ONE

Chapter - Two.

-Devrais-je y restée ? Où devrais-je plutôt me battre ?-

Une douleur insoutenable me prenait à la poitrine, tel un couteau qui vous transplantait les poumons. 

«Bonjour mademoiselle Myls, dis une voix assez grave. Je me présente, je suis votre docteur, le docteur Mathers.»

Alala, un de plus à ma collection. Sa ne serait pas possible d'avoir le même docteur à chaque venus dans cet hôpital, non ?

« Hum... Bonjour »

Il fit le tour de mon lit, regarda la machine juste à coter de moi, l'examina.

« C'est bon, ce n'était qu'une petite crise, ton cœur et repartis mais il faudra que tu prenne rendez-vous chez ton médecin.
-Oui, je devais y aller aujourd'hui.
-Je pense qu'il vous expliqueras quelques petites choses.
-Comment-ça, dis-je agacée.
-Vous verrez bien. »

Ainsi, il repartit sans un mot de plus.

Bon, si j'ai bien compris c'est aujourd'hui que je quitte ce fichu endroit.
Je me leva de mon lit, avec une multitude de fils brancher à mon corps. Le plus dur était de ne pas s’emmêler.
J'enfila un jogging, comme je le pouvais, enleva la blouse bleue que m'avait fournis l'hôpital. Vous savez, celle qui donne à tout les patients et que dedans vous ressemblez à rien. Ensuite, je pris le sac, que mes parents avait dû m’emmener et sortit de la chambre en faisant attention à ne rien oublier.

Alors, je sillonnais c'est long couloirs, qui me rappelait tant de mauvais souvenirs, de bon aussi, mais en minorités. Je pouvais observer, plusieurs personnes, assis sur les sièges d'attente, surement entrain d'attendre des résultat d'une opération où autres. 
Je m'imaginais, être la petite fille qui accompagnait ses gens, et qui essayait de les faire rires mais malheureusement c'est le contraire. Je suis plutôt la petite fille, qui fait de la peine.
Je tirais derrière moi, le petit chariots qui me suivait, où la multitude de fils était branchés.
Je sortais alors de cet endroits, en remplissant les quelques papiers à la sortie.
Je ressentie un vivement dans ma poche, vis sur l'écran que c'était ma mère qui me téléphoner.

« -Allo ?
-Oui, maman
-Tu vas bien ? 
-Oui en t'inquiète pas, je viens de sortir de l'hôpital
-Je vais venir te chercher
-D'accord, je t'attend à l'entrée
-Oui, et bouge pas, je suis là dans cinq minutes
-D'acc'
-Je t'aime mon amour
-Me too »

Je m’avança vers un petit muré en pierre et m’assis dessus.

A quoi pouvais-je pensée ? Et bien à rien.

« Hum... Salut, dis une voix derrière moi. »

Je me retourne pour pouvoir apercevoir l'individu qui m'adresser la parole.

«Je peux m'asseoir, là ?Dit-il avec un large sourire. »

Il ne me laissa pas le temps de lui répondre, qu'il assimila son action.

«-Je peux te poser une question ? 
-Je t'écoute, si c'est pour savoir qu'elle est ma maladie, sa ne sert à rien. Luid is-je d'un ton sec. »

Alors, l'individu qui venait de s'assoeir à coter de moi et qui regardé c'est chaussur, leva la tête et me fis un léger sourire.

« -Quoi ? Qu'es que j'ai fait encore ? Lui répondis-je agacée.
-Rien, rien du tout. Je peux poser ma question ? Dit-il amusé.
-Vas-y.
-Tu t'appelle comment ? »

Deux coups de klaxon se firent entendre, c'était ma mère.

« Tu m'excusera, mais ma mère m'attend, lui dis-je en sautant du murée et en prenant le chariot que je trénais. »