Décembre 2014.
Le paysage était gelée. Une impression que le temps c'était arrêter.
Je laissée mes jambes faire le pas, sans m'en préoccuper. Peut-être, vingts, trente, quarante, minutes que je marchais, dans le froid. Aucun être humain, autre que moi, n'eu le courage d'affronter le temps.
Le son incessant de l'écrasement de la neige sous mes bottes, m'agacée.Mon chemin, n'était pas prêts de se terminer. J'arpenta les milliers de rues qu'était gorger cette ville.
« -Ah ! Tu es enfin là ! S'écria maman, en découvrant mon visage rosée. »
Je me déchaussa et m'installa au comptoir de la cuisine.
« -Tu as pris t'es médicaments ?
-Non. Lui, répondis-je, agacée.
-Tu attends quoi ? Dis maman, en colère. »Je ne lui répondis pas.
-Tu as rendez-vous demain, à l'hôpital.
-Non, maman, je t'en supplie, j'ai pas envie d'y allée. Répondis-je, en la suppliant.
-C'est comme-ça.Vexer, j'entrepris les escaliers, les montas par deux et me réfugia dans la chambre de ma petite sœur. Je laissa tomber mon corps entier, sur son lit, fermas les yeux et m'endormis.
« -Brooke! S'écria-t-elle, en glissant ses mains sous mes aisselles. »
J'écarquilla les yeux, pour laisser, le visage de ma sœur apparaître.
« -Il est dix-sept heures, espèce de feignasse, dit-elle sur un ton humouristique. »
Mes muscles se détendirent. Je poussa un large bâillement avant de me redresser.
« -Alors, comme-ça, tu squouatte ma chambre ?
-Comme d'ab', lui répondis-je. »Je commença à discuter avec ma sœur, comme l'on a l'habitude.
« -Et tu sais, le garçon que je t'avais parler ?
-Hum... Yvan ?
-Non, pas lui, dis ma sœur, exaspérée de moi. LoÏs !
-Et bien ?
-Il c'est mis à coté de moi, en cours !
-Cool, lui répondis-je la tête ailleure »En réalité, je n'avais pas vraiment la tête ailleurs, mais plutôt, les yeux rivait sur le petit cadrent, accrocher à mon jogging. Il dessinait des courbes, des hautes et des basses, avec un son très aigus qui suivais ceci.
C'était, le compteur de mes battement de cœur.« Ah, et au faite, maman, ma dis que tu devais prendre sa, alors, tiens. »
June, me tendis une poignée, d'une dizaine de cachet blanc, ayant une étrange ressemblance avec du plâtre.
«- Elle ne t'as pas fait son spich ? Lui demandais-je, en levant les yeux.
-Tu sais, Brooke, si maman fait autant attention à ça, c'est qu'elle n'as pas envie de te retrouver encore une fois, dans ce que tu appelle, l'enfer. »Je ne savais plus quoi dire, après ce que venais de sortir June.
Maman, avait peut-être raison.« -Elle m'as dis aussi, que tu avais rendez-vous à l'hôpital demain.
-Ouais...
-Allez, autant sa seras une bonne nouvelle ! Dit-elle, toute heureuse.
-Croisons les doigts, mais mon espoirs est au plus bas niveaux !
-Moi, j'ai toujours de l'espoir ! Dit-elle, joyeuse »Je descendis au rez de chausser.
La monté des escaliers ainsi que la descente, sont devenue assez difficiles pour moi.Je m'écrasa sur le canapé et, comme à mon habitude, je regarda un énième épisode de ma série préférée.
Ma vie d'adolescente, n'est pas très passionnante, comparée à d'autres. Je ne peux pas sortir, je n'est pas d'amis, je ne peux pas aller à l'école, je n'est pas de secrets. Et tout ça, grâce à ma maladie.
« BROOKE ! Cria, maman, depuis l'étage »
Je mis du temps à réaliser qu'une personne venait de crier mon prénom.
« -Oui ?
-Ce soir, on a un repas, chez les clients à papa
-Et, donc je dois gardée la maison, c'est ça ? Dis-je épuisée. »Maman, descenda les escaliers pour venir me rejoindre.
Elle passa une de ses mains sur mon visage.« Ecoute, ma chérie, je fait pas sa pour t'embêter... »
Je lui coupa instinctivement la parole.
« Maman, allez-y, j'ai l'habitude. »
Maman à toujours eu de la peine envers moi. A vrai dire, je la comprend, quand ta petite fille de 15 ans est gravement malade, tu n'a qu'une seule choses à faire, prendre soin d'elle, jusqu'a sa mort.
«-T'es sûr ? Si tu veux je dis à June de restée ici, avec toi
-Ne t'inquiète pas maman »Je me leva du canapé sur lequel j'étais assise depuis un petit bout de temps.
Papa rentra, et comme à son habitude il vint vers moi, m'embrassa. Tout les trois ce préparent tendis que moi, je restais dans ma chambre.
Il devait être vingt et une heure, quand je perdis le contrôle. ©
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ONE
FanfictionQue devrais-je faire ? Me battre pour lui ? Où bien, abandonné ? Mon histoire. Brooke Myls.