.
Zayn couinait encore et toujours tendant de se dérober à lui. Mais le mécheux le tenait trop bien, il baissa sa main jusqu'à venir glisser sous un T shirt trop large.
Il le percutait, appuyait ou il ne fallait pas, caressait trop rapidement pour que le métis soir frustré jusqu'à ce qu'il chiale. Il se penchait encore et cherchait un contact humide, une lèvre à mordre, une langue à choqué, une bouche à explorer.
Et il l'a trouvait, insérait un doigt dans une bouche alcoolisé et qui quémandait plus de contact encore. Zayn étouffait, littéralement il suffoquait, levait le bassin enflé. Liam se servait allègrement dans la bouche du métis, il humidifiait ses doigts dans sa bouche. Puis, il eut soudainement envie de plus, et ses lèvres s'en mêlait. Et le calme revint, le fiévreux capitaine semblait s'adoucir, ne plus lutter vainement contre son désir refrénée.
- La putain de ta race Payne, je te veux maintenant, hurlait le métis à s'en arracher les cheveux.
Le moment de plénitude n'avait durer que quelques secondes. Zayn reprenait sa danse infernal, qui consistait à frapper son bassin contre celui d'un jeune trop lent à son goût.
Liam, s'arrêtait de percuter le ventre de sa proie, il l'attrapa vigoureusement. Glissant abruptement ses longs doigts dans un boxer déjà mouillé. Et il avait toujours la joue collé a celle de son amant, fiévreux.
- Je te conseille de surveiller ton langage tu gardera ta vulgarité quand tu la sentira passé et te déchirer de l'intérieur.
Zayn ferai de grand yeux ronds si il n'avait pas les yeux clos, cherchant désespérément à s'accrocher à quelque chose. Mais il n'y avait rien d'autres que la table en verre contre son dos. Il gémissait déjà, alors que son membre de gorgeait de sang autour de long doigt blancs.
La seule chose qu'il puisse faire, c'était d'attraper l'omoplate de son bourreau. Il allait le marquer, mais Liam le comprit trop vite et se recula pour finalement le lâcher, pour baisser les yeux. Avec un visage qui faisait peur, et des yeux noirs.
- Qu'est ce que tu essayais de-
Liam se faisait coupé par deux petites mains qui frottait son entre jambe. Et c'est au tour de Liam de se faire lâchement dominé, jusqu'à en perdre complètement son jean, qui rejoignait la chemise et le manteau un peu plus loin. Il avait les deux fesses sur la table en verre dont Zayn avait laissé quelques traces de sueur. Il pliait les genoux, devant un Liam complètement chamboulé entre son cœur et ses pulsions. Les pulsions l'emportèrent et il guidait le métis vers son entre..
- Un petit dix sept centimètres, Ricanait Zayn, le nez face à un membre dressé et spongieux.
Liam se faisait encore coupé par un trop plein de sensation. Les bruits de sucions infernale, la bouche tellement profonde du métis qui s'en donnait à cœur joie. Il mouvait encore, une fois avec sa main, une seconde après, avec ses lèvres pleines. Et Liam convulsait, lui attrapant sa tignasse noire pour lui ordonner une vitesse moins habituelle. Les sensations s'accrochaient vulgairement à son visage, une fois contrit de l'autre soulagé. Zayn souriait, en s'attardant à la tâche, libéré par son propre boxer, et son propre membre qui tapait contre son nombril. Rien n'allait plus. Liam jetait sa tête vers l'arrière. Et répétait le prénom de son idole, encore encore et encore. Zayn avait les joues rouges, de la salive pleins le visage, il présentait un doigt à son ennemi, qui gémissait fortement rien que d'y penser. Il les suçait abondamment, pour les rapprocher d'une entre qui pulsait déjà.
- Ta prostate m'attend, elle m'a attendu toute sa vie, chuchotait Zayn un doigt sur des chairs entre ouvertes Je vais -
- Expliquer à Harry pourquoi je suis à genoux entrain de tailler une pipe à un mec que je voulais planter il y a à peine quelques minutes, Harry était là avec un air froid dur sur le visage, remuant le couteau, et l'expliquer aussi à ton père, chuchotait le bouclé devant un grand métis aux cheveux poivre et sel, Yasser Malik.
QUESTIONS :
Je n'ai pas de question spéciale. J'adore juste la petite phrase d'Harry. Vous ne connaissez pas Yasser Malik c'est son fils en dix fois pire.
Votre vilaine.
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Ziam Baskets ( TERMINÉE )
Fanfiction" Il est arrivé, il m'a tout volé. " Zayn " Je suis pas le fils d'une star du ballon rond. Si je suis ici c'est par mes propres moyens et c'est pas un petit bourge qui va m'empêcher de monter les échelons " Liam C'est de la graine de champion, mai...