Chapter - six.

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Il s'apprête à me le dire.


« Non. Enfin, pas pour l'instant. »


Je suis dégoutée. Pourquoi, lui, n'a pas la même chance que moi ? Pourquoi ne peut-il pas vivre une vie normal, rencontrer des gens de l'extérieure ? Je suis tout de même heureuse de pouvoir sortir de l'hôpital mais le fait que Liam ne peut pas, me rend énormément triste.


« -Mais... Pourquoi ?

-Mon reins ne fonctionnent pas encore très bien, donc ils ne préfèrent pas me laisser sortir maintenant mais qui sais, peut-être bientôt ! Me répondit tout contant.

-Comment tu fait pour être autant joyeux en ce moment ? 

-Parce que toi, tu peux sortir. »


Le lendemain matin, j'avais fait mes bagages est m'apprête à sortir d'un lieux où j'aurais préférer ne jamais mettre les pieds. J'étais passée dire au revoir à Liam quelques minutes avant.


Je ne pense pas retourner au lycée d'ici un long moment même si mes parents m'y obligeraient. Mes études je les suivraient par correspondance et de toute façon, je n'aurais pas pu tenir le reste de m'année à un rythme pareil avec mon coeur brisé.


Maman m'attendait contre la voiture, garée pas très loin de la sortie de l'hôpital. Elle me serre contre elle me répète à quel point elle m'aime et me demanda au passage si j'allais bien. Chose que je lui répondit pas un grand oui.


June était assise sur le canapé. Le bruit des roulette de mon chariot la fit retournée. Je n'eu pas le temps de souffler qu'elle se retrouva à m'enlacer aussi fort qu'elle le pouvait. 


« -Enfin ! Tu pars plus ! Finis ! »


Je l'espère, me disais-je à moi-même.


Une heure, deux heures, trois heures. Rien à faire, je ne trouve pas le sommeil. C'est peut-être le changement de lit ? 

Mon téléphone vibre et je l'attrape rapidement sur ma table de chevet.


« Viens ouvrir, il fait froid dehors. »


Je n'est aucune idée de qui pourrais bien m'envoyer ce message à une pareil. Je me lève de mon lit et vas observer à travers ma fenêtre en faisant attention de pas débrancher aucun files. Le lampadaire qui illuminait le quartier tout entier laisser apparaitre une ombre, certainement masculine, en bas de chez moi. 


« Bouge. »


Si quelqu'un aurait été avec moi, il m'aurait prise pour une folle. Pourquoi aller ouvrir la porte de sa maison à un parfait inconnu qui se pèle dehors ?

Je descend à mon rythme et regarde à travers le regard. Son visage m'est familier mais avec l'obscurité de la nuit, j'arrive pas à distinguer de qui s'agit-il. J'ouvre doucement la porte pour ne réveiller personne.


« -Harry ? Mais qu'es. »


Il me coupa la parole.

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