Me revoilà après presque 1 an d'absence..... encore désolé de cette pose interminable. Je ne peut cependant toujours pas promettre des chapitres réguliers en raison des cours et de mon état mental mdr..... bref ! J'espère que vous apprécierez lire ce chapitre autant que j'ai apprécié l'écrire même s'il est plus court que d'habitude ^^
Luv u ¨^¨
Update : j'ai modifié quelque partie de ce chapitre mais rien qui ne vaille une relecture, j'ai seulement changé la tournure de certaine phrase ! Je suis en train d'écrire le chapitre 10 également, j'espère pouvoir vous le présenter bientôt. Mon retard est dû au même raison que la dernière fois, les choses se sont empirer et étant seule contre tous ça je n'arrive plus à gérer, je m'excuse tout de même car j'ai moi même horreur de ce genre de situation où la suite d'un livre n'arrive jamais. Cependant maintenant étant de l'autre coté je peux enfin comprendre à quel point écrire un chapitre demande du travail et parfois des efforts énormes.
Update 2 : J'ai de nouveaux modifié certains élément qui était incohérent. Je fais de mon mieux pour écrire le chapitre 10 mais je ne peux rien promettre. Mes problèmes ne sont pas totalement réglé et j'ai énormément de travail pour les vacances d'été, je ne peux pas m'engager à poster de nouveaux même si j'adorerais. J'ai pensé tout d'abord me mettre en vocale avec des amis pendant que j'écris mais ils ont tous la chance de partir en vacances, je ne peux donc pas et honnetement la motivation me manque malgré que je suis très attaché à cette histoire car elle a commencé au début de mes problèmes et m'a servi de safe place pendant quelque mois. Cela ne fera peut être aucun sens de votre côté mais ici les deux personnages sont mes comforts characters. Peut-être que certains d'entre-vous pourrons comprendre, je ne sais pas. en tout cas pour ceux qui liront ce mémo, je ne peux que vous conseiller de prendre soin de vous.
PS : pour ceux qui ne connaissent pas les histoires de @TempestaireV2 , @Aloxyl, @LifeForEvil et @Pythonisse, je vous conseil VRAIMENT d'aller les lires si vous avez PLUS DE 18 ANS ! Ce sont des histoires qui sont destinés à des personnes qui savent à quoi s'attendre ( pas du tout dans le même registre que moi mdr). Ce sont des histoires que je relis sans cesse tellement elles sont bien écrites ^^.
Il se tenait là, devant moi, il me regardait, me fixait. Son regard exprimait une multitude d'émotions confuses que je ne pouvais pas déchiffrer. Je senti soudain le sol se dérober sous mes jambes, mes bras ne me supportaient plus et avaient cédé. L'alpha qui était à mon chevet s'empressa de vérifier mon état, mais il n'y avait rien à faire, je voulais partir, partir loin, très loin, le plus loin possible. Tout mes sens étaient comme enfumés dans un nuage de peur et de douleur. Je ne parvenais plus à réfléchir correctement, bientôt ce fut ma respiration qui flanchait.
Je tentais une nouvelle fois de me soulever pour m'enfuir quand Eloa s'approcha plus près de moi, jusqu'à se retrouver à genoux en face de moi. Il avait congédié l'autre alpha pendant que les autres faisaient sortir mon agresseur ainsi que l'oméga blond. Je tentais en vain de me lever, de ramper, rien n'y faisait. Mon propre corps m'avait abandonné. Eloa souffla, surement d'énervement face à mon incapacité actuelle.
J'étais vraiment pathétique, j'arrivais à énervé la seule personne qui m'est un tant soit peu venue en aide. Il m'attrapa par les dessous de bras pour tenter de me remettre debout, mais, toujours traumatisé des évènements je me débattis, je me débattis comme si ma vie en dépandais, parce que tout mon être me hurlait, me criait que c'était la fin et cette fin ne me plaisait pas du tout. Je ne voulais pas que l'on me touche, je ne le voulait plus, plus jamais, qu'on me laisse tranquille pour que je puisse rejoindre mon père, s'il vous plait.
Cela sembla l'énervé encore plus car, sans ménagement ni tact, il m'attrapa par le col de mon haut et me traîna à sa suite. Par manque de force mes jambes trainait au sol comme de vulgaires loques, mes bras pendait quand à eux en direction du sol. Mon cou me faisait mal mais ce qui me faisait le plus mal était sa colère, j'avais mal de n'être qu'un fardeau pour les autres, pour lui.
Sa colère était si importante qu'elle en était étouffante. J'étais terrifié, il me faisait peur, vraiment peur. Lui qui avait toujours était si doux avec moi, qui avait toujours était prévenant, était désormais devenu un monstre, un alpha. Je me rendais bien compte que toutes les illusions que j'avais construit autour de sa soi-disant gentillesse venait de s'effondrer et que j'avais vraiment était très stupide d'avoir cru un instant, une seconde, qu'un alpha pouvait prendre soin d'un oméga, d'un faible.
Je ne comptais plus le nombre de pas que nous faisions, ou plutôt qu'il faisait en me trainant à sa suite, il allait vite, très vite, trop vite. Il me donnait l'impression de courir et son empressement augmenta ma panique, pleins de scénario se jouaient dans ma tête. Il pouvait très bien me mener à un bordel, un abattoir ou une salle de torture. Je ne savais pas lequel était le pire. Peut être que ce serait les trois en même temps.
Je remarquai du coin de l'œil un autre alpha nous suivre, celui-ci semblait paniqué et alarmé par la situation, ou bien c'était moi qui me faisais des idées. Il était surement là pour aider Eloa à me procurer une correction dont je me souviendrais toute ma vie, si tant est que j'y survive.
Eloa me serait le col de plus en plus fort, si bien que je ne sentais plus le sang circuler dans mon cou. Il s'arrêta finalement devant une porte en métal, il l'ouvrit d'une main et me tiras à l'intérieur sans même prendre le temps d'attendre l'autre alpha.
Il m'avait lâché au milieu de la pièce, je remarquai alors les menottes au mur, elles étaient énormes et semblaient extrêmement lourdes, de quoi retenir un alpha enragé. Pendant mes quelques secondes d'observation, Eloa c'était rapprocher de moi, il était près, vraiment très très près. D'instinct je reculais jusqu'à arriver au mur, j'étai acculé et de nouveaux pétrifié, parce que j'appréhendais mais aussi parce que ses yeux ne me disaient rien de bon, ils étaient rouges, d'un rouge sang pur, sans aucune autre nuance.
Alors que je pris peur en voyant son visage s'approcher de moi et que je fermai mes yeux d'appréhension, je le sentis poser sa tête sur mon épaule avant de pousser un long râle de colère puis un profond soupir. Je rouvris alors doucement mon œil droit puis le gauche. Ses yeux étaient fermés, et sa tête était tourné vers ma nuque. Il respirait fort, comme pour essayer de se calmer. Il donnait l'impression d'un drogué en trans qui venait de prendre une dose de poudre auquelle il n'avait pas eu accès depuis des jours.
Ces constations me firent l'effet d'une massue, j'avais été stupide de croire qu'il pourrait me faire du mal, il essayé seulement de se contrôler. Le soulagement intense que je ressentais à cet instant me pris au cœur, il se mêla cependant une fraction de seconde plus tard avec une culpabilité sans nom. Mon organe vital me fit mal, si bien que ma vision devint floue. J'avais l'impression de l'avoir trahis, de l'avoir blessé. Des larmes firent leurs apparitions, puis mes yeux se retrouvèrent vite inondé d'eau et ma respiration fut coupé par mes sanglots peu silencieux. Mes oreilles furent envahies de bourdonnement qui m'empêchait d'entendre correctement ce qui se passer au tour de moi. J'avais l'impression de me noyer dans un océan sans fin.
Eloa d'abord surpris fini tout de même par se baisser à ma hauteur, il semblait me parler mais je n'arrivais pas à entendre correctement ce qu'il me transmettait. Ce moment fut interrompu par l'éclat de la porte en milliers de morceaux. Je n'aperçu pas tout de suite les personnes qui venaient de faire irruption dans la pièce, mais après quelques secondes je pu reconnaître l'alpha qui nous avait suivi précédemment et deux autres alphas, ils étaient tous imposant, et surtout effrayant.
Eloa se mit d'abord devant moi pour me protéger avant de grogner et de déployer des phéromones qui me parurent lourds et étouffants à l'encontre des nouveaux arrivants. Mon cœur battait à tous rompre, il semblait briser ma cage thoracique. Mon protecteur lui semblait de plus en plus énervé et prêt à n'importe quel moment à sauter sur nos vis-à-vis.
J'avais peur.
J'étais terrifié. Mortifié. Horrifié. Paniqué.
Mais une chose était sûre, je ne laisserais pas ces alphas m'enlever Eloa.
Il n'en était pas question une seule seconde.
Jamais.
Ils ne me le prendront jamais
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Perdido
RomanceUn jeune oméga qui se fait enlever et un alpha qui vole à son secours. Parce que la vie n'est pas simple, parce que l'on ne rencontre pas toujours les bonnes personnes, parce qu'il ne faut pas se fier aux premières impressions et parce que l'amour e...