Chapter - Three.

91 6 0
                                    

L'air frais, d'un temps hivernal, me glace le visage. Je décide de m'installer sur le seul banc à ma porter. Je suis assez épuisée par le cours chemin que je venais de parcourir. En moi, règne une solitude. Une solitude, que personnes n'a su conquérir. Etre seule, j'en est l'habitude, mais j'aimerais qu'une seule personne, s’intéresse à moi et me considère tel un autre être humain, qu'elle me considère, comme si je n'était pas atteinte d'une maladie incurable et qu'elle n'est pas peur de me perdre à chaque secondes passées avec elle. 
En sortant de la maison, j'avais fait attention à mettre mon téléphone sur silencieux, au cas où, maman me dérangerait dans ce moment. Je reprend une respiration normal et me soulève de ce banc pour continuer mon chemin. L'alcool, est interdis par ma maladie, comme le sport. Mais, à vrai dire, le sport, je ne me l'interdit pas, au contraire, sans cela je ne serais plus de ce monde cruel. Je me dirige vers une ruelle, qui mes familière. Le bruit du chariot, derrière moi, raisonne de tout sens. J'ouvre la porte grise, qui orne un immense bâtiment. Ici, j'enlève mon manteau, débranche les quelques fils qui relient mon corps à cette machine. Tout dessuite, je met en route, le petit boitier accrocher à mon jogging, qui est relier à mon cœur. C'est ça, qui me permet de rester en vie. Il envoie des décharges à mon cœurs, entre autres, il fait sont boulot. Je sort de la poche de ma veste, ma petit enceinte, où je branche mon portable dessus. Le sons de la musique retentit dans l'immense salle. Je voie mon corps déambuler devant la glace. Je ressemble à une personne, sans maladie, sans problèmes. Alors, je laisse mon corps s'élancer au rythme de la musique, et cela pendant un certains temps, jusqu'à ce que le bruit de mon boitier, s’accélère. Si un jour, on viendrais à apprendre, que j'eccerce ma passion en cachette, on m'enfermerais dans ce que j’appelle l'enfer. L'enfer, pour moi, représente : une chambre, au murs blancs, un lit avec de chaque côté de lui, des multitudes de machines, faisant un bruit crispant. Voilà, ce que j’appelle l'enfer. Je reprend mes affaires et sort de la grande salle. J'arpente les rues, jusqu'à arriver devant chez moi. 
« Je suis là ! Criais-je, en enlevant mes bottes. » 
Maman, est dans la cuisine, surement entrain de s'essayer à la cuisine et papa, devant la tv, surement, lui, entrain de visionner un match de football. 
« -Alors, t'a journée ? Me questionne maman, dès que je m'assoie sur les bancs du comptoirs. -Banal. » 
Au bout, de quelques secondes, maman reprend la conversation. 
« -Tu sais, j'avais parler au docteur, pour que tu puisse aller quelques jours dans la semaine au lycée. Et bien, il est d'accord, tu veut bien, toi ? » 
Alors là, on ne pouvait pas me dire une plus bonnes nouvelles que celle-ci. Cela veut dire, que je vais enfin, pouvoir avoir des amis et discuter avec d'autres personnes que ma famille. Je vais pouvoir être dans une classe, avoir des professeurs, être comme toutes les filles de mon âge. Etre normal, quoi. Des milliers de questions se mélanges dans ma tête. Es que je vais avoir des amis ? Quel jours se sera ? On me regardera comme on regarde les autres jeunes ? Dans qu'elle classe serais-je ? Les gens seront gentils ? Comment c'est un lycée ? Et les professeurs sont-ils gentils ? 
« Mais, mais, mais, c'est génial ! Maman, je suis la plus heureuse du monde, merci énormément ! Lui dis-je, en la prenant dans mes bras. » 
Tout en la serrant dans mes bras, je ne pense plus au fait que je vais pouvoir allée au lycée, mais plutôt à ce que ma mère ne sente pas l'odeur de transpiration qui règne sur moi. 
« -Je suis également, très heureuse pour toi, ma petite fille, dit-elle, avec un large sourire sur son visage. -Et, je pourrais commencer quand ? Je serais dans qu'elle classe ? Dis-je, toute excitée. -Je ne sais pas encore, il faut demander au docteur, mais je pense d'ici peu. » 
Ma mère, n'eut le temps de dire un mot de plus, que je monte dans ma chambre, sort mon portable et appelle ma petite sœur, qui normalement se trouve en récréation au collège, pour tout lui raconter. 
Les secondes, les minutes, les jours et les mois passent lentement, jusqu’au jours tant attendu venu. C'était enfin aujourd'hui que j'allais pouvoir rentrer dans un véritable lycée. Hier soir j'avais régler mon réveille pour qu'il puisse sonner à six heures trente piles. Ce qui me laisserais assez de temps pour pouvoir mes préparer tranquillement avec un chariot accrocher à moi.  
Le lendemain matin, je me lève difficilement. Je n'ai pas dormis de la nuit, surement à cause du stress présent dans mon corps. J'opte pour une robe petite robe blanche, ainsi que des collants noirs et descend rejoindre ma sœur et mes parents. Je sort de la maison, en leurs compagnie, tous ont fait l'effort de m'accompagner pour mon premier jours, depuis la 6ième au lycée. Durant le trajet, un silence règne. De temps en temps, maman, essaye de briser se silence lourd, mais je ne prête pas attention au mots qui sortent de sa bouche, je suis bien trop occuper à planifier ma première journée. J'ouvre la portière, et descend de la voiture, tout en faisant attention à ne pas débrancher un fils. Papa, maman et June, restent dans la voiture et me font signe de la mains et guise de courage. J'avance vers cette immense entrée, où je voit énormément de jeunes adolescents entrés. Petit à petit, je me retrouve dans l'enceinte qui va m’accueillir trois jours par semaines, certes c'est peu pour des personnes normale mais pour moi, c’est un véritable challenge. Les regards sont braqué sur moi. Ils n'ont du voir pas beaucoup de gens dans leurs vie, poussant un chariot derrière eux avec des fils branchés dessus. Je m'enfonce de plus en plus dans la masse, pour enfin trouver le bureau du directeur, où je demande ma classe ainsi que mon emplois du temps. Il me met à service l’ascenseur pour ne pas que je m'épuise au bout d'une heure de cours. La sonnerie retentit dans tout le lycée. Les adolescents, se précipitent vers leurs salles, tandis que moi, je reste là, sans bouger, au beau milieu d'un couloir. Certain me bousculent, mais ne prêtent pas attention à mon existence. Je cherche la salle 112, apparemment je vais en cours de mathématiques, je ne vais pas me plaindre, c'est seulement le premier jour. Je finis par trouver cette foutu salle. Les personnes de ma classes sont déjà rentrés dans la salle, reste plus qu'a rentrer moi aussi. Je frappe légerement à la porte, et l'ouvre. Tout les regards de la salle sont braquer sur moi. La professeurs, s'approche et me demande mon nom. 
« -Je m’appelle Brooke, Brooke Myls, lui dis-je tremblante. -Très bien, accueillons cette nouvelle élèves comme il se doit, je compte sur vous. Tiens, vas t'assoir au fond.» 
Elle désigne du doigt un bureau de deux places au fond de la salle, mais ayant aucune d'occuper. Je tire l'engin qui me suit de partout, jusqu'à ma table. Les roulettes de celui-ci, commencent à être user et font un léger bruit de résonance. Je suis le cours, comme tous les élèves, et malgré mon arriver en pleins milieu d'année scolaires, j'arrive à comprendre certaines choses. Le cours est bien entamés, quand on frappe à la porte. Une silhouette fine, apparu entre l’ambadur de la porte et celle-ci.  
« Excusez-moi, mon réveil n'a pas sonner. Dit-le jeune homme et passant devant la professeur. » 
Il est grand, très grand. Son visage est orné de cheveux mi-longs, boucler. Il à des yeux vert et une bouche fine. Il porte une veste noir, ainsi qu'un haut noir et un pantalon noir aussi, ainsi que ses chaussures de la même couleur que sa tenue. Il s'approche de mon bureau. Oh non, laissais-je sortir de ma bouche doucement.  
« Tu peux te pousser ? C'est ma place ici. » 
Il est sympa en tout cas. Je ne dis aucun mot de plus et prend mes affaires pour les décaller sur l'autre coté de la table. Je me lève, empoigne mon chariot et fait le tour de la chaise, pour m’asseoir sur l'autre. Visiblement, monsieur, n'avait pas remarquer que j'avais quelques choses qui me suivaient de partout, vus ses yeux rond, dès qu'il la aperçus. Le cours de mathématiques passe à une allure folle. C'était un assez bon cours, si je passe les nombreuse petite remarque de mon camarades de classes, sur mes tenus où mon écriture. Je traverse le long couloirs, seule, pour rejoindre mon cours de langue. Les regards, les chuchotements, les rires, les pointage de doigts, les croches pattes et j'en passes. Ce n'est que ma première matinée dans cet endroits et j'en ai déjà ras le bol. Ce second cours passa aussi vite que le reste de la journée entière. Je ne revu plus, le jeune homme désagréable du cours de mathématiques mais je fit la rencontre d'un jeune,enfin jeune, il a mon âge, garçon, il s'appel Neil. Il m'a proposer de m'aider à porter mes affaires, un geste que j'ai beaucoup apprécier. On a passer le reste de la journée ensemble, même si je le sais qu'il aurait préférer rejoindre sa bande de potes. Je ne veut en aucun cas que les gens ai pitiez de moi, c'est bien, je suppose ce qu'a eu Neil.
Je pousse la porte de la maison, épuisée. La journée à été dur pour moi, rester huit heures debout, n'ai pas dans mon quotidien.  
«- Alors, comment ça c'est passés ta journée ?, me demande maman dès mon arriver dans la cuisine.
-Cool.
-Raconte ! » 
Je raconte en détails ma première journée à ma mère. De mon premier cours de mathématiques à ma rencontre avec Neil mais aussi mon camarde de ce cours. 
«Waouh ! Sa te fait une journée chargée, dis-moi !, répliqua maman, avec un sourire qui illumine son visage. » 
Je continue à discuter avec elle pendant quelques minutes, puis monte dans ma chambre. Je dépose mon sac et commence à faire les quelques devoirs donner par les professeurs. Demain, je vais en cours que le matin, pour éviter de ma fatiguer. Je ne sais pas encore ce que je vais faire durant l'après-midi, surement allée danser. Une fois que j'ai finis mes devoirs, June n'est toujours pas rentrée, elle a dû s’arrêter chez une amie à elle. J'en profite pour m'allonger sur mon lit, j'attrape mes écouteurs sur ma table de nuit et lance une musique au hasard. J'attrape en même temps, un bouquin, que j'adore. Je m'endors, le livre sur mes genou, les écouteurs dans les oreilles.  ©

ONEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant