Chapter - Four.

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« Cher journal,

Le temps s’écoule et je reste là, à patientez que ma douleur s’estompe petit à petit.

Cela fait une semaine que je suis enfermée dans ce minuscule espace. L’odeur, l’endroit, les personnes, le bruit, tout me rappelle toutes les années passées ici. 

Que faire contre celle qui a pris le contrôle de mon corps ? 

Je suis là, allonger sur mon lit, à patienter. Patienter que tout cela se termine. Que cela ne soit qu’un simple cauchemar parmi tant d’autres. Le carrée actif en face de moi, s’agite sur des émissions inintéressantes. Cette odeur fort, irrite mes narines. 

Alors, c’était ça mon destin. Je doit être maudite. Je n’avais surement pas passer assez de temps ici. Je serais coincée tout le reste de ma vie. C’était cela qui m’attendais. 

Le lycée, les amis, la joie, le bonheur, la danse, la famille, les voyages, les rêves, rien ne m’étais destinée. Pourquoi avez t’on choisis moi ? Pourquoi pas une personne d’autres ? 

Le bruit régulier de mon battements de coeur, raisonne dans la petite machine installée à mes coté. Le jour où elle s’arrêtera, alors, j’arrêterais de te faire partager ma miséreuse vie et t’épargnerais de ce cauchemar. Tu sais journal, tu es le seul à qui je peut me confier sans que tu me juge, tu es mon seul ami.

Un enfant vient de crier dans le couloir, journal. Que doit-je faire ? Sortir de mon lit et aller le rassuré ? Comme j’aurais aimé que l’on me le fasse ? Et lui expliquer que malheureusement il lui restait si peu de chance pour qu’il s’en sorte. Qu’il était comme moi, un pauvre être humain, ayant sont dossier rouge ranger quelque part ici, et qu’il n’allais, surement jamais sortir de cet endroit. Qu’il devra renoncé à tout ces rêves, que dès à présent, tout ce qu’il lui restait c’était de survivre et non de vivre. Qu’il ne verrais plus ces petits amis de l’école mais qu’au quotidien, rencontreras des personnes comme lui, surement plus âgé et pas amusant. Qu’il devras rester entre quatre murs blancs, branchées à des milliers de fils parcourants sont corps entiers. Alors, que doit-je faire, journal ? Le prévenir, lui, et sa famille que pour lui, c’était surement le début de l’enfer ? Un pauvre petit gamin, qui ne cherche qu’a s’amuser et à être heureux dans la petite école de son village avec ses amis et on lui inflige une affreuse maladie qui se servira de lui pour le détruire chaque jours passer dans son lit. 

Journal, tu sais, le monde est injuste, tellement injuste que je rêverais n’avoir jamais voulut être de ce monde.

Je t’aime journal. »

Je ferme mon journal intime, ouvre le tiroir de la petite commode à coté de mon lit et le dépose délicatement dedans avant de le refermer.

Mes yeux se pose sur le plafond de cette petite pièces au quatre murs blanc. 

Vous devez vous demander où suis-je et comment cela c’est passer, je vous explique.

C’était mon premier jours au lycée, ce jours que j’attendais depuis une éternité. Je ne me serais jamais doutée que ce jours serais devenus l’un des plus horrible cauchemar. Alors que je rentrais chez moi, avec mon chariots à roulette derrière moi, mon poux s’accéléra, tel un être humain entrain de parcourir un 1000 mètres. Je savais que c’était mauvais signes. Mon boitier accéléra son léger son, ce qui voulait signifier que mon coeur commencer à s’emballer. Je m’essoufflait alors je m’appuya contre un lampadaire, le temps de reprendre mes esprits. Mais ça ne c’est pas passer comme ça, pour la première fois. Ma vue se troublait, mes jambes tremblais, puis je m’écroulas au sol et me teins la tête comme une personne qui venait de se la cogner. Ensuite, c’est le noir total.

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