Livaï x reader

Commencement

Tu marchais tranquillement dans la rue. Rien ne perturbait la bonne humeur de la ville. Les titans n'etaient qu'un lointain souvenir... enfin pour tous sauf pour toi. Depuis toujours, tu aspirais à devenir la plus grande tueuse de titans au monde ! C'était ton rêve, et tu admirais le Caporal-chef Livaï de tout ton cœur, priant pour qu'un jour, tu puisse le rencontrer. Sauf que alors que tu cognais contre un mur, t'entraînant à ignorer la douleur, tu remarquas un silence de mort régnant dans la ville. Plus un bruit, plus un son et ils etaient tous tournés vers un côté du mur. Tu ris d'abord, moqueuse, te demandant ce qu'il se passait mais... ton sang se glaça en découvrant la raison de leur panique. U-un, UN TITAN ! Mais, pas un titan comme ton oncle t'en avais déjà décrit. Faisant partie du bataillon d'exploration, il avait eu l'occasion de te raconter l'histoire de sa vie au bataillon. C'est d'ailleurs lui le premier qui te venta les mérite du caporal chef, un nouveau dans la brigade au futur prometteur. Enfin... anciennement membre de la brigade. Depuis qu'il s'est fait mangé les deux jambes il s'était fait jeté du bataillon. Tu étais figée, terrifiée par ce titan, gigantesque.
Flash back :

Le bataillon d'exploration est de retour ! Tu te précipite pour aller les voir. Cependant tout leurs visages sont sombre. Ils ont encore subit de nombreuses pertes. Quand soudain une femme sort de la foule.

- Excusez-moi, je ne vois pas mon fils parmi vous, il s'appelle Moses, dites moi qu'il va bien je vous en supplie. Dit elle désespérée. Tu sortis de la foule, touchée par l'événement, sachant très bien ce qui allait se passer.

- Bonjour madame je suis son commandant il se tourna vers l'homme derrière lui, et lui dit, apporte la dépouille. Tu vis alors le visage de la dame d'âge plus que moyen recule sous le choc. Elle ne s'attendait pas à ça. Et tu marcha jusqu'à n'être qu'à un mètre d'elle, toujours légèrement dans la foule.

Il déposa alors dans ses bras quelque chose enveloppé de bandage blanc. Tu compris alors que c'était la « dépouille ». Elle baissa les yeux, tremblante et défit les liens. Alors que tu t'approchais. Quand le bras apparu elle poussa un faible cri d'effroi et serra le bras de son défin fils contre son corps secoué de sanglot.

- Je suis vraiment navré, c'est tout ce que nous avons pu récupérer, dit il d'un ton froid. Tu ne pu t'empêcher de posé ta main sur l'épaule de la femme sous le regard étonné de certains.

- ... la femme ne cessait de pleuré et tu t'agenouilla à côté d'elle, tentant de lui apporter le plus d'aide possible. Dites moi au moins... d-dites...

- Prenez une longue respiration madame, lui souffla tu. Elle te lança un léger regard, parmi la douleur, elle semblait te remercier. Puis elle reprit.

- Dites moi au moins que mon fils a défendu notre cause. Cette phrase te toucha. Toi comme le commandant. Tu espérerais que si un jour, ta vie s'achève trop tôt comme celle de ce jeune homme. On pourrait dire que tu avais défendis la nation.

- Évidement madame ! Cria le commandant. Puis il se lança dans un homologue plein de remords.

Fin du flash-back